Commentaire d'un proche de Galthié mardi dernier : "Si la NZ gagne, la France est championne du monde"
rien que ça
Posté 15 octobre 2023 - 10:55
Commentaire d'un proche de Galthié mardi dernier : "Si la NZ gagne, la France est championne du monde"
rien que ça
Posté 15 octobre 2023 - 11:20
rien que ça
Posté 15 octobre 2023 - 12:29
On parle de Macalou certes mais ce qui m'étonne, c'est le choix de Moefana plutôt que Jaminet, surtout avec Macalou sur le banc.
Si Ramos se blesse, on met qui à l'arrière? Bielle-Biarrey avec replacement de Moefana à l'aile? Je pense mais ce serait gonflé vu le niveau d'expérience de l'ailier bordelais.
Parce que si c'est Jalibert, on ne sait pas qui mettre à l'ouverture (Dupont j'y crois pas trop).
On s'en fout des 3/4, c'est le match que feront les 2ème et 3ème lignes qui déterminera le sort du jeu pour moi. Et j'attends beaucoup aussi de Cros en remplaçant, je sais pas vous mais je pense qu'il doit être remonté comme un coucou lui
Ca va bien se passer sans lui et ça voudrais dire qu'on est pas pret,offrir un Dupont en porcelaine aux buldozer sud afs c'est leur faire un sacré cadeau,vont se faire un plaisir a le temponer va falloir envoyer des caids pour le proteger,ça va chambrer ...
Dupont a 100% ou en pleine forme,ca veut rien dire c'est du marketing le bocks vont ralentir cette enthousiasme ...
Vu la compo de leur charnière + De Allende, ils vont pas mal tester la zone 10. Si c'est alterné avec des passes sautées vers les ailiers ça va être chaud à défendre. Faut pas perdre un de nos 2 centres gros défenseurs. A l'invers pour cette tactique faut pas qu'ils perdent De Allende.
Posté 15 octobre 2023 - 15:47
Posté 15 octobre 2023 - 16:00
Je viens de mettre 50 euros sur "France gagne de 1 à 12 points et Penaud marque un essai"...
Déconnez pas les gars.
Posté 15 octobre 2023 - 16:03
Ce soir, on gagne avec 15 points d'écart...
Posté 15 octobre 2023 - 16:17
Quel gain ?
Ce soir, on gagne avec 15 points d'écart...
![]()
Posté 15 octobre 2023 - 16:39
Ce soir, on gagne avec 15 points d'écart...
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Posté 15 octobre 2023 - 16:55
De cette équipe championne du monde des moins de 20 ans en 2012, il ne reste finalement pas grand monde dans les rangs des Springboks d'aujourd'hui. Seuls quatre de ces Baby Boks figurent dans l'effectif sud-africain. Si beaucoup sont devenus internationaux (huit), certains sont vite allés valoriser leurs compétences en Europe. Le plus emblématique reste Jan Serfontein, 35 sélections dont la première à 20 ans, qui partit du pays à 24 ans pour Montpellier et gagner six fois le salaire mensuel qu'il touchait aux Bulls.
Le plus connu de ces quatre Baby Boks est Pieter-Steph du Toit. Le flanker détonne par ses mensurations de deuxième-ligne (2 m, 114 kg) et a connu à peu près tout ce qui brille dans le rugby : un titre mondial en moins de 20 ans donc, une Coupe du monde dans les bras en 2019 et un « award », celui de meilleur joueur du monde quelques semaines après le sacre au Japon. Du Toit, c'est l'exemple de l'infatigable Springbok qui plaque et percute, se relève et replaque. Saigne de l'arcade mais cicatrise vite.
André Venter et Schalk Burger ont été ses plus proches prédécesseurs dans ces féroces combats. Theuns Stofberg, Morné du Plessis ou encore Frick du Preez l'ont été dans des temps plus sépia et obscurs, ceux de l'apartheid constitutionnalisé. L'idée de la lignée Springbok n'est pas étrangère à Pieter-Steph du Toit car elle est aussi familiale.
Son grand-père, Piet du Toit, a ferraillé lors de la tournée historique de 1958 des Bleus à l'extrémité sud de l'Afrique, et glanera deux années plus tard le surnom de Spiere (« muscles » en Afrikaans) du Toit après avoir tordu la première ligne all black comme de vieux cartables lors de la tournée kiwie sur le sol sud-africain.
Un jour avec son frère, les deux ados trouvent des crampons dans le grenier de la ferme du Western-Cape. « Ils sont à votre grand-père », leur confie leur père. Loin d'en faire des reliques, ce dernier les encourage à les enfiler pour les entraînements, histoire de saisir le poids du passé. Les chaussures tiendront deux séances. « J'ai grandi avec ce sens de la destinée », dira le petit-fils au quotidien britannique The Guardian.
Handré Pollard n'a, lui, jamais beaucoup joué avec les gamins de son âge. Non pas qu'il était asocial mais plutôt surdoué. Le numéro 10 - qui est revenu de blessure pour prendre en cours ce Mondial - a appris le rugby du côté de Paarl, au nord-est du Cap, là où l'Afrique du Sud du rugby se donne rendez-vous chaque premier samedi d'août. « L'interskole », c'est le derby entre les deux lycées de la ville séparés de quelques centaines de mètres, Paarl Gim d'où est sorti Pollard et Paarl Boys High. Deux des plus grandes pépinières de jeunes rugbymen.
« L'interskole », c'est le match d'une vie pour ces adolescents : 25 000 spectateurs dans le décati stade de Faure Street en plein centre de la ville. Les old boys - les anciens élèves - reviennent dans ce temple comme on revient en famille au moment de Noël. Ils s'agglutinent sur la main courante, couleurs et tribunes distinctes et certains n'ont pas oublié que la région était viticole. Malheur au joueur qui s'approche trop près de la barrière et à qui on demande « si le numéro de [s] a soeur est toujours le même... » De quoi faire vite dégoupiller des ados à la testostérone, on le sait, mal équilibrée.
Pas Handré Pollard. Déjà parce qu'il n'a pas de soeur et surtout parce qu'il n'est pas de ce fer-là. Mais de celui des cyborgs. Monstre froid d'efficacité. À 16 ans, doublement surclassé, il participait à son premier interskole. « C'est le genre de match où tu comprends ce que veut dire le mot pression, alors que tu n'es qu'un ado.... », nous avait-il glissé en 2019.
À 17 ans, il participe à son premier rassemblement avec les Baby Boks. Un an plus tard. Il est champion du monde des moins de 20 ans face aux Baby Blacks, claquant un drop de près de 50 mètres en finale. Il est l'un des artisans du sacre mondial en 2019 avec 22 points en finale contre l'Angleterre et sera sur le banc, ce dimanche, face à la France. Même sur une jambe, son pied peut servir, surtout si l'écart au score est ténu.
Le pilier Steven Kitshoff (81 sélections), lui, sera titulaire face aux Bleus, devenu incontournable dans l'épreuve de force de destruction qu'imposent les Boks à leurs adversaires. Le gaucher est bien connu sur les bords de la Garonne puisqu'il a évolué deux saisons à l'UBB. Il y a appris à pousser en mêlée fermée ainsi que son vice affilié. La fédération a voulu rapidement le récupérer pour en faire le successeur d'un Tendai Mtawarira vieillissant.
Le quatrième larron, le deuxième-ligne Marvin Orie (16 sélections), regardera en blazer vert et or le quart de finale. Il avait déjà assisté en tribunes au sacre des Baby Boks en 2012.
Du côté français, on connaît bien Paul Willemse. Arrivé Espoir à Grenoble, il part vite à Montpellier tout en s'attirant les foudres des dirigeants isérois non prévenus de ses intentions. Derrière ses 135 kilos, le jeune homme cache une timidité étouffante, ce qui provoque de la maladresse. « Après les matches en Afrique du Sud, j'appréhendais beaucoup les interviews (avec les médias). C'était en anglais, ça me bloquait un peu. » Au sein de sa famille, l'incompréhension règne régulièrement. Son père se remarie, il ne s'entend pas avec sa belle-mère. « Il faut que tu dégages », lui assène son pasteur de paternel.
Son séjour en France se prolonge, sa masse impressionne en Top 14. Son nom est évoqué pour le coq brodé, ce qui devient réel le 1er février 2019 contre le pays de Galles. Mais il manque le Mondial 2019, blessé à l'aine. Délesté de 15 kilos, il devient la poutre du pack français sous l'ère Fabien Galthié, accumule 32 sélections, remporte le Grand Chelem mais s'abîme de nouveau avant le Mondial en France.
Allan Dell rentre dans cette catégorie de pilier gauche que l'Écosse aime tant aligner. Première-ligne au petit quintal, à la grande mobilité qui en fait un troisième-ligne caché. Andy Nicol et Tom Smith en étaient les plus illustres exemples. Avec 105 kg, Dell se sait fluet face aux « monstroplantes » qu'enfante l'Afrique du Sud. À moins de 115 kg, le jersey vert et or vous échappe.
Dell, lui, n'échappe pas au regard des « scouts » qui cherchent de par le monde des joueurs à la grand-mère écossaise. Cela tombe bien, la sienne du côté maternel - Joan Carmichael - est née à Paisley, à l'ouest de Glasgow. Il rejoint la franchise d'Édimbourg, s'épaissit quelque peu, glane ses premières sélections avec l'Écosse et connaît l'éternité le 20 juin 2017, à 19h47 précisément. Il entre sur la pelouse du Waikato Stadium non pas sous le maillot écossais mais sous le rouge jersey des Lions britanniques et irlandais. 834e du nom. Titre de noblesse qu'on ne lui enlèvera jamais.
Quand Oli Kebble s'abreuve de champagne en 2012 avec les Baby Boks, il a déjà connu du pays : l'Angleterre au lycée, les Landes et Mont-de-Marsan pour une année en Espoirs. Il ressemble plus aux canons de pilier sud-af (1,91 m pour 125 kg), mais cela ne fera pas de lui un espoir du poste. Il s'expatrie également en Écosse, patiente trois ans, chante à tue-tête « Flowers of Scotland » le 23 octobre 2020 dans un stade de Murrayfield vide contre la Géorgie. Onze sélections plus tard, il n'aura pas la chance de participer au Mondial français. Ni Allan Dell d'ailleurs.
Abraham Steyn a, lui, cumulé 50 sélections... mais avec l'Italie. Flanker remplaçant en 2012, Steyn veut s'expatrier au plus vite. Il a conscience que la troisième ligne est le poste où le puits est sans fond en Afrique du Sud. « Je m'apprêtais à partir en France (à Perpignan) mais il s'est passé des trucs qui font que je me suis retrouvé en Italie... Jamais je n'aurais jamais pensé jouer pour la Nazionale », déclare-t-il en 2020. Il fit même mieux. Il battit en novembre 2017 les Springboks dans ce qui est sans doute le match le plus mauvais de l'histoire de l'Afrique du Sud. Face à lui, quatre de ses coéquipiers (Pollard, Kitshoff, Lleyds et du Toit) ont la tête basse et la honte au corps.
Wiaan Liebenberg n'est pas le plus connu des joueurs sud-africains mais c'est lui qui souleva le trophée de champions du monde des moins de 20 ans en 2012, le seul gagné par l'Afrique du Sud. Passé par Montpellier, il rejoint La Rochelle et sera même titulaire pour le premier sacre européen des Maritimes en 2022 contre le Leinster. Tout comme Dillyn Lleyds (10 sélections) et Raymond Rhule (7 sélections), aux ailes ce jour-là et eux aussi Baby Boks en 2012.
Un autre de ces apprentis Boks avait montré le chemin pour La Rochelle. Le centre Paul Jordaan, au gabarit si normal pour un Sud-Africain et aux appuis électriques. Arrivé en 2016 en Charente-Maritime, il restera trois saisons. Il a monté depuis une société de safari au pays.
Posté 15 octobre 2023 - 16:57
La charniere bok est également titularisée pour contrer la vitesse de la notre et perturber notre point fort
ils cherhceront a mettre plus de volume de jeu mais l’idée première reste a mon avis d’empecher notre charniere de jouer.
si tu veux pourrir la vie de notre charniere du met Faf le blondinet , lui c est du pénible au cube ....
Posté 15 octobre 2023 - 17:57
Posté 15 octobre 2023 - 18:03
Posté 15 octobre 2023 - 18:03
Posté 15 octobre 2023 - 18:13
rien que ça
Il aurait meme ajouter : » pour les 2 suivantes aussi »!
si tu veux pourrir la vie de notre charniere du met Faf le blondinet , lui c est du pénible au cube ....
je parlais surtout en dynamisme. Mais oui FDK est un client, un penible meme.
On passe aux choses sérieuses !
Je vois un match serré pendant longtemps et un dénouement heureux avec victoire assez "aisée" des Bleus, style 8-10 points d'avance comme contre les NZ.
Alea jacta est.
Moi je vois plus rien, je commence a faire de l’huile!
Posté 15 octobre 2023 - 18:14
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