20 réponses à ce sujet

[cocotte 63]

Une grande place semble avoir été dédiée à la végétalisation...

[Rugby ?]

Svp, quelqu'un peut il me mettre entier cet article svp ?

 

https://www.lamontag...ource_14140889/

 

Merci

[Barnabe03]

Déjà dotée de deux microcentrales sur la Rhue, Condat va plus loin désormais en turbinant son eau potable. Une électricité on ne peut plus verte qui rapporte aussi à la commune, la première du département à se lancer dans ce type de production.

On est les écolos du Cantal?! 

, rigole Jean Mage, le maire de Condat. Écolos, et économes. Car, en turbinant son eau potable, la commune produit une électricité on ne peut plus vertueuse, mais s’assure aussi des revenus supplémentaires.

Rentable

Une nouveauté, inédite dans le département (et extrêmement rare au niveau régional, puisqu’une seule commune, de la Haute-Loire, s’est déjà lancée), qui s’inscrit dans une tradition. Car, depuis le début des années 1990, Condat s’est dotée d’une microcentrale sur la Rhue. Il y a deux ans, une deuxième était mise en service. Pour une production qui rapporte, aujourd’hui, 350.000 € chaque année à la commune. Et alors que bon nombre de collectivités voient leurs factures d’énergie s’envoler cette année, Condat peut espérer voir le prix de vente être multiplié par quatre à l’heure de la prochaine renégociation avec EDF, à l’automne.
L’installation de turbines dans deux des réservoirs d’eau de la commune est plus modeste, mais toute aussi teintée de bon sens. Pour cet investissement de 200.000 €, entièrement financé en fonds propre, la commune a dû contracter un emprunt. Son annuité est de 10.600 €… quand la vente d’électricité va lui rapporter, chaque année, 25.000 €. Autant de bénéfices pour son budget de l’eau.

Sans impact

Comme pour l’environnement. Car, comme le souligne Denis Facy, consultant hydraulique indépendant, et compagnon de toutes ces créations, 

 on ne fait pas plus vertueux que cette électricité. Cela ne nécessite aucune construction, il suffit d’installer des groupes de production d’énergie dans les réservoirs. Il n’y a pas de modifications structurelles, l’impact environnemental est nul… et l’électricité est réinjectée dans le réseau local, 35 foyers environnants la consomment ainsi. Ce n’est que du bon sens. 

Un bon sens que résume Jean Mage d’une phrase : « L’eau descend de 600 mètres avant d’être consommée, ce serait dommage de ne pas utiliser cela. » C’est même utilisé deux fois, au réservoir de Rochemont, puis à celui des Roches. En attendant, c’est à l’étude, d’en voir deux autres dotés de turbines.

RénovationUne salle des machines dernier cri

Et les avantages ne s’arrêtent pas là, selon le maire. « Ces travaux nous ont permis de remettre les réservoirs aux normes. On a aujourd’hui des informations beaucoup plus fiables, qu’on reçoit directement en mairie. Et cela nous a permis de régler certaines avaries, des manques d’eau dans certains villages. Et niveau conditions sanitaires, rien ne change, l’ARS est stricte sur ce point. »
Une initiative qui, Denis Facy l’espère, fera école. « Tous les territoires ne peuvent pas faire ça, certains doivent pomper leur eau. Mais dans le Massif central, le terrain est idéal. Et ce serait bête de se priver de ces ressources. 

[TH69]

svp possible d'avoir l'article ?. Merci d'avance

 

https://www.lamontag...rrand_14389186/

[renardmontferrandais]

moi ça serait une demande pour un ou une abonné(e) de l'Equipe pour une copie d'écran du grand article de l'Equipe Explore sur les Fléchettes svp !!!

 

https://www.lequipe....es-aux-podiums/

 

qq'un d'habitué aux copies de textes d'articles qu'il poste ici a déjà essayé mais n'a pas réussi avec sa méthode habituelle par Word ! 

 

là je pense que cela pourrait marcher en utilisant un petit soft gratuit sous Firefox ou sous Chrome suivant le navigateur que vous utilisez !!!

 

Généralement la copie d'ecran ne permet de copier que ce qui est présent à l'ecran , donc pour les grands articles il faut faire cela plusieurs fois en faisant défiler le texte et "bidouiller " par ex avec Paint pour faire des copier/coller successifs ce qui est fastidieux ... le soft gratuit dont je parle permet de capturer l'intégralité de la page en un seul clic , puis de l'enregistrer là aussi en un seul clic au format Jpeg ou PNG !!! vraiment très très facile et très rapide !!!

 

Le nom de ce petit Logiciel Gratuit c'est FireShot !!!

 

lien pour navigateur Firefox : https://fireshot.fr.softonic.com/  Lien pour Chrome : https://chromewebsto...gjaogfceg?hl=fr

 

une fois installé il suffit quand vous êtes sur la page que vous voulez copier de clicker sur l'Icone de Fireshot qui s'affiche dans les Extensions ( Add Ons ) installés ( le Carré Bleu avec le S Blanc ) et là on vous propose plusieurs choix : 1 Capturer l'élément/la zone sélectionné et ...    2 capturer la page entière et ...  3 capturer la partie visible et ... 

 

donc là ça serait l'option 2 Capturer la page entière et ...   dans les options proposées de choisir enregistrer ( en JPG par ex ) ! et là une fenêtre s'ouvre pour vous demander de choisir où vous voulez enregistrer cette capture d’écran sur votre ordi !!! c fait en 3 secondes ou moins si le texte ou la photo est capturée est courte !!!    Merci d'avance !!!

 

si ça vous est possible je vous enverrai un MP avec mon mail pour recevoir l'article !!!

Modifié par renardmontferrandais, 25 novembre 2023 - 12:59 .

[Barnabe03]

svp possible d'avoir l'article ?. Merci d'avance

 

https://www.lamontag...rrand_14389186/

 

 

Et si on se replongeait dans les difficultés de circulation des années 70 et 80, à Clermont-Ferrand ? Article réservé aux abonnés

Publié le 25/11/2023 à 08h01

 

Marion Chavot

 

Cette photo, prise rue Saint-Hérem, en décembre 1982, illustre un article de La Montagne titré : "La circulation dans Clermont au bord de l’asphyxie". Photo archives La Montagne © Service PHOTOGRAPHES

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Réduire la place de la voiture pour en laisser davantage aux transports en commun, aux vélos et aux piétons : avec les travaux d’InspiRe, Clermont-Ferrand veut tourner le dos au règne automobile. Il y a tout juste 50 ans, la ville, paralysée par l’explosion du nombre de voitures, cherchait à fluidifier le trafic. Illustration à travers les archives de La Montagne à l’époque de l’adoption des plans de circulation de 1973 et du début des années 80.

Années 1970

Nous sommes le 30 mai 1973. En page 6 de La Montagne, un titre court sur cinq colonnes : "Un plan général de circulation a été approuvé par le Conseil municipal pour prévenir une situation inextricable dans les années à venir". L’article revient sur ce programme, dont le maire de l’époque, Roger Quilliot, précise qu’il est lié "à la réorganisation des transports urbains et aux réalisations de parkings en cours".
Une série d’enquêtes, réalisées dans le courant de l’année 1971, ainsi qu’une enquête par photographies aériennes, en juin 1972, montrent que sur 2.000 véhicules circulant sur le réseau recensé, 40 % sont pratiquement arrêtés et que la vitesse moyenne est de 14 km/h à l’heure de pointe du soir.En 1972

La cause ? "Des carrefours non aménagés, des cycles trop longs eu égard au trafic à écouler…" La place des Carmes, mais aussi la rue Blatin, la place de Jaude, la rue Montlosier ou celle des Jacobins sont ciblés.

Alors quelles solutions ? "Une mise à sens unique, des aménagements de carrefour, une coordination des feux."

Et c’est ainsi que quatre phases principales de travaux vont être échelonnées jusqu’en 1976. Parmi les chantiers : la mise en sens unique de l’avenue Carnot, du boulevard Cote-Blatin, de la place de Jaude, de la rue Blatin ou encore de l’avenue Julien, mais aussi l’aménagement des carrefours viaduc-Gergovia, Carnot-Anatole-France, Edouard-Michelin-Châteaudun, Blatin-Berthelot.En 1972
Derrière ce plan, dont le coût est estimé à 14.946.000 francs, deux volontés sont également affichées : faciliter les transports en commun, en les séparant de la circulation générale, ainsi que le cheminement des piétons, avec des voies qui leur seraient exclusivement réservées.

Il apparaît de plus en plus évident qu’il convient de réhabiliter le centre-ville menacé de dépérissement car il devient difficile d’y pénétrer, d’y circuler et d’y stationner.

Le 24 mars 1973, les automobilistes inaugurent la première tranche du plan de circulation. Pas toujours simple… "Il a fallu quelques jours aux utilisateurs pour se repérer et résister à la force de l’habitude, cette seconde nature qui fit s’engager certains d’entre eux dans les sens interdits en dépit d’une signalisation pourtant visible."

Années 1980

"La “bataille” de la circulation : un nouveau plan pour 1981 à la rescousse de son prédécesseur". Le plan de 1974 n’aura pas duré longtemps, comme La Montagne le titre fin décembre 1980. Et de citer l’adjoint en charge de la circulation :

Nous avons conscience que le plan […] est aujourd’hui dépassé et que nous avons pris un certain retard par rapport aux besoins.

D’ailleurs, la grogne commence à se faire entendre du côté des automobilistes. "Bon nombre de conducteurs font preuve d’indiscipline et contribuent à la dégradation d’une circulation déjà fort embrouillée."En 1982
Contrairement à 1974, ce plan ne sera pas réalisé en plusieurs tranches et "devrait être achevé dès la fin de l’année prochaine. Il touchera essentiellement le quartier de la gare". Sont visés : l’amélioration du trafic sur les avenues Anatole-France et Édouard-Michelin, en augmentant le nombre de voies. "Dans le courant de l’année 1981, l’avenue d’Italie sera mise en sens unique. Les rues des Planchettes et Sous-les-Vignes passeront à quatre voies." Quant aux piétons, "ils ne sont pas complètement oubliés : le prolongement de la rue du Port en rue piétonnière est annoncé, ainsi qu’une solution semi-piétonnière rue des Gras". De plus, les services municipaux ont établi un plan de régulation des feux tricolores pour "tirer un avantage maximum de ces innovations".

Et le journaliste de finir son article par ces mots :

"Peut-être pourrons-nous espérer voir se dessiner, sous peu, une agglomération où il sera possible de se déplacer dans des conditions satisfaisantes pour l’ensemble des usagers, motorisés ou non."

En 1980

Sauf qu’en septembre 1981, au retour des vacances, c’est "la déroute des automobilistes dans le quartier de la gare". En effet, il faut s’habituer aux nouveaux sens de circulation. Et l’article de pointer un sentiment : "Certains devant de tels “privilèges” accordés aux autobus, voient de claires intentions : rendre l’automobile non grata partout et à toute heure en ville. Les piétons en seront-ils alors les vrais bénéficiaires ?"
Si la situation est tendue en septembre 1981, elle ne s’arrange pas dans les mois qui suivent. En témoigne cet article de novembre 1982 :

Le plan de circulation suscite plus de commentaires que de bouchons. On proteste, on maugrée, on explose même ! Incohérence, ineptie, incompétence : des mots qui reviennent fréquemment dans les conversations.

La place de Jaude, notamment, semble être un enfer. Alors les journalistes ont voulu vérifier par eux-mêmes en sillonnant le cœur de la cité dans tous les sens aux heures de pointe. Résultat ? "Des difficultés, nous en avons rencontrées et de très sérieuses même rue Montlosier ou boulevard Berthelot. […] Mais les heureuses surprises n’ont pas manqué non plus, qui tendent à démontrer qu’un tel plan de circulation, s’il est loin de dissiper tous les problèmes, améliore (ou améliorera avec l’habitude) certaines liaisons".