Mauriac disait de lui "Il ne parle jamais si bien que quand il se tait." (je crois qu'il ne l'aimaita pas beaucoup).
Le Ryan Gosling de son temps.
Le mot mégalo a été inventé pour lui
Posté 18 août 2024 - 08:46
Mauriac disait de lui "Il ne parle jamais si bien que quand il se tait." (je crois qu'il ne l'aimaita pas beaucoup).
Le Ryan Gosling de son temps.
Le mot mégalo a été inventé pour lui
Posté 18 août 2024 - 09:38
Un sale type avec une filmographie dégueulasse hormis
Rocco et ses frères et Nouvelle vague
Posté 18 août 2024 - 09:47
Le mot mégalo a été inventé pour lui
Ça, c'est sûr que niveau modestie, on était loin de Mitchum...
Un sale type avec une filmographie dégueulasse hormis
Rocco et ses frères et Nouvelle vague
Le Cercle rouge, L'Eclisse, Le Samuraï (même si ce n'est pas mon Melville préféré), Le Clan des Siciliens, Mélodie en Sous-sol, Il Gattopardo, quand même.
Posté 18 août 2024 - 09:49
Un sale type avec une filmographie dégueulasse hormis
Rocco et ses frères et Nouvelle vague
A oui quand même
Posté 18 août 2024 - 10:10
plus bébel que delon,mais grand acteur qui ne se conjuguait qu'au pluriel
Posté 18 août 2024 - 10:20
A oui quand même
Irrattrapable, et c'est tant mieux, qu'il reste dans son jus.
Posté 18 août 2024 - 10:24
Ça, c'est sûr que niveau modestie, on était loin de Mitchum...
Le Cercle rouge, L'Eclisse, Le Samuraï (même si ce n'est pas mon Melville préféré), Le Clan des Siciliens, Mélodie en Sous-sol, Il Gattopardo, quand même.
Le guépard, oui
En fait le problème des films avec Delon, c'est Delon. Mais de temps en temps il y a des grands films pour sauver le truc et il en a fait 3 ou 4
Posté 18 août 2024 - 10:26
Un fofo aurait il le papier de L’équipe très pédagogue sur « « Il faudrait être fou pour s'y baigner », retour à la plage de Dias Beach, là où a disparu Medhi Narjissi«
merci
Spot de la crique ou à eu lieu le drame.
Magnifique et dangereux
À mesure que l'on s'approche, le murmure devient un grondement, comme un orage qui éclaterait, encore et encore. Au bout d'une descente raide et irrégulière sur des marches en bois savonneuses, face à une langue de sable d'un blanc aveuglant, l'océan et son air de bout du monde nous accueillent dans un fracas continu. Éclairées par quelques traits de lumière qui transpercent le ciel charbonneux du Cap, en Afrique du Sud, les vagues s'élèvent, déchaînées, mugissent et giflent les rochers, puis forment un épais bouillon d'écume. Le paysage fascine par sa beauté froide et terrifie par le drame qui l'accompagne. Ce mercredi matin, Dias Beach est déserte.
Tout juste aperçoit-on quelques oiseaux faire escale sur cette plage somptueuse, un des joyaux de la région, mais peu fréquentée car difficile d'accès et hostile. Des laminaires, ces algues brunes en forme de longs rubans, jonchent le sol par endroits, cadeau d'une mer majestueuse et furieuse. Et des planches de bois enterrées dans le sable rappellent le passé funeste du cap de Bonne-Espérance, promontoire rocheux découvert par le navigateur portugais Bartolomeu Dias en 1488, où de nombreuses épaves de bateaux ont été retrouvées au fil des siècles.
« Ce n'est pas pour rien qu'on le surnomme le Cap des tempêtes », indique Megan Taplin, manager du Parc national de la montagne de la Table qui couvre une cinquantaine de kilomètres de côte, de la colline de Signal Hill au nord, à Cape Point au sud. « La mer est houleuse ici, reprend-elle. Ce sont des conditions dangereuses. » Mortelles, parfois.
« Il a été pris dans ce qu'on appelle un "rip tide", un courant de retour. (...) Sous l'eau, ils creusent le sable et créent des trous. Il est vraisemblablement tombé dans un de ces trous. »
Un garde-forestier présent au moment des faits
Le 7 août, la vie du jeune Medhi Narjissi, 17 ans, a pris un tournant tragique. En milieu d'après-midi, le joueur du Stade Toulousain, surclassé et finaliste du Championnat de France Crabos la saison dernière, effectuait une séance de récupération d'une vingtaine de minutes à Dias Beach avec l'équipe de France U18. Envoyés en Afrique du Sud pour participer à l'International Series, les espoirs français venaient de disputer un match de préparation contre Western Province. Ils ne se baignaient pas mais avaient les jambes dans l'eau froide.
Présent à Cape Point ce jour-là, un garde-forestier raconte : « Un collègue m'a appelé. En effectuant sa ronde, il a vu quelqu'un en difficulté dans l'eau, qui se débattait, les bras en l'air, de plus en plus loin du rivage. En même temps que je descendais en courant, j'ai contacté les services de sauvetage. »
L'Institut National de Sauvetage en Mer (NSRI) a immédiatement mobilisé ses unités les plus proches, dans les stations de Simon's Town, à l'est, et de Hout Bay, à l'ouest. « On a envoyé quatre bateaux, deux de chaque côté, détaille une bénévole de la station de Simon's Town. À vitesse maximale, ça prend environ trente minutes pour venir. » Et depuis le point d'observation, au-dessus des falaises, où les rangers patrouillent régulièrement, une bonne dizaine de minutes est nécessaire afin d'atteindre la plage. Une éternité pour Medhi.
« Il a essayé de lutter, mais il ne pouvait rien faire, le courant le poussait vers le large, reprend le garde-forestier. Ce garçon n'a pas nagé, mais il s'est enfoncé dans l'eau, au-dessus des genoux. Et il a été pris dans ce qu'on appelle un "rip tide", un courant de retour. La rencontre des eaux chaudes de l'Océan Indien, qui sont légères, et des eaux froides de l'Océan Atlantique, qui sont lourdes, crée ces courants. Sous l'eau, ils creusent le sable et créent des trous. Il est vraisemblablement tombé dans un de ces trous. Vous marchez tranquillement dans l'eau et, soudainement, vous disparaissez. Tout ça à une dizaine de mètres du rivage. Une fois que vous êtes dans la ligne du courant d'arrachement, vous êtes aspiré en un claquement de doigts. »
« Les courants sont extrêmement dangereux. Tu peux être debout, l'eau sous la taille, et la minute suivante, être entièrement dans l'eau sans appui au sol pour remonter »
Sacha Wharton, surfeur chevronné
Surfeur chevronné de 45 ans qui vit à Noordhoek, à 40 kilomètres au nord de Cape Point, Sacha Wharton précise : « Les courants sont extrêmement dangereux, même là où on a pied. Ton pied se fait arracher et tu te retrouves la tête sous l'eau. Il y a des trous partout. Tu peux être debout, l'eau sous la taille, et la minute suivante, être entièrement dans l'eau sans appui au sol pour remonter. Tu es coincé. »
Le troisième-ligne rochelais Oscar Boutez, lui aussi emporté dans un premier temps, aurait d'abord réussi à ramener son coéquipier, qui se serait accroché à ses épaules, avant qu'une deuxième vague ne les sépare. Définitivement. Boutez est parvenu à regagner la terre ferme, pas Narjissi. À l'arrivée des sauveteurs en mer, plus aucune trace de l'adolescent. « La mer était agitée et l'écume tellement épaisse qu'ils ne pouvaient rien voir », soupire la bénévole du NSRI. Malgré la présence d'un hélicoptère, d'un drone et d'une unité de plongeurs de la police sud-africaine, Medhi Narjissi, demi de mêlée d'1,74 m, est resté désespérément introuvable.
Hier soir, il était toujours porté disparu. « On va continuer les recherches aussi longtemps que possible et tant que les ressources seront disponibles, promet Megan Taplin. Ça dépend aussi des conditions météorologiques. Certains jours, les recherches sont mises en pause parce que les vagues sont trop grosses ou le vent trop fort et ça devient trop dangereux de continuer. » « Les chances de le retrouver sont extrêmement faibles, prévient le garde-forestier. Les courants peuvent le porter à des centaines de kilomètres d'ici. Avant le Covid, un surfeur, malgré sa planche et sa combinaison, s'était noyé ici. On ne l'a jamais retrouvé. Là, c'est la première noyade de l'année, mais ça se produit tous les ans. »
Les parents et la soeur de Medhi Narjissi sont arrivés en Afrique du Sud jeudi dernier. Le père, Djalil, ancien talonneur professionnel, s'est rendu à Dias Beach, accompagné par le Sud-Africain Adri Badenhorst, son coéquipier à Agen à la fin des années 2000. « Je ne suis là que pour aider la famille en tant qu'ami et ex-partenaire », nous a-t-il poliment indiqué, sans s'épancher, par respect pour les Narjissi. Le directeur technique national adjoint de la Fédération française de rugby, Jean-Marc Béderède, était également sur place, chargé de mener une enquête interne, en parallèle de celle de la police sud-africaine.
Elle permettra peut-être d'établir certaines responsabilités dans un drame qui concerne une équipe composée de joueurs mineurs, encadrés par un staff fédéral. « Les entraîneurs auraient dû le savoir : c'est écrit partout », regrette le garde-forestier. En haut des marches en bois qui mènent à la plage, là où deux chemins de randonnée se rejoignent, un panneau, immanquable, alerte en effet : « Attention : courants d'arrachement. Baignade dangereuse. » À côté, un dessin, celui d'un nageur, barré d'un trait rouge. « Un guide leur avait expliqué : ''Les gars, vous ne pouvez pas vous baigner ici, ce n'est pas autorisé'' », révèle le ranger. Mais pourquoi parler de « baignade dangereuse » plutôt que de l'interdire ? « Il faudrait l'imposer et avoir quelqu'un en permanence pour surveiller, répond Taplin. On ne peut pas avoir des garde-forestiers partout et couvrir chaque centimètre carré du parc à chaque instant. »
« C'est l'une des plus belles plages du monde, mais je ne mettrais jamais un pied dans cette eau sans une planche. D'ailleurs, je n'ai jamais vu quelqu'un nager à Dias Beach. »
Matthew Ornellas, surfeur au Cap
À en croire Sacha Wharton, l'océan est particulièrement hostile ces temps-ci. « C'est l'un des hivers les plus tumultueux qu'on ait eu au niveau de la houle, des vagues, des courants et des tempêtes dans la région », assure-t-il. « La semaine dernière et cette semaine encore, on a une très grosse mer et beaucoup de vent », confirme Taplin. « Il y a pas mal d'histoires de bateaux de pêcheurs renversés ou de pêcheurs qui glissent de rochers, ajoute Wharton. La houle a atteint neuf mètres à Cape Point récemment. Moi, je ne surfe pas là-dedans ! Dans ces conditions, la mer est une machine à laver. Dias Beach est une plage dangereuse, elle est faite pour marcher sur le sable et admirer la vue, pas pour faire trempette. Il faudrait être fou pour s'y baigner. »
Matthew Ornellas, 38 ans dont une vingtaine sur une planche au Cap et dans ses alentours, acquiesce : « Dias Beach a l'une des vagues les plus lourdes du Cap. C'est la puissance brute de l'océan, avec une eau profonde et beaucoup de courants. Quand le vent vient du sud-est, ça devient houleux, agité et totalement hors de contrôle. Je me suis déjà fait très mal au dos en surfant là-bas. C'est l'une des plus belles plages du monde, mais je ne mettrais jamais un pied dans cette eau sans une planche. D'ailleurs, je n'ai jamais vu quelqu'un nager à Dias Beach. »
Sur un flanc de la falaise qui surplombe Dias Beach, de l'eau s'écoule doucement, presque au goutte-à-goutte, sur une bande d'un mètre de large, le long d'une roche couleur cuivre, puis échoue sur un pan de sable, recouvert d'herbe. La plage, elle aussi, pleure Medhi.
Posté 18 août 2024 - 10:31
Intervention d'un sale cyber avec des commenraires de merde !!!Un sale type avec une filmographie dégueulasse hormis
Rocco et ses frères et Nouvelle vague
Posté 18 août 2024 - 11:00
Posté 18 août 2024 - 11:11
J’ai beaucoup aimé au fil du temps l’autodérision de celui qui a tout vu et tout eu … et même être arrivé à faire taire ses détracteurs, lui qui n’était pas dans le même chemin …
Un page est tournée …
Posté 18 août 2024 - 12:03
Posté 18 août 2024 - 12:12
Le Guépard, Le cercle rouge, M. Klein se sont des daubes ?Un sale type avec une filmographie dégueulasse hormis
Rocco et ses frères et Nouvelle vague
Posté 18 août 2024 - 12:19
Posté 18 août 2024 - 13:23
Le Guépard, Le cercle rouge, M. Klein se sont des daubes ?
Bah j'ai déjà répondu, le guépard c'est bien. Mais après il y a des bons films et des acteurs pas toujours à la hauteur des films
Mais 3 grands films dans une carrière c'est pas mal, tous les acteurs ne peuvent pas en dire autant.
J'ai une tendresse éternelle pour Belmondo qui n'a pas fait beaucoup plus de grands films peut être même moins, au moins un immense, mais Delon non c'est pas très bon et humainement c'est quand même pas jojo...pour rester poli
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