pour contrer les SudAfs , la vitesse d'exécution contre la puissance
vos avis ?
Posté 09 octobre 2023 - 21:12
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Posté 09 octobre 2023 - 21:14
pour contrer les SudAfs , la vitesse d'exécution contre la puissance
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oui
Posté 09 octobre 2023 - 22:14
pour contrer les SudAfs , la vitesse d'exécution contre la puissance
vos avis ?
Bin faudra de l'envie, pis rien lâcher sans oublier d'y mettre les bons ingrédients
Ah oui et un peu de chatte ne nuirait pas
Posté 09 octobre 2023 - 22:23
Voici la composition probable du XV de France selon Midi Olympique :
15. Ramos
14. Penaud
13. Fickou
12. Danty
11. Bielle-Biarrey
10. Jalibert
9. Dupont (cap.)
8. Alldritt
7. Ollivon
6. Cros
5. Flament
4. Woki
3. Atonio
2. Mauvaka
1. Baille
Les remplaçants probables :
16. Bourgarit
17. Wardi
18. Aldegheri
19. Taofifenua
20. Cros
21. Lucu
22. Moefana
23. Jaminet
je pense qu'ils voulaient dire Jelonch en 6. à la place de Cros.
Posté 09 octobre 2023 - 22:33
Voici la composition probable du XV de France selon Midi Olympique :
15. Ramos
14. Penaud
13. Fickou
12. Danty
11. Bielle-Biarrey
10. Jalibert
9. Dupont (cap.)
8. Alldritt
7. Ollivon
6. Cros
5. Flament
4. Woki
3. Atonio
2. Mauvaka
1. BailleLes remplaçants probables :
16. Bourgarit
17. Wardi
18. Aldegheri
19. Taofifenua
20. Cros
21. Lucu
22. Moefana
23. Jaminet
je pense qu'ils voulaient dire Jelonch en 6. à la place de Cros.
Contre l'Italie, Cros fait un entrée fracassante, il tamponne à tout va histoire de montrer à Galtoche, "qui c'est Raoul'
Jelonch ne semble pas totalement revenu au top, moins impactant, contre les Sudafs, ce serait logique et raisonnable de titulariser Cros.
Posté 09 octobre 2023 - 22:35
Posté 10 octobre 2023 - 05:49
pour contrer les SudAfs , la vitesse d'exécution contre la puissance
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Ben sur le papier ça parait assez évident....après aurons -nous , la capacité face à l 'agressivité défensive des Boks d 'avoir des ballons propres , des sorties rapides et non ralenties....sans se mettre à la faute et dans le rouge après la 65 mn....
Info ou intox ils annoncent un banc 7 + 1 ( arrière) ce qui en dit long sur leur stratégie lisible pour nous dézinguer !
A voir....on a touts les ingrédients pour y croire sérieusement avec le 16° Homme , mais les aléas d'un match annoncé serré à l 'instant T rendent l 'issue très ouverte !
Posté 10 octobre 2023 - 06:04
Dans les années 1990, Abdelatif Benazzi (55 ans, 78 sélections) n'a battu les Springboks qu'une fois en sept tentatives mais il a gardé de cet exemplaire unique à la fois un beau souvenir et un autre qui fait plutôt froid dans le dos. L'ancien capitaine des Bleus se souvient de la tournée là-bas en 1993, de la soumission des Noirs qu'il croisait. Des scènes qui lui permirent d'accepter, deux ans plus tard à la Coupe du monde, qu'on ne lui accorde pas l'essai en fin de demi-finale contre les Boks.
« Vous faites partie, en octobre 1992, de la première équipe qui arrive à battre les Boks en France (29-16). Ce qui est étrange, c'est qu'en relisant nos archives, il semble qu'un journaliste ait demandé juste après ce match à Olivier Roumat s'il n'avait pas eu l'intention de vous venger...
(Il éclate de rire). Moi, j'ai battu le record d'Antoine Dupont. J'ai joué ce second test au Parc des Princes avec une fracture du sinus. La semaine d'avant, à Lyon (défaite 15-20), je prends une manchette par-derrière d'une espèce de connard qui s'appelle Geldenhuys (Adrian, un deuxième-ligne). Je finis le match comme ça. Je me suis réveillé sous la douche. Je ne me rappelais rien de cette mi-temps. À l'époque, entre deux tests, on rentrait dans nos clubs. À Agen, je passe des examens et le docteur m'annonce une fracture du sinus. Je lui dis direct : « Personne ne doit le savoir, tu ne dis rien. Si tu en parles, je te casse la tête (rire). » C'était de l'inconscience. Aujourd'hui, je me dis qu'on était fous.
Roumat dit que Geldenhuys était tellement inquiet de représailles qu'il est passé à côté de son match à Paris...
En me tapant, il s'était fait une fêlure à l'avant-bras. Pas de bol. Moi, j'ai fait signer par tous mes coéquipiers le ballon de ce match. Ce "Wallaby" en cuir est à la maison.
Vous étiez aussi présent, tout comme Fabien Galthié, lors de la déroute du siècle en novembre 1997, à Paris (10-52).
C'était la transition entre l'équipe de (Pierre) Berbizier (Coupe du monde 1995) et celle
de (Jean-Claude) Skrela (Coupe du monde 1999). Pas mal de joueurs ont fini là-dessus. On avait lâché mentalement. Pour la première fois, on voyait des Sud-Africains qui relançaient de leur camp. Leur ailier (Pieter) Rossouw nous avait tout fait (quatre essais). C'était dur car c'était le dernier match au Parc des Princes.
Ce soir-là, le numéro 6 sud-africain était un certain Rassie Erasmus (directeur du rugby des Boks aujourd'hui)...
Honnêtement, ce n'est pas celui qui m'a marqué le plus. J'étais plus impressionné par leur capitaine, Gary Teichmann, et surtout par leur numéro 7, André Venter, super costaud et super rapide.
On parle beaucoup du pack des Springboks d'aujourd'hui mais, dans les années 1990, ils étaient terrifiants, non ?
Andrews, Pienaar, Wiese, Kruger, Venter, Du Randt, c'était des monstres, des bouchers. Ils avaient un peu "la connerie" comme on dit mais c'était aussi de sacrés joueurs, avec cette envie de faire mal. À l'époque, avec Roumat, (Olivier) Merle, (Marc) Cécillon ou moi, on était outillés. On n'était pas des tendres non plus.
Combien de versions existe-t-il de l'essai qui vous a été refusé à Durban le 17 juin 1995 en demi-finales de la Coupe du monde (défaite française 19-15) ?
Pas plus tard que la semaine dernière, je commentais le film Invictus dans une classe d'école. Et on a rouvert le débat sur cet essai de la 78e minute. Chaque fois que je rencontre quelqu'un pour la première fois, il m'en parle. Alors, il faut expliquer, encore et encore. Je songe à lancer une marque de t-shirt "J'avais marqué à Durban" (rire). Cette action, j'en parlerai jusqu'à la fin de ma vie.
« Quand je regarde les Springboks, quand je vois leur capitaine noir (Siya Kolisi) qui est si solaire, je me dis que 1995 y est pour quelque chose »
Sauf qu'à l'époque, juste après le match, dans le vestiaire, vous dites aux journalistes et à vos coéquipiers : "Je n'ai pas marqué. Il manquait ça, une main. " Vous saviez que ce que vous dites à ce moment-là n'est pas la vérité ?
Bien sûr. J'ai accepté que cette Coupe du monde dépasse le sport. Deux ans auparavant, je faisais partie de l'équipe de France en tournée là-bas. Je n'avais pas pu jouer les deux tests à cause de blessures. Je passais beaucoup de temps loin du terrain et c'était choquant. Horrible même. À Pretoria, à Johannesburg, les gens étaient armés. Il y avait des endroits indiquant "Only White". Quand on est allés jouer à Bloemfontein, on entendait des discours suprémacistes. Je n'ai pas oublié la soumission de ces gens noirs, la tête baissée. Ceux qui travaillaient dans nos hôtels avaient été affublés par les Blancs de prénoms "blancs", pour renier leur identité. Ils étaient terrorisés, ne voulaient pas que ça se sache. En deux ans, cette Coupe du monde a réglé beaucoup de choses. Pas tout, bien sûr. Pas tout. Mais aujourd'hui, quand je regarde les Springboks, quand je vois leur capitaine noir (Siya Kolisi) qui est si solaire, je me dis que 1995 y est pour quelque chose.
Berbizier, le sélectionneur de l'époque, parlera d'une "des plus grandes escroqueries sportives de l'histoire".
Pierre a fait des protestations, il a envoyé des vidéos, il a refusé de venir à l'avant-première du film Invictus en France. Et il avait raison de dire que la politique avait pris le pas sur le sport. Mais c'était un autre temps. Le rugby était encore un sport amateur, les enjeux n'étaient pas ceux d'aujourd'hui. Il n'y a pas longtemps, mon ami François Pienaar, avec qui j'ai joué aux Saracens, a dit publiquement : "S'il y avait eu 40 000 spectateurs français dans le stade, l'essai aurait été accordé." Ce jour-là, on n'aurait pas dû jouer. Le terrain était injouable à cause du déluge qui s'était abattu. Mais si ce match n'avait pas pu être joué, on aurait été qualifiés. C'était le règlement. Mais c'était impensable que ça se passe ainsi.
Vos coéquipiers de 1995 ont-ils compris votre démarche ?
Je ne sais pas. Peut-être pas tous. Et je peux le comprendre. Franchement, j'ai fait trois Coupes du monde (quarts de finale en 1991, demies en 1995, finale en 1999) mais c'est l'équipe de 1995 qui était la plus proche d'être championne, la plus préparée pour ça. Pierre (Berbizier) avait décidé que nos sparring-partners seraient les matons d'une prison près de Pretoria. C'était une préparation très dure. Comme les Bleus d'aujourd'hui, on avait battu tout le monde les deux années avant. On avait remporté les séries de tests en Afrique du Sud (1993, 1 victoire et 1 nul) et en Nouvelle-Zélande (1994, 2 victoires).
« En 1995, j'ai perdu sportivement mais j'ai gagné humainement »
Vous arrivez à regarder le film "Invictus" sans aucune amertume ?
J'ai été invité à l'avant-première en Afrique du Sud. Quand je suis arrivé à cette soirée, François Pienaar a lancé : « Merci, Abdel, de nous avoir aidés à gagner. » L'hospitalité était au top (rire). Moi, je n'aime pas me torturer sur des choses qu'on ne peut plus changer. Trois jours plus tard, on devait affronter les Anglais pour la petite finale et je ne voulais pas qu'on perde contre eux (victoire des Bleus, 19-9). Cette demi-finale, c'était plus grand que nous... À la remise des maillots ce jour-là, Berbizier a un mot pour toucher chacun d'entre nous. Moi, il me parle en arabe : "Mektoub, c'est ton destin Abdel." C'est pas anodin ça. C'est un peu mystique et peut-être que beaucoup de gens ne le comprendront pas mais cette action-là, c'était "mektoub", le destin du peuple sud-africain. Cette action-là, même aujourd'hui avec un genou en bois, même avec Philippe Saint-André qui tombe devant moi et me gêne, je marque 99 fois sur 100. Mais ça valait le coup... Pendant la finale, on était au stade. J'ai versé des larmes. L'entrée de Nelson Mandela, Pienaar, qui est quand même très afrikaner et qui dit que c'est la victoire de 42 millions de Sud-Africains, des Blancs qui embrassent des Noirs devant moi en tribunes. En 1995, j'ai perdu sportivement mais j'ai gagné humainement. C'était un moment magique. Mais à quel prix...
Oui, car cette équipe championne en 1995, c'est aussi la mort qui rôde.
James Small, qui poussait le ballon en demi-finales pour pas qu'on puisse voir
que j'avais aplati sur la ligne, il est mort (en 2019). J'ai la chair de poule en vous parlant de ça. Joost Van der Westhuizen, décédé de la maladie de Charcot en 2017. Ruben Kruger n'est plus là (décédé en 2010). Chester Williams n'est plus là (décédé en 2019). Deux mois avant sa mort, on était tous les deux au Portugal pour un tournoi caritatif de golf. Venter est tétraplégique. Sans soupçonner quoi que ce soit, on a l'impression qu'ils se sont sacrifiés pour un moment d'histoire.
Est-il vrai que Mandela vous a écrit une lettre ?
Oui. C'est l'ambassade d'Afrique du Sud à Paris qui m'a transmis ce courrier dans lequel il me remerciait. Il m'avait même autorisé à reproduire ses propos pour la préface de mon autobiographie.
Dimanche, ce sera le deuxième France-Afrique du Sud de l'histoire en Coupe du monde. Que vous inspirent ces Bleus ?
Je trouve ce groupe hyper sain. Ce sont vraiment de bons mecs. J'aime le parcours atypique de Thibaud Flament, qui me rappelle le mien. Lui est passé par la Belgique, l'Argentine ; moi, j'étais le Marocain repéré au cours d'un tournoi à Prague. J'ai eu la chance de dîner avec son père à Lille. Ce sont des gens humbles, travailleurs. Je suis un peu fan de Flament comme je le suis de (Charles) Ollivon. Je pense que les Bleus ne s'imaginent pas ce qu'ils représentent dans la France entière. Moi qui sillonne les clubs (il est vice-président de la FFR, chargé des relations internationales), je mesure cette adhésion. Il n'y avait pas ça en 2007. Les autres équipes ne peuvent pas échapper à ce bloc national autour de l'équipe hôte. C'est une puissance terrible.
En parlant de puissance, auriez-vous aimé affronter une équipe sud-africaine qui aurait placé sept avants sur son banc ?
Ça m'aurait excité, je crois (rire). Il ne faut pas trop regarder ce qu'ils vont faire. En tout cas, je préfère qu'on affronte les Springboks que les Irlandais. »
Posté 10 octobre 2023 - 09:27
J'espère vraiment qu'ils voulaient dire Jelonch en 20...
Posté 10 octobre 2023 - 09:35
Posté 10 octobre 2023 - 15:47
Contre l'Italie, Cros fait un entrée fracassante, il tamponne à tout va histoire de montrer à Galtoche, "qui c'est Raoul'
Jelonch ne semble pas totalement revenu au top, moins impactant, contre les Sudafs, ce serait logique et raisonnable de titulariser Cros.
Jelonch il a un coté premier de la classe ,un coté bon gendre qu'on aime bien , sont manque d'impact contre les gros cubes se fera sentir, contres les ABs c'était Cros je crois, ne prenons pas de risques inutiles ,il a la fringale et va mettre les mains ou je n'émettrai pas les pieds ...
je parierai que Galtoche va épargner Antony de la boucherie qui nous attend, il est sympa ce Galtoche...
Posté 10 octobre 2023 - 16:06
pour contrer les SudAfs , la vitesse d'exécution contre la puissance
vos avis ?
si tu gagnes pas le ballon la vitesse elle te sert a rien , si a plaquer ,et avec des Penaud, Danty, LBB, Ramos, Jalibert,Fickou faut passer la la ligne et avec des ballons en mains...
Le combat tu peut pas l'éviter au rugby ,il est présent partout sur chaque ballon porté, en l'air, dans les rucks il faut le gagner et avec les corones...
De savoir qu'on peut jouer la demi contre les ABs , ça motive c'est sur...
Posté 10 octobre 2023 - 16:26
La tension monte, finale avant l'heure blabla, cela va être un match dur et sur le fil
Posté 10 octobre 2023 - 16:27
Comme le racigne?on dit "fruste" pas "frustre", et ça n'a rien à voir avec "frustré" ! Et concernant les Sudafs je préfère dire : "drogués"
Posté 10 octobre 2023 - 16:42
La tension monte, finale avant l'heure blabla, cela va être un match dur et sur le fil
Match de Titans.....bien malin qui peut argumenter pour miser sur un vainqueur ....
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