C'est justement le problème c'est un joueur de ballon et CU veut un rugby sans ballon, de la soulte en somme
Si ça se trouve à la soulte les arbitres seraient honnêtes, non ?
Posté 18 novembre 2024 - 06:54
C'est justement le problème c'est un joueur de ballon et CU veut un rugby sans ballon, de la soulte en somme
Si ça se trouve à la soulte les arbitres seraient honnêtes, non ?
Posté 18 novembre 2024 - 08:08
Il l'exprime lui même que son intégration n'a pas été facile, ce qui explique pourquoi il n'a pas été installé plus tôt.
Oui mais maintenant c'est derrière alors on y va !
Posté 18 novembre 2024 - 08:56
Oui mais maintenant c'est derrière alors on y va !
Posté 18 novembre 2024 - 10:27
Posté 18 novembre 2024 - 11:09
Ouais.
Désormais, à partir de dorénavant, ça ne sera plus comme d'habitude.
A partir de maintenant on fait comme d'habitude
Posté 18 novembre 2024 - 11:38
Oui mais maintenant c'est derrière alors on y va !
Posté 18 novembre 2024 - 11:43
je souhaite vraiment de tout coeur que PGS reste à la maison
Posté 18 novembre 2024 - 13:14
A partir de maintenant on fait comme d'habitude
je souhaite vraiment de tout coeur que PGS reste à la maison
Posté 18 novembre 2024 - 17:49
Posté 18 novembre 2024 - 17:51
Ouais, y'a pas de raison de modifier le changement.
Pour être honnête, je préférerais le voir sur le terrain avec un truc que Badzé aime bien pour courir.
Posté 18 novembre 2024 - 17:53
Oui.
Et qu'il est préférable de porter pour cacher un truc qu'Urios aime bien.
Posté 18 novembre 2024 - 18:24
Mais il a aussi pas mal de match moyen à son actif chez nous.
Dans un collectif du même acabit
Posté 19 novembre 2024 - 13:29
Ce qui est déjà mieux que la plupart de nos joueurs 😃Pas spécialement d avis sur lui c est sur qu il a ce petit côté frisson.
Mais il a aussi pas mal de match moyen à son actif chez nous.
Posté 22 novembre 2024 - 11:13
Cela fait un peu plus d’un an que Pita Gus Sowakula a débarqué en France, le 23 octobre 2023, précisément.
Un an pour s’adapter à la France, à son rugby, à ses nouveaux coéquipiers, à une nouvelle manière de vivre et donner sa pleine mesure, à l’image de son dernier match contre Bordeaux avant la trêve, où il avait crevé l’écran. À 30 ans, alors que ses cheveux et sa barbe qui virent au poivre et sel lui donnent des airs de “vieux sage”, le Néo-Zélandais se sent de mieux en mieux en Auvergne.
« Cela a été un peu compliqué au début. Il m’a fallu du temps pour apprivoiser ce nouvel environnement. Lors de mon premier entraînement, il neigeait ! ». Il lui a fallu aussi digérer physiquement une saison complète avec deux finales à la clé en Nouvelle-Zélande, avec les Chiefs en Super Rugby Pacific puis en NPC avec les Taranaki. Soit 28 matchs et plus de 1700 minutes de temps de jeu.
De plus, il avait dû gérer ses premières semaines en Europe seul car son épouse, la joueuse de l’ASM Romagnat, Toka Natua (*) et sa petite fille ne l’avaient rejoint qu’en décembre.
(*) Comme l’an dernier, Toka Natua arrivera en France en décembre pour passer les fêtes de Noël en famille. Elle a joué la finale de la Coupe des Provinces en Nouvelle-Zélande avec son club des Waitako Chiefs.
Pita Gus Sowakula a dû aussi appréhender les codes et les fondamentaux du Top 14.
« Le jeu est plus physique, plus rugueux en Top 14 qu’en Nouvelle-Zélande, où le jeu est davantage privilégié. Mais j’adore ce style du rugby ».
Avec dix-sept feuilles de match, la saison dernière, dont 13 comme titulaire, il a souvent été écarté du groupe en raison de son statut de non JIFF. Il a d’ailleurs joué les sept matchs de la campagne de la Challenge Cup où la règle des JIFF n’intervenait pas comme titulaire.
Dans le combat, par la férocité de ses plaquages notamment, il répond présent. Mais ses aptitudes à se déplacer, à faire vivre le ballon grâce à une qualité de mains que son passé de basketteur explique en partie en font un joueur unique dans l’effectif de Clermont.
Quelques gestes de classe
Christophe Urios et le staff étant moins étranglés cette année par la question des JIFF, Pita Gus Sowakula est devenu une vraie option depuis la reprise. D’ailleurs, il avait commencé les rencontres contre le Racing, Bayonne et à Perpignan où une entorse à un genou le 28 septembre, a envoyé de longues semaines à l’infirmerie le troisième ligne qui peut aussi bien évoluer dans le couloir ou comme flanker.
Contre Bordeaux, pour sa reprise, Pita Gus Sowakula avait survolé les débats par son activité et quelques gestes de classe comme cette passe improbable d’une main sur le premier essai de Jurand.
À Lyon samedi (16 h 30, stade de Gerland), Clermont aura besoin d’un Pita Gus Sowalua aussi virevoltant et puissant pour espérer ramener un résultat. « Il y a beaucoup de X factors dans cette équipe du LOU. Mais chez nous aussi. On va jouer sur une pelouse synthétique. Cela va donner de la vitesse au jeu. Ça tombe bien, j’adore ça », conclut le Néo-Zélandais.
« J’aimerais rester en France ». Pita Gus Sowakula arrive en fin de contrat en juin prochain. Se pose pour lui aussi la question d’une éventuelle prolongation à l’ASM. « Je n’ai eu encore aucune discussion avec les dirigeants, indique le joueur. Mais j’aime la France, Clermont et la Yellow Army et si l’opportunité se présente, j’aimerais bien rester », assure le Néo-Zélandais.
Didier Cros (LM - 22/11/24)
Posté 22 novembre 2024 - 11:22
Je n’ai eu encore aucune discussion avec les dirigeants, indique le joueur. Mais j’aime la France, Clermont et la Yellow Army et si l’opportunité se présente, j’aimerais bien rester.
Nous aussi !!!
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