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[Silhouette]

Dans ce domaine, le commentateur de la cérémonie d'ouverture vient de battre des records du monde de c......:

A propos du Mexique ... "le Mexique ce pays qui a acceuilli les jeux en 1968 réunissant les jeux d'été et les jeux d'hiver car Mexico est à 2400 m d'altitude  ..

Encore plus fort pour le Mozambique 3 minutes plus tard : "le Mozambique, ce pays situé entre Haïti et le Guatemala"

J'étais tellement scotché que j'ai fait un retour en arrière  pour vérifier ... mais il a bien dit ça !!!!!!

Grenoble, fameuse banlieue de Mexico City \o/

[RCV06]

J ai adoré cette cérémonie, quelques longueurs mais globalement c'était top

[tekilapaf]

Plus de 4 heures non? Je ne les ai senti passer.

[jm12]

Plus de 4 heures non? Je ne les ai senti passer.

Moi non plus...

 

Après on ne peut avoir le beurre et l 'argent du beurre , dans ce monde du bling bling et surtout de la démesure , 2 millions d'euros pour Céline Dion et 120 millions d'euros de coût final.....annoncé 

 

Sans vouloir jouer les pisses vinaigre , ça flambe sec là , après nous avoir serinés de la dette abyssale ,  dans un puits sans fond, on va pas gâcher cette magnifique réussite , mais bon un peu plus de mesure quand même !

[el landeno]

Un stage de cohésion avant les JO : comment les rugbymen de l'équipe de France de rugby à 7 se sont préparés les Jeux de Paris Avant de viser une première médaille olympique ce samedi au Stade de France, les Bleus se sont préparés de manière originale, fin juin à Capbreton. Largués en haute mer, ils ont testé la solidité de leurs liens face à la puissance de l'océan, l'autre passion de leur entraîneur Jérôme Daret.

 

 

Ça barbote dans la flotte et puis soudain, un cri au milieu des jet-skis : « C'est de la merde ! » On n'a pas reconnu à qui appartenait cette voix parmi la quinzaine de gaillards en train de galérer dans les vagues de l'Atlantique, mais elle a eu le mérite de faire rire un paquet de monde, notamment les observateurs installés sur le bateau d'escorte.

 

 

Un gros mois avant leur entrée en lice dans le tournoi de leur vie à Paris, les Bleus se sont retrouvés à Capbreton (Landes) pour un exercice un peu particulier. L'idée a germé dans l'esprit de l'entraîneur de l'équipe de France, Jérôme Daret. Pur Landais, le technicien a un rapport étroit avec l'océan, son élément. « Je suis né les pieds dans l'eau, je suis un côtier », sourit le sélectionneur. En concertation avec son amie Stéphanie Barneix, championne du monde de sauvetage côtier, il a concocté un programme en six séquences, intitulé « La puissance de l'océan ». L'exercice du 26 juin était le dernier, et de loin le plus difficile.

 

Jérôme Daret (au centre, en jaune) brief ses joueurs avant de partir au large. (R. Perrocheau/L'Equipe)

Rendez-vous avait été donné à 8 heures au ponton B du port de Capbreton. Les 16 joueurs présents - Antoine Dupont, en pleine préparation de la finale du Top 14 entre Toulouse et l'UBB, était absent -, ont alors enfilé leur combinaison en lycra et sagement écouté le briefing de Stéphanie. « On va aller en haute mer et vous larguer à environ 1,2 kilomètre du rivage. Vous allez voir, l'eau y est plus froide. Vous allez peut-être croiser des physalies qui peuvent envenimer. Ça fait mal mais ce n'est pas dangereux. Ah, et il y a des requins aussi. »

 

 

 

Vous vous doutez qu'à ce moment-là, quelques regards ont changé de lueur. « Observation active, les gars ! » crie Andy Timo. « Si jamais vous voyez un aileron, ne vous sauvez pas, sinon il vous prend pour une proie », précise Stéphanie Barneix, pour rassurer tout le monde... Quelques heures plus tard, elle nous avouera que le risque de croiser des requins, avec le bruit des Jet-Skis des sauveteurs présents pour encadrer la sortie, était mince. Mais les joueurs n'étaient pas obligés de le savoir.

Une sortie au large fédératrice

Yeux bandés, ils sont partis vers le large en bateau, déboussolés. Ça n'a pas empêché certains de faire les mariols dans une ambiance détendue, avant que Jérôme Daret, un large sourire aux lèvres, enfourche son Jet-Ski et parte en éclaireur. « C'est une séquence axée sur la capacité de gérer ce qui est imprévisible, explique le technicien. Quand on va se jeter dans l'océan, il faut collaborer, mais surtout gérer ses émotions parce que si on panique, on se retrouve vite en difficulté. Il faut trouver des stratégies pour affronter les vagues et gérer les courants qui vous amènent loin de l'objectif. Il y a plein de symboles et de transferts avec notre univers. Le rugby à 7, c'est un peu tout ça à la fois. »

lire aussiLes 11 équipiers d'Antoine Dupont au rugby à 7 vus par Jérôme Daret

Quelques kilomètres plus loin, les gros poissons sont lâchés. Regroupés en équipes de quatre, les joueurs doivent constamment être en contact avec une planche, et la ramener sur la plage, au sommet de la dune. Certains groupes se meuvent plus élégamment que d'autres. Les moins à l'aise sont allongés sur la planche pendant que les copains battent des pieds et des bras, à bâbord, à tribord, et à l'arrière.

Joachim Trouabal brasse des litres de flotte dans le visage de Paulin Riva, tandis que Paul Leraître cale sa tête sur l'arrière-train de William Iraguha. Vu de l'extérieur, le tableau est très drôle. Dans l'eau, les joueurs se marrent moins. « La souffrance est différente qu'au rugby à 7 mais aussi très similaire, éclaire Daret. Elle force au surpassement de soi. C'est la guerre psychologique qui est vraiment douloureuse. »

Au prix d'un gros effort, les quatre équipes finissent par débarquer sur la plage, en ordre dispersé. « On était dans le dur, la côte ne s'approchait pas rapidement, rigole capitaine Riva. Il y avait quelques petites différences de niveau mais les garçons n'ont pas lâché, c'était top. » Accrochés à leur planche, façon Alerte à Malibu, ils puisent dans leur réserve d'énergie pour grimper l'ultime dune, et rallier ce fichu drapeau rouge, point final de leur calvaire... Mais là-haut, on leur annonce que ce n'est pas fini. « Tout le monde à l'eau, vous n'avez fait que la moitié du chemin ! »

« Certains joueurs me disent : "Jamais je n'aurais cru être capable de faire ça !" Ils ont des ressources insoupçonnées qu'ils vont devoir mobiliser pendant les Jeux »

Stéphanie Barneix, championne du monde de sauvetage côtier, formatrice des Bleus à Capbreton

 

 

 

À côté de nous, Julien Robineau, le préparateur physique, se marre : « Ils doivent faire une de ces têtes ! » Daret, lui, apprécie. « On va se mettre sur le chemin de la résilience, lâche-t-il dans un clin d'oeil. Adaptation et flexibilité ! C'est génial ! » De retour à l'eau, les Bleus affrontent les vagues indociles de la côte landaise. « Pourquoi le staff ne le fait pas avec nous ? interroge Timo. Bande d'égoïstes ! »

voir aussiJO de Paris 2024 : pourquoi le rugby se pratique à 7 et pas à 15 ?

« Cette nouvelle consigne, certains l'ont de suite acceptée, malgré leur grand état de fatigue. D'autres ont râlé, mais ils sont tous repartis, félicite Stéphanie Barneix. Il peut y avoir des situations similaires sur un terrain avec des coups de sifflet de l'arbitre qui peuvent être vécus comme injustes, ou des surprises. » Comme une phase de poules de tournoi olympique manqué par exemple.

 

Les Bleus après leur victoire contre l'Argentine jeudi. (R. Perrocheau/L'Equipe)

« J'ai fait des traversées, j'ai été touchée quatre fois par le cancer, donc je voulais leur transmettre cette idée que les épreuves, comme celle d'aujourd'hui, ils devaient en faire une force, et ne pas la subir, poursuit Stéphanie Barneix. Certains joueurs me disent : "Jamais je n'aurais cru être capable de faire ça !" Ils ont des ressources insoupçonnées qu'ils vont devoir mobiliser pendant les Jeux. »

Après encore une grosse demi-heure de souffrance à nager en faisant du surplace, les joueurs sont délivrés. Bilan des pertes : Grandidier-Nkanang souffre de crampes, Sepho et Timo se payent une bonne hypothermie. C'est l'heure du débrief, au QG des sauveteurs. Daret félicite ses hommes pour leur acharnement. Stéphanie Barneix offre les combinaisons aux joueurs. « On n'en veut pas ! » rigolent-ils, cramoisis par leur petite balade en mer.

[Rugby ?]

Est ce qu'ils ont mangé des sardines ?

[steph]

On connaissait les défis vulcains, voilà les défis requins.
Je suis toujours assez fasciné par ce besoin d'aller chercher à inventer le truc que les autres n'ont pas fait...
Dans des matchs de deux fois 10 minutes, où la justesse technique et l'intelligence rugbystique doivent être constantes, je doute que la capacité de Barraque à ne pas paniquer en voyant un aileron ait son importance. Par contre, sa lenteur et ses mauvais choix...

[l'exil]

Pluie sur Paris. Ça change la donne sur du rugby à 7. Attention aux sud af qui sont les rares à utiliser (et plutôt pas mal) le jeu au pied.

[jm12]

Pluie sur Paris. Ça change la donne sur du rugby à 7. Attention aux sud af qui sont les rares à utiliser (et plutôt pas mal) le jeu au pied.

+1 !   Très gros morceau , des jambes ....leur défense que je qualifierais de "culturelle "et faut le dire de la qualité et ce sont pas les Blacks qui diraient le contraire !

 

Faudra élever bien sûr encore le niveau des quarts , ne pas brûler le kérosène en 1 mi temps pour en garder sous les semelles..

[Babé03]

Selon vous l'Australie a une chance face au Fidji ?

[l'exil]

Selon vous l'Australie a une chance face au Fidji ?

Sous la pluie oui

[Binche63]

Selon vous l'Australie a une chance face au Fidji ?

Quand tu voix que les favoris de la Saison (Argentine) et de la compétition les black son passé à la trappe tout est possible

[Paolinito]

en même temps du rugby ou il n'y a pas de gros, est ce encore du rugby?

 

En parlant de ça, le joueur longiligne des US Perry Baker : 73kg pour 1m85 c'est dingue. Quelqu'un a connaissance de gabarits aussi fins dans le rugby à XV de bon niveau (équivalent au niveau français Nationale/Nationale 2 ou au dessus) ?

[frednirom]

vous savez ou on peut voir les match de classement qui se jouent en ce moment ?

[Alex chocolatines]

vous savez ou on peut voir les match de classement qui se jouent en ce moment ?

Eurosport 

Argentine - NZ  12 / 12 prolongations