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Australie


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13 réponses à ce sujet

#1 el landeno

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Posté 11 octobre 2023 - 20:50

Broncan sur l'échec de l'Australie à la Coupe du monde : « Les joueurs sont habitués à lâcher » L'entraîneur français Pierre-Henry Broncan, en charge des mauls et des rucks offensifs de l'Australie jusqu'à la Coupe du monde, revient sur l'échec des Wallabies, éliminés dès la phase de poules.

« Dimanche soir, pendant Portugal-Fidji (24-23), l'Australie a été deux fois à un point de la qualification. Comment avez-vous vécu cette soirée, qui a finalement acté l'élimination des Wallabies ?
On était ensemble, le staff et l'équipe, tout le monde. C'était sympa, une bonne ambiance. On était quand même lucides, on savait qu'on avait très peu de chances de se qualifier. Le tournant pour nous, c'est quand les Portugais mènent 10-3, ils ont tout de suite une occasion de marquer à nouveau. Malheureusement il y a un turnover et, dans la foulée, essai des Fidji. Il restait du temps, mais à 17-3, ça aurait été compliqué pour les Fidjiens qui avaient perdu le fil du match et qui avaient du mal à imposer leur jeu.

 
 

Quel bilan faites-vous de cette Coupe du monde et de cet échec dès la phase de poules ?
La jeunesse de l'équipe n'a pas fonctionné sur cette Coupe du monde. Elle n'a pas manqué d'expérience mais de vécu collectif. Je pense que, dans quatre ans, cette équipe sera très compétitive, à condition, dans les quatre ans, de travailler beaucoup plus que ne le font les joueurs australiens en Super Rugby. On s'aperçoit que les joueurs qui évoluent en France, Will Skelton et Richie Arnold, ont une éthique de travail beaucoup plus importante que les joueurs qui sont en Australie.

« Carter Gordon a quatre ans pour travailler son jeu au pied. Quand tu veux être un numéro 10 de niveau international, le tir au but ce n'est pas "quand je veux", c'est tout le temps »

 

 
 
 

Pourquoi ?
Parce que le Championnat est bon, qu'il y a la Coupe d'Europe, qu'il faut s'entraîner pour jouer tous les week-ends. En Super Rugby, c'est maximum une quinzaine de matches dans l'année. Il y a peu d'enchaînements. Les jeunes Australiens manquent de matches de haut niveau. Le Super Rugby a énormément perdu avec le départ des Sud-Africains et des Argentins. Ce Championnat s'est appauvri en qualité et en quantité.

 
 

Ce sera au rugby australien de donner à Eddie Jones la capacité d'entraîner une quarantaine de joueurs à l'année, ce qu'a fait l'équipe de France après une Coupe du monde catastrophique en 2015. Il y a eu l'instauration des JIFFs puis, avec Fabien Galthié, les quarante joueurs présents pour préparer les matches internationaux. 28 à 30 joueurs bloqués, interdits de jouer en club pendant le Six Nations, une préparation qui s'est intensifiée autour de l'équipe de France. Il faut que ce soit la même chose pour l'Australie s'ils veulent être performants.

Le manque de compétitivité du Super Rugby explique la qualité moindre des entraînements de certains ?
Ils ne sont pas habitués à travailler sous pression, à être constants dans la précision et la concentration. On le sent bien. Ils sont habitués à travailler à haute intensité, ce n'est pas le souci, mais c'est la précision qui manque. Le sens tactique, aussi. Il y a très peu de tacticiens parmi les joueurs. Ça vient de la jeunesse de cette équipe, du manque de vécu collectif et de l'absence de pression dans leur Championnat.

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Pierre-Henry Broncan. (A. Mounic/L'Équipe)

Malgré ça, vous les imaginez forts dans quatre ans ?
Tout à fait. Il y a une moyenne d'âge très jeune, beaucoup de joueurs entre 19 et 24 ans. Ces joueurs ont un potentiel énorme. S'ils s'entraînent vraiment dur, ils deviendront de grands joueurs. De la qualité, il y en a. Il y a aussi quelques moins de 20 ans qui vont vite franchir le cap. Un bilan va être fait jusqu'en novembre en Australie. Le nerf de la guerre sera le côté financier. Ils ont la tournée des Lions Britanniques en 2025, la Coupe du monde en 2027. Il y a un projet sur quatre ans vraiment intéressant. Il faut qu'ils surfent là-dessus.

Est-ce difficile, pour des joueurs si jeunes, de se relever d'un tel échec ? On pense notamment à l'ouvreur Carter Gordon qui est passé totalement à côté...
C'est au contraire une très bonne expérience. C'est là-dessus qu'ils doivent bâtir, Carter Gordon le premier. Il a quatre ans pour travailler son jeu au pied, le tir au but. Des choses qu'il ne fait pas, ou en tout cas qu'il a peu faites jusqu'à maintenant. Quand tu veux être un numéro 10 de niveau international d'une grosse nation, le tir au but ce n'est pas "quand je veux", c'est tout le temps. C'est un exercice qu'il doit pratiquer. Il doit s'imposer en club comme buteur numéro 1 et s'entraîner pour avoir un pied de niveau international.

« La Coupe du monde, on la perd la semaine où on perd (Taniela) Tupou et (Will) Skelton. Au moins un des deux aurait été présent, je pense qu'on aurait battu les Fidji »

 

 
 
 

Quand la Coupe du monde a démarré, vous aviez vraiment l'ambition d'aller loin malgré une sélection portée sur l'avenir ?
Oui, mais la Coupe du monde on la perd la semaine où on perd (Taniela) Tupou et (Will) Skelton. Notre mêlée et notre paquet d'avants étaient bien moins bons sans eux. On avait dominé la mêlée française (en match de préparation le 27 août au Stade de France) parce qu'on avait Tupou et Skelton. Avant ça, on avait dominé la mêlée néo-zélandaise pour les mêmes raisons. Malheureusement, le réservoir australien n'est pas le réservoir français. Ces deux joueurs-là n'ont pas été remplacés par des joueurs du même profil. Au moins un des deux aurait été présent, je pense qu'on aurait battu les Fidji.

Deux blessures musculaires la même semaine sur deux entraînements différents, c'est un point très négatif de la préparation. Tupou et Skelton sont des joueurs lourds. Il leur faut une prépa physique personnalisée, c'est impossible de les préparer comme les autres. Ça a certainement été mal géré, mais c'est facile à dire après. Skelton était notre capitaine, le joueur expérimenté du groupe, celui qui devait faire l'équilibre avec la jeunesse. Et Tupou est une force de la nature. C'est dommage.

Avec le recul, comment expliquez-vous l'humiliation subie contre le pays de Galles (40-6) ?
À la mi-temps (16-6), j'étais persuadé qu'on allait gagner ce match. Je trouvais qu'on était dedans, qu'on dominait cette équipe galloise sur la dimension physique. Malheureusement, j'en reviens à l'éducation australienne et au Super Rugby : dès le début de la seconde mi-temps, on prend une pénalité qui nous fait passer à -13. Et les joueurs ont lâché. Ils sont habitués à lâcher.

En Top 14, il y a le bonus défensif. Tu t'accroches pour revenir à cinq points. Ça n'existe pas chez eux. Ils ne sont pas habitués à rester dans le match. Alors que 13 points d'écart, c'est rien ! Ces joueurs ont la mauvaise habitude de lâcher. C'est inconscient. Il faut que cet état d'esprit change. Et pour ça, il faut être habitué à s'entraîner plus dur, à être en situation de pression et, tactiquement, avoir des scénarios à jouer plus souvent.

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Pierre-Henry Broncan au premier plan, Eddie Jones au second. (A. Martin/L'Équipe)

Eddie Jones a cristallisé toutes les critiques. Comment l'avez-vous vécu ?
Je l'ai trouvé très bon à l'intérieur du groupe. Il a toujours mis les joueurs et le staff en confiance, il a toujours été positif en parlant d'amélioration, de travail, même la dernière semaine alors qu'on n'avait pas de match à jouer. Même au niveau des coaches, avec beaucoup qui venaient du XIII ou du foot australien, il n'a jamais été critique envers eux. Il les a soutenus. Je ne dis pas qu'il les gardera, certainement qu'il ne les gardera pas parce qu'il a bien vu que ça ne fonctionnait pas, ce n'est pas le même sport. Mais il a toujours été là. Si Eddie reste, il fera de cette équipe australienne une grosse équipe en 2027.

« Eddie (Jones) est un compétiteur. S'il n'y a pas les moyens ou s'il sent que ça va continuer comme avant, ça sera dur pour lui de rester »

 

 
 
 

C'est un grand "si"...
Oui, parce que ça va dépendre de ce qu'ils sont capables de mettre en place. Eddie est un compétiteur. S'il n'y a pas les moyens ou s'il sent que ça va continuer comme avant, ça sera dur pour lui de rester. S'il sent une vraie dynamique et une volonté du rugby australien de créer un environnement de haute performance, je pense qu'il sera là.

Les informations selon lesquelles il a passé un entretien pour devenir le prochain sélectionneur du Japon ont-elles perturbé le groupe ?
Ça n'a pas du tout perturbé le groupe. Eddie, on connaît sa relation avec le Japon. Sa mère est Japonaise et vit au Japon, sa femme aussi. Il est consultant ou directeur sportif de Suntory, un des plus gros clubs japonais, il a entraîné l'équipe nationale. Les Japonais aimeraient vraiment faire revenir Eddie Jones à la tête de la sélection, on le sait. Mais il a toujours été engagé avec nous à 100 %. Il travaille tout le temps, très tôt le matin. Il n'a jamais lâché. Il a toujours parlé d'avenir aux joueurs. Ça dépendra de ce qui va se mettre en place. Il n'y a pas de temps à perdre. Les Français, ils ont eu quatre ans pour construire un groupe. Ils préparent cette Coupe du monde depuis quatre ans. L'Australie doit prendre exemple là-dessus.

Plus personnellement, quel bilan tirez-vous de cette aventure ?
Que du positif. J'ai vécu en Australie cinq mois, j'ai découvert un pays, une culture. J'ai vécu des moments extraordinaires à Arnhem Land avec les Aborigènes. Un endroit protégé, tu as besoin d'une permission pour y entrer, c'est interdit aux touristes. On a passé deux jours au milieu des crocodiles et des requins. Des enfants de huit ans qui jouent avec des serpents comme s'ils jouaient avec un chien. Des histoires autour de la culture aborigène, un mode de vie... Tu es coupé du monde, tu n'as pas de réseau. Une expérience unique.

Et rugbystiquement, le Championship, des matches en Afrique du Sud et en Nouvelle-Zélande. Une Coupe du monde en France... Des super moments. Au contact d'Eddie, même si on n'a pas eu de résultats, sur le concept d'entraînement, de gestion de groupe, il y a des choses très intéressantes. Ça me fait grandir et acquérir plus d'expérience.

Quelle est la suite pour vous ?
Je vais prendre une décision fin octobre, début novembre. J'ai des propositions différentes : retourner en club, une sélection nationale, continuer avec Eddie Jones. Je vais en discuter chez moi. Tant mieux, je ne me plains pas, j'ai le choix.

 


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#2 Arverne03

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Posté 25 octobre 2023 - 07:13

J'ai le vague sentiment que leur coupe du monde verra une équipe Australienne au top ! 



#3 el landeno

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Posté 20 septembre 2024 - 09:40

L'Australie, dernière du Rugby Championship, s'attend au pire face à la Nouvelle-Zélande Un an après son Mondial raté, l'Australie continue de s'enfoncer, à la veille, ce samedi (7h45), d'une confrontation avec la Nouvelle-Zélande qui s'annonce compliquée.

 
 

C'est une semaine de Bledisloe Cup, la visite du meilleur ennemi néo-zélandais, attendu demain (7h45) au stade olympique de Sydney. Alors le rugby australien a tenté de retrouver l'excitation que ce rendez-vous annuel suscite la plupart du temps, en évoquant par exemple les retrouvailles de Joe Schmidt avec des All Blacks auprès desquels il était coach adjoint lors de la Coupe du monde 2023. « C'est étrange ! », a commenté le sélectionneur des Wallabies, saisissant la perche en conférence de presse, ce jeudi. Mais ce qui l'est encore plus, étrange, c'est la forme de son équipe et les problèmes structurels dans lesquels se débat le rugby down under.

 
 

Il y a deux semaines, les champions du monde 1991 et 1999 ont ainsi subi une correction historique à Santa Fe, l'Argentine leur infligeant 67 points, un total jamais encaissé par les Wallabies (défaite 67-27). Comme un écho de leur élimination précoce, dès la phase de poules, lors du mondial l'an dernier, un affront jamais vécu par la sélection.

« Ce résultat ne m'a pas étonné, c'est plutôt qu'ils aient gagné le premier test là-bas (19-20) qui m'a surpris, soupire Pierre-Henry Broncan, adjoint d'Eddie Jones il y a moins d'un an, avant de reprendre Brive (Pro D2). À la Coupe du monde, on a tout mis sur Eddie, mais le mal est plus profond. Le rugby, c'est le parent pauvre du sport collectif en Australie. »

Si l'on se cantonne à l'univers du ballon ovale, la popularité du 15 est à la traîne, comparée à l'Aussie Rules, le football australien et son Championnat AFL, ou au rugby à 13 et sa puissante NRL. Cette dernière a d'ailleurs débauché l'ailier Mark Nawaqanitawase, une des rares attractions des Wallabies, parti aux Roosters à 24 ans.

« Eddie Jones (ex-coach australien) a été brutal dans son fonctionnement, mais il avait compris qu'il fallait tout casser, et il n'a pas été suivi »

Pierre-Henry Broncan, ex-adjoint d'Eddie Jones

 
 
 
 
 

La santé financière de la Fédé Australienne (RA) n'a pas dû aider dans ce dossier : après l'exercice 2023, elle affichait des pertes de 5,6 millions d'euros et a assisté, impuissante, à la faillite des Mebourne Rebels, l'une des cinq franchises de Super Rugby, happés par une dette de 14 millions d'euros.

Phil Waugh, ancien international respecté et patron exécutif de RA, peut compter sur la venue des Lions britanniques et Irlandais, l'an prochain, pour générer quelques revenus et remonter la pente financièrement, afin de redonner un élan avant une Coupe du monde 2027 à domicile qui, là aussi, sera capitale pour l'exposition de la discipline. Mais le vivier de quatre clubs pros, tous incapables de remporter le Super Rugby depuis une décennie, dans lequel pioche Joe Schmidt reste limité en nombre et en qualité. Le Néo-Zélandais a beau avoir montré son savoir-faire avec l'Irlande puis les Blacks, attiré auprès de lui un Mike Cron, gourou es-mêlées, il n'a pas la main sur tous les dossiers.

« Les barrières sont dures à lever en Australie, regrette Broncan. Eddie Jones a été brutal dans son fonctionnement, mais il avait compris qu'il fallait tout casser, et il n'a pas été suivi. Ça ne peut pas continuer comme ça s'ils veulent retrouver des résultats de haut niveau. » Des voix toujours plus nombreuses s'élèvent ces dernières semaines, pour réclamer un nouveau Championnat local (Michael Cheika) à même de développer de jeunes talents, ou suggérer un assouplissement des règles de sélections.

Car le rugby australien est toujours prisonnier de son intransigeance, à limiter sévèrement le nombre de sélectionnés qui ne jouent pas au pays, quand tant de figures majeures sont tentées par l'exil. « Il y a une perte de la valeur de la sélection, observe Broncan. Être international, c'est formidable, gratifiant, et il faut aller se le chercher. Mais aujourd'hui, avec ces contraintes fédérales, ce ne sont pas toujours les meilleurs qui sont sélectionnés. C'est dommage. » Et ça ne changera pas lors de ce Rugby Championship où les Wallabies, après quatre défaites en cinq matches, semblent promis à la dernière place.

 
 


#4 Arverne03

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Posté 21 septembre 2024 - 07:06

Les grandes équipes ne meurent jamais ! On va donc attendre................



#5 F@b

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Sont pathétiques les aussies

#6 steph

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Sont pathétiques les aussies


Essai de Santos, sur un beau service de Santos.

#7 Buckaroo

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Posté 21 septembre 2024 - 08:44

Quelque chose me dit que, vu la configuration du match, on ne verra pas Plummer entrer en jeu.



#8 steph

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Posté 21 septembre 2024 - 08:48

J'avais trouvé les blacks intéressants lors du premier match face aux boks, où ils se sabordent avec un coaching catastrophique, mais ils sont toujours dans le dur.

#9 F@b

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Posté 21 septembre 2024 - 08:53

Évidemment ils marquent
Ce match est très moche

#10 steph

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Posté 21 septembre 2024 - 08:55

Il a signé au LOSC Perenara ?

#11 Lima

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Posté 21 septembre 2024 - 08:59

Deuxième mi-temps intéressante des australiens, il y a quelques bons joueurs mais franchement c'est trop limité.

 

Il va falloir que deux ou trois joueurs majeurs émergent d'ici là pour guider l'équipe.



#12 Buckaroo

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Posté 21 septembre 2024 - 09:07

Deuxième mi-temps intéressante des australiens, il y a quelques bons joueurs mais franchement c'est trop limité.

 

Il va falloir que deux ou trois joueurs majeurs émergent d'ici là pour guider l'équipe.

Il va aussi falloir des changements structurels profonds au sein de la fédération, des règles de sélection, du SR, etc.

Et ils se font trop facilement prendre sur le physique, et ça fait trop longtemps que ça dure.


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#13 InASMWeTrust

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Posté 21 septembre 2024 - 14:48

Il va aussi falloir des changements structurels profonds au sein de la fédération, des règles de sélection, du SR, etc.

Et ils se font trop facilement prendre sur le physique, et ça fait trop longtemps que ça dure.

Le rugby en Australie, c'est l'équivalent du hockey sur glace chez nous. C'est un sport mineur, surtout universitaire. Pourtant du talent ils en ont. Il y a 10 ans de travail de fond à faire. 


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#14 Arverne03

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Posté 21 septembre 2024 - 14:58

Le rugby en Australie, c'est l'équivalent du hockey sur glace chez nous. C'est un sport mineur, surtout universitaire. Pourtant du talent ils en ont. Il y a 10 ans de travail de fond à faire. 

 

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