586 réponses à ce sujet

[xdderf63]

Programme des épreuves de rugby à 7

 

• Mercredi 24 juillet : Début du tour préliminaire pour les hommes à partir de 15h30.

• Jeudi 25 juillet : Suite du tour préliminaire pour les hommes à partir de 14h00, suivie des quarts de finale et des matchs de classement 9-12 à partir de 20h00.

• Samedi 27 juillet : Journée décisive pour les hommes avec les demi-finales, les finales pour la médaille d'or et de bronze, ainsi que les matchs de classement.

• Dimanche 28 juillet et Lundi 29 juillet : Début et suite du tour préliminaire pour les femmes, respectivement à partir de 15h30 et 14h30.

• Mardi 30 juillet : Jour final pour les femmes avec les demi-finales, la finale pour la médaille d'or et de bronze, et les matchs de classement à partir de 14h30.

Diffusion télévisée

Les épreuves de rugby à 7 aux Jeux Olympiques seront largement accessibles à travers les chaînes du groupe France Télévisions (France 2, France 3, France 4, et France.tv) ainsi que sur Eurosport, qui offrira une couverture détaillée des performances françaises.

 

 

 

 

Mercredi 24 juillet

• 15:30

  Rugby à sept

  Hommes • Australie — Samoa • Poule B

• 16:00

  Rugby à sept

  Hommes • Argentine — Kenya • Poule B

• 16:30

  Rugby à sept

  Hommes • France — États-Unis • Poule C

• 17:00

  Rugby à sept

  Hommes • Fidji — Uruguay • Poule C

• 17:30

  Rugby à sept

  Hommes • Irlande — Afrique du Sud • Poule A

• 18:00

  Rugby à sept

  Hommes • Nouvelle-Zélande — Japon • Poule A

• 19:00

  Rugby à sept

  Hommes • Australie — Kenya • Poule B

• 19:30

  Rugby à sept

  Hommes • Argentine — Samoa • Poule B

• 20:00

  Rugby à sept

  Hommes • France — Uruguay • Poule C

• 20:30

  Rugby à sept

  Hommes • Fidji — États-Unis • Poule C

• 21:00

  Rugby à sept

  Hommes • Irlande — Japon • Poule A

• 21:30

  Rugby à sept

  Hommes • Nouvelle-Zélande — Afrique du Sud • Poule A

Jeudi 25 juillet

• 14:00

  Rugby à sept

  Hommes • Samoa — Kenya • Poule B

• 14:30

  Rugby à sept

  Hommes • Argentine — Australie • Poule B

• 15:00

  Rugby à sept

  Hommes • États-Unis — Uruguay • Poule C

• 15:30

  Rugby à sept

  Hommes • Fidji — France • Poule C

• 16:00

  Rugby à sept

  Hommes • Afrique du Sud — Japon • Poule A

• 16:30

  Rugby à sept

  Hommes • Nouvelle-Zélande — Irlande • Poule A

• 20:00

  Rugby à sept

  Hommes • Places 9-12

• 20:30

  Rugby à sept

  Hommes • Places 9-12

• 21:00

  Rugby à sept

  Hommes • Quart de finale

• 21:30

  Rugby à sept

  Hommes • Quart de finale

• 22:00

  Rugby à sept

  Hommes • Quart de finale

• 22:30

  Rugby à sept

  Hommes • Quart de finale

Samedi 27 juillet

• 14:30

  Rugby à sept

  Hommes • Places 5-8

• 15:00

  Rugby à sept

  Hommes • Places 5-8

• 15:30

  Rugby à sept

  Hommes • Demi-finale

• 16:00

  Rugby à sept

  Hommes • Demi-finale

• 16:30

  Rugby à sept

  Hommes • Places 11-12

• 17:00

  Rugby à sept

  Hommes • Places 9-10

• 18:00

  Rugby à sept

  Hommes • Places 7-8

• 18:30

  Rugby à sept

  Hommes • Places 5-6

• 19:00

  Rugby à sept

  Hommes • Médaille de bronze

• 19:45

  Rugby à sept

  Hommes • Médaille d'or

Dimanche 28 juillet

• 15:30

  Rugby à sept

  Femmes • Irlande — Grande-Bretagne • Poule B

• 16:00

  Rugby à sept

  Femmes • Australie — Afrique du Sud • Poule B

• 16:30

  Rugby à sept

  Femmes • États-Unis — Japon • Poule C

• 17:00

  Rugby à sept

  Femmes • France — Brésil • Poule C

• 17:30

  Rugby à sept

  Femmes • Fidji — Canada • Poule A

• 18:00

  Rugby à sept

  Femmes • Nouvelle-Zélande — Chine • Poule A

• 19:00

  Rugby à sept

  Femmes • Irlande — Afrique du Sud • Poule B

• 19:30

  Rugby à sept

  Femmes • Australie — Grande-Bretagne • Poule B

• 20:00

  Rugby à sept

  Femmes • États-Unis — Brésil • Poule C

• 20:30

  Rugby à sept

  Femmes • France — Japon • Poule C

• 21:00

  Rugby à sept

  Femmes • Fidji — Chine • Poule A

• 21:30

  Rugby à sept

  Femmes • Nouvelle-Zélande — Canada • Poule A

Lundi 29 juillet

• 14:00

  Rugby à sept

  Femmes • Grande-Bretagne — Afrique du Sud • Poule B

• 14:30

  Rugby à sept

  Femmes • Australie — Irlande • Poule B

• 15:00

  Rugby à sept

  Femmes • Japon — Brésil • Poule C

• 15:30

  Rugby à sept

  Femmes • France — États-Unis • Poule C

• 16:00

  Rugby à sept

  Femmes • Canada — Chine • Poule A

• 16:30

  Rugby à sept

  Femmes • Nouvelle-Zélande — Fidji • Poule A

• 20:00

  Rugby à sept

  Femmes • Places 9-12

• 20:30

  Rugby à sept

  Femmes • Places 9-12

• 21:00

  Rugby à sept

  Femmes • Quart de finale

• 21:30

  Rugby à sept

  Femmes • Quart de finale

• 22:00

  Rugby à sept

  Femmes • Quart de finale

• 22:30

  Rugby à sept

  Femmes • Quart de finale

Mardi 30 juillet

• 14:30

  Rugby à sept

  Femmes • Places 5-8

• 15:00

  Rugby à sept

  Femmes • Places 5-8

• 15:30

  Rugby à sept

  Femmes • Demi-finale

• 16:00

  Rugby à sept

  Femmes • Demi-finale

• 16:30

  Rugby à sept

  Femmes • Places 11-12

• 17:00

  Rugby à sept

  Femmes • Places 9-10

• 18:00

  Rugby à sept

  Femmes • Places 7-8

• 18:30

  Rugby à sept

  Femmes • Places 5-6

• 19:00

  Rugby à sept

  Femmes • Médaille de bronze

• 19:45

  Rugby à sept

  Femmes • Médaille d'or

[Un jaune dans un ballon]

J'y serais pour la journée de finale hommes et j'ai déja hâte... !!

[el landeno]

Paulin Riva, capitaine des Bleus : « À 7h, on était dans le sable, en train de faire des sprints dans les cotes » Paulin Riva, le capitaine des Bleus, raconte l'exigeant travail effectué durant les dernières semaines de la préparation olympique, marquées notamment par du focier et de deux oppositions musclées face à la Nouvelle-Zélande.

 

 

J-7 pour le 7. Mercredi prochain, l'équipe de France entamera son tournoi olympique au Stade de France contre les USA (à 16h30) puis l'Uruguay (à 20 heures). Réunis au centre national de Marcoussis, les Bleus rejoindront le village olympique dimanche. À une semaine de l'échéance, le capitaine Paulin Riva nous a détaillé par téléphone les derniers instants de la préparation concoctée par le sélectionneur Jérôme Daret et son staff.

 

 

« Comment s'était passée la fin de votre préparation olympique à Capbreton ? Sur quoi l'encadrement a-t-il mis l'accent lors de ces dernières semaines de stage depuis votre victoire lors des finales du circuit mondial à Madrid, début juin ?
C'était quatre grosses semaines, le planning était assez chargé. Il y avait de grosses séances de physique dans le sable le vendredi matin, et notamment la dernière où on s'est levés à 5 h 30, et à 7 h, on était dans le sable, en train de faire des sprints dans les cotes. On a également pu se confronter à la Nouvelle-Zélande (demi-finaliste à Madrid) avec deux belles oppositions en début de semaine, ce qui nous a cassé un petit peu le rythme habituel. D'ordinaire on fait des oppositions le jeudi mais là c'était le mardi, soit dès le lendemain de notre retour en groupe. On s'est surtout appliqués à être chirurgicaux à chaque fois qu'on mettait un pied sur le terrain, à être très très précis. Le format des J.O. est un peu atypique par rapport à un tournoi des Sevens Series puisqu'on va jouer deux jours (les 24 et 25 juillet pour trois matches de poule contre les USA, l'Uruguay et les Fidji puis un éventuel quart de finale) puis bénéficier ensuite d'un jour de coupure avant de disputer potentiellement les phases finales le samedi. il faudra vraiment être très précis et bien savoir gérer cette journée de récupération au milieu.

« Le groupe a rendu la tâche difficile à Jérôme. Tous les joueurs qui ont foulé le terrain cette année sur le circuit mondial auraient mérité de faire partie de l'équipe »

 

 

 

Qu'ont donné ces oppositions contre la Nouvelle-Zélande ? Est-ce que les joueurs se sont engagés à 100 % ou redoute-t-on le risque de blessure si près de l'échéance ?
Ça a été une vraie opposition, très intense, en deux matches et avec un arbitre du circuit mondial. Ça tapait, c'était vraiment intéressant. On a pu valider le travail qu'on avait effectué sur les trois dernières semaines, notamment prioriser quelques lancements qu'on verra certainement contre les USA et l'Uruguay. La Nouvelle-Zélande est une équipe très précise sur les breakdowns, donc ils nous ont bien challengé dans ce domaine également.

 

 

lire aussiLe programme du rugby à 7 aux JO

Et qui a gagné ? 
Un partout ! (On l'entend sourire)

 

Vous devez être un capitaine satisfait car pour composer sa sélection olympique Jérôme Daret a pu compter sur toutes les forces vives du groupe...
Je pense que le groupe a rendu la tâche difficile à Jérôme. Tous les joueurs qui ont foulé le terrain cette année sur le circuit mondial étaient sélectionnables et auraient mérité de faire partie de l'équipe car tout le monde a été très très bon et a élevé son niveau de jeu au service de l'équipe. C'est vraiment top. Jérôme a fait des choix et on a vraiment une équipe très très soudée, très connectée. On n'a plus qu'à peaufiner un peu l'analyse des équipes adverses et on sera prêts.

 

Vainqueurs de la finale du circuit mondial à Madrid, les Bleus viseront l'or olympique à Paris. (A. Mounic/L'Équipe)

Parlez-nous justement de ces trois équipes que vous allez rencontrer en poule ?
Les Fidjiens sont toujours au rendez-vous sur les grands événements et notamment sur les Jeux puisqu'ils sont doubles champions en titre. On les joue en dernier donc on verra mais ce sera très important de faire des matches très solides et de monter en puissance contre les USA et l'Uruguay car deux victoires nous permettraient certainement d'être déjà qualifiés pour les quarts dès le premier jour de compétition. L'Uruguay va nous proposer beaucoup de combat et un jeu assez rude. Contre les USA, il faudra forcément se méfier forcément de leur flèche Terry Baker et de Lance Williams, deux joueurs qui ont beaucoup d'expérience à 7. il faudra bien verrouiller ces garçons-là et ça devrait aller.

Vous avez reçu un fort soutien populaire lors de l'un de vos derniers entraînements ouverts au public, à Pau. Sentez-vous l'effervescence monter au sein du groupe ?
L'excitation monte, on sent l'engouement des Français, de la Fédération qui est à fond derrière nous. a nous galvanise. C'est une bonne pression, c'est vraiment top. »

 

 

[el landeno]

 

Programme des épreuves de rugby à 7

 

• Mercredi 24 juillet : Début du tour préliminaire pour les hommes à partir de 15h30.

• Jeudi 25 juillet : Suite du tour préliminaire pour les hommes à partir de 14h00, suivie des quarts de finale et des matchs de classement 9-12 à partir de 20h00.

• Samedi 27 juillet : Journée décisive pour les hommes avec les demi-finales, les finales pour la médaille d'or et de bronze, ainsi que les matchs de classement.

• Dimanche 28 juillet et Lundi 29 juillet : Début et suite du tour préliminaire pour les femmes, respectivement à partir de 15h30 et 14h30.

• Mardi 30 juillet : Jour final pour les femmes avec les demi-finales, la finale pour la médaille d'or et de bronze, et les matchs de classement à partir de 14h30.

Diffusion télévisée

Les épreuves de rugby à 7 aux Jeux Olympiques seront largement accessibles à travers les chaînes du groupe France Télévisions (France 2, France 3, France 4, et France.tv) ainsi que sur Eurosport, qui offrira une couverture détaillée des performances françaises.

 

 

 

 

Mercredi 24 juillet

• 15:30

  Rugby à sept

  Hommes • Australie — Samoa • Poule B

• 16:00

  Rugby à sept

  Hommes • Argentine — Kenya • Poule B

• 16:30

  Rugby à sept

  Hommes • France — États-Unis • Poule C

• 17:00

  Rugby à sept

  Hommes • Fidji — Uruguay • Poule C

• 17:30

  Rugby à sept

  Hommes • Irlande — Afrique du Sud • Poule A

• 18:00

  Rugby à sept

  Hommes • Nouvelle-Zélande — Japon • Poule A

• 19:00

  Rugby à sept

  Hommes • Australie — Kenya • Poule B

• 19:30

  Rugby à sept

  Hommes • Argentine — Samoa • Poule B

• 20:00

  Rugby à sept

  Hommes • France — Uruguay • Poule C

• 20:30

  Rugby à sept

  Hommes • Fidji — États-Unis • Poule C

• 21:00

  Rugby à sept

  Hommes • Irlande — Japon • Poule A

• 21:30

  Rugby à sept

  Hommes • Nouvelle-Zélande — Afrique du Sud • Poule A

Jeudi 25 juillet

• 14:00

  Rugby à sept

  Hommes • Samoa — Kenya • Poule B

• 14:30

  Rugby à sept

  Hommes • Argentine — Australie • Poule B

• 15:00

  Rugby à sept

  Hommes • États-Unis — Uruguay • Poule C

• 15:30

  Rugby à sept

  Hommes • Fidji — France • Poule C

• 16:00

  Rugby à sept

  Hommes • Afrique du Sud — Japon • Poule A

• 16:30

  Rugby à sept

  Hommes • Nouvelle-Zélande — Irlande • Poule A

• 20:00

  Rugby à sept

  Hommes • Places 9-12

• 20:30

  Rugby à sept

  Hommes • Places 9-12

• 21:00

  Rugby à sept

  Hommes • Quart de finale

• 21:30

  Rugby à sept

  Hommes • Quart de finale

• 22:00

  Rugby à sept

  Hommes • Quart de finale

• 22:30

  Rugby à sept

  Hommes • Quart de finale

Samedi 27 juillet

• 14:30

  Rugby à sept

  Hommes • Places 5-8

• 15:00

  Rugby à sept

  Hommes • Places 5-8

• 15:30

  Rugby à sept

  Hommes • Demi-finale

• 16:00

  Rugby à sept

  Hommes • Demi-finale

• 16:30

  Rugby à sept

  Hommes • Places 11-12

• 17:00

  Rugby à sept

  Hommes • Places 9-10

• 18:00

  Rugby à sept

  Hommes • Places 7-8

• 18:30

  Rugby à sept

  Hommes • Places 5-6

• 19:00

  Rugby à sept

  Hommes • Médaille de bronze

• 19:45

  Rugby à sept

  Hommes • Médaille d'or

Dimanche 28 juillet

• 15:30

  Rugby à sept

  Femmes • Irlande — Grande-Bretagne • Poule B

• 16:00

  Rugby à sept

  Femmes • Australie — Afrique du Sud • Poule B

• 16:30

  Rugby à sept

  Femmes • États-Unis — Japon • Poule C

• 17:00

  Rugby à sept

  Femmes • France — Brésil • Poule C

• 17:30

  Rugby à sept

  Femmes • Fidji — Canada • Poule A

• 18:00

  Rugby à sept

  Femmes • Nouvelle-Zélande — Chine • Poule A

• 19:00

  Rugby à sept

  Femmes • Irlande — Afrique du Sud • Poule B

• 19:30

  Rugby à sept

  Femmes • Australie — Grande-Bretagne • Poule B

• 20:00

  Rugby à sept

  Femmes • États-Unis — Brésil • Poule C

• 20:30

  Rugby à sept

  Femmes • France — Japon • Poule C

• 21:00

  Rugby à sept

  Femmes • Fidji — Chine • Poule A

• 21:30

  Rugby à sept

  Femmes • Nouvelle-Zélande — Canada • Poule A

Lundi 29 juillet

• 14:00

  Rugby à sept

  Femmes • Grande-Bretagne — Afrique du Sud • Poule B

• 14:30

  Rugby à sept

  Femmes • Australie — Irlande • Poule B

• 15:00

  Rugby à sept

  Femmes • Japon — Brésil • Poule C

• 15:30

  Rugby à sept

  Femmes • France — États-Unis • Poule C

• 16:00

  Rugby à sept

  Femmes • Canada — Chine • Poule A

• 16:30

  Rugby à sept

  Femmes • Nouvelle-Zélande — Fidji • Poule A

• 20:00

  Rugby à sept

  Femmes • Places 9-12

• 20:30

  Rugby à sept

  Femmes • Places 9-12

• 21:00

  Rugby à sept

  Femmes • Quart de finale

• 21:30

  Rugby à sept

  Femmes • Quart de finale

• 22:00

  Rugby à sept

  Femmes • Quart de finale

• 22:30

  Rugby à sept

  Femmes • Quart de finale

Mardi 30 juillet

• 14:30

  Rugby à sept

  Femmes • Places 5-8

• 15:00

  Rugby à sept

  Femmes • Places 5-8

• 15:30

  Rugby à sept

  Femmes • Demi-finale

• 16:00

  Rugby à sept

  Femmes • Demi-finale

• 16:30

  Rugby à sept

  Femmes • Places 11-12

• 17:00

  Rugby à sept

  Femmes • Places 9-10

• 18:00

  Rugby à sept

  Femmes • Places 7-8

• 18:30

  Rugby à sept

  Femmes • Places 5-6

• 19:00

  Rugby à sept

  Femmes • Médaille de bronze

• 19:45

  Rugby à sept

  Femmes • Médaille d'or

 

au cas où, mon fils revent  4 places pour les 1/2 femmes le 30/07 au prix d'achat = 115 euros l'unité

si interêt , me contacter en MP

[InASMWeTrust]

J'y serais pour la journée de finale hommes et j'ai déja hâte... !!

Moi j'y serai pour les qualifs femmes. 

[darkminimouf]

https://x.com/lmposi...9ngSftOBaBCPeRg

[InASMWeTrust]

https://x.com/lmposi...9ngSftOBaBCPeRg

Il vaut sans doute mieux pour elles de les voir à l'échauffement qu'à la 3e MT.

[Alex chocolatines]

Il vaut sans doute mieux pour elles de les voir à l'échauffement qu'à la 3e MT.

Les mecs ont l'air vachement concentrés sur leur activité, quand les copines vont voir ça...  

[Luernios]

Vivement après-demain j'ai des places pour la première journée !!!

[VinJaune]

Sympa le programme !

J'y vais jeudi. 

[el landeno]

Antoine Dupont et le rugby à 7, un combo gagnant-gagnant Si les Bleus, vainqueurs de la finale du circuit mondial en juin, ont franchi un palier sur le terrain et en dehors grâce à l'arrivée d'Antoine Dupont, ce dernier a lui aussi tiré des bénéfices de ses passages réguliers à 7.

 

 

 

Dix-neuf ans, c'est le temps qu'il a fallu attendre entre les deux premières victoires des Bleus du 7 sur le circuit mondial, du tournoi de Paris en 2005 à Los Angeles cette année. La suivante est tombée trois mois plus tard seulement, à Madrid début juin. À chaque fois, Antoine Dupont, déjà finaliste à Vancouver pour sa première sous ce maillot bleu-là, était dans les rangs, et ce n'est évidemment pas un hasard. « Antoine, c'est notre facteur X, résume le sélectionneur Jérôme Daret. C'est le joueur qui pouvait amener du ciment à l'équipe et ce surplus d'excellence dont on avait besoin pour aller chercher le Graal qu'on n'arrivait pas à décrocher. La France a souvent bousculé la hiérarchie mondiale, avec treize podiums au compteur, mais on ne trouvait pas l'or. Il nous a amené ce petit plus qui nous manquait. »

 

 

Quatrième nation mondiale la saison dernière, la France a en effet franchi un cap et intégré la liste des favoris pour les Jeux en remportant la finale du circuit à Madrid, après avoir écarté de sa route les Fidji et l'Argentine. Par le poste qu'il occupe à 15 et par ses qualités intrinsèques, Antoine Dupont (qui avait déjà tâté du 7 en cadets à Auch ou à Dubaï avec l'équipe de France des moins de 18 ans en 2013) avait le profil idéal pour briller dans cette nouvelle discipline.

lire aussiJO de Paris 2024 : pourquoi le rugby se pratique à 7 et pas à 15 ?

Son approche pleine d'humilité, la coopération entre les staffs du Stade Toulousain et des Bleus, son investissement pour s'infuser des exercices spécifiques à l'issue de ses entraînements en club et la gestion intelligente du phénomène par Daret ont favorisé son intégration. « J'ai eu la chance d'intégrer un collectif qui performait déjà, un effectif en construction avec des jeunes, voire très jeunes, joueurs qui m'ont accueilli à bras ouverts, en me donnant beaucoup de conseils, en me rassurant beaucoup, racontait Dupont lundi au Club France. Je leur ai posé beaucoup de questions au début, j'étais un peu perdu sur mes placements et ils ont été indulgents avec moi. »

 

7 essais en 15 matches

Ses nouveaux coéquipiers ont très vite ressenti l'apport du numéro 25, choisi en référence aux mois de naissance de sa mère et de son frère (février) et de son défunt père (mai). « Il amène de la sérénité, du gaz, de la folie », observait Stephen Parez-Edo Martin dès Vancouver. Par quelques fulgurances personnelles (7 essais en 15 matches, dont au moins deux décisifs) ou en décalant idéalement ses partenaires par sa vision du jeu, Dupont a pesé dans les succès récents des Bleus. « Il nous apporte la culture de la gagne, appréciait Varian Pasquet à Madrid, où Dupont avait débarqué exténué au surlendemain de sa victoire en Coupe des champions avec le Stade Toulousain et d'une prestation personnelle majuscule. C'est très important, dans les matches couperets, d'avoir un joueur qui a cette expérience et cette sérénité. »

 

Antoine Dupont au côté de son entraîneur avec les Bleus du 7, Jérôme Daret. (L. Hahn/L'Équipe)

« Il apporte une dynamique positive, il force à l'excellence, souligne Daret. À 7 comme à 15, c'est un joueur de duel, puissant dans le franchissement, capable de dominer tous les adversaires, de rattraper tous les coups, de gratter. Il sait aussi mettre les joueurs autour de lui sur orbite, les démarquer, pour permettre à l'équipe d'avancer. » Un leader, tout simplement, parfait complément du capitaine Paulin Riva, l'autre gersois du groupe France.

lire aussiTout savoir sur le rugby à 7

Mais Dupont a visiblement reçu autant qu'il a donné. Ses premières excursions à 7, dans les mois qui ont suivi le cauchemar de la Coupe du monde en France et pendant un début de Tournoi tout aussi raté par ses copains du XV, lui ont permis de casser la routine et ont été des bouffées d'air frais régénératrices sur le plan mental. « En voyant ses derniers matches à quinze, c'est ce côté positif qui me marque le plus, observait Daret fin mai. Il a retrouvé le sourire, il y a de la joie, ça se voit. »

« Il a des pétards dans les pieds »

Jérôme Daret, entraîneur de l'équipe de France

 

 

 

« Le 7 m'a apporté de la nouveauté et de l'enthousiasme, résumait Dupont après la victoire à Madrid. C'est un sport où tu prends plein de plaisir parce que tu as plein de situations de jeu où tu te régales. Ça joue partout, dans tous les sens, c'est vraiment le rugby à l'état pur où il faut sentir les coups. Parfois, tu as l'impression de te retrouver quand tu jouais avec tes potes dans ton village, même si ça cogne plus. Retrouver ce jeu instinctif me plaît. »

Au-delà des bienfaits pour sa tête, le 7 a aussi permis à Dupont d'enrichir encore ses capacités physiques et sa palette technique de joueur déjà hors norme. « L'entraînement, avec les efforts effectués, les accélérations, les changements de rythme, d'appuis, de courses longues, m'a sûrement servi pour trouver le jeu de duel que j'avais un peu délaissé ces derniers temps, reconnaissait Dupont. Sur les phases de combat, je me suis amélioré aussi car j'en ai beaucoup plus à jouer qu'à quinze ».

 

Antoine Dupont signant des autographes à Marcoussis, le 20 juillet. (P. Lahalle/L'Équipe)

« Il a des pétards dans les pieds », résumait Daret juste avant que le demi de mêlée régale en finales de Coupe des champions et du Top 14. Avec ce Dupont-là, auréolé de trois podiums en autant de tournois à 7, les Bleus (non qualifiés pour Tokyo) disposent d'un atout en or pour viser la gagne cette semaine. Ils pourront aussi compter sur un Stade de France quasiment plein et acquis à sa cause. Un autre effet de la Dupontmania. « Antoine est un aimant à journalistes, à communication, à supporters. Ça nous dépasse », observe un Daret stupéfait. En se lançant dans l'aventure olympique, Dupont a lui attiré de nouveaux partenaires prestigieux comme Louis Vuitton. Du gagnant-gagnant sur toute la ligne.

Antoine Dupont aux JO de Paris 2024, la genèse d'un projet olympique Attiré par tous les sports, et féru des Jeux Olympiques, Antoine Dupont, le capitaine des Bleus et du Stade Toulousain, s'est lancé dans le projet de Paris 2024 il y a deux ans. Il vivra, lors de l'entrée en lice de la France face aux États-Unis ce mercredi (16h30), l'une des plus belles émotions de sa carrière.

 

Un rêve de gosse. C'est ce que réalisera Antoine Dupont, mercredi après-midi (16h30), lorsqu'il démarrera au Stade de France le tournoi olympique de rugby à 7 face aux États-Unis. Lui, passionné par tant des sports, qui a grandi devant les exploits du sprinteur jamaïcain Usain Bolt ou de la nageuse française Laure Manaudou, capable de s'enthousiasmer autant devant un ippon du judoka Teddy Riner que devant un slalom limpide en eau vive du kayakiste Tony Estanguet, s'apprête à participer à cet événement planétaire dont il ne ratait pas une miette à la télé dans ses plus jeunes années.

 

 

« Les Jeux, quand on aime le sport, c'est mythique », répète d'ailleurs à l'envi le demi de mêlée de 27 ans et capitaine des Bleus et du Stade Toulousain. C'est à Castelnau-Magnoac, petit village des Hautes-Pyrénées, que Dupont s'est amouraché de la chose sportive. Il y avait tout à portée de main ou de pied : un terrain de rugby, bien sûr, mais aussi un cours de tennis et un environnement naturel propice aux courses de vélo et à bien d'autres disciplines.

lire aussiLe programme des Bleus aux Jeux

« Antoine, il fallait qu'il bouge, nous racontait un jour Jean-Philippe Guerrero, l'un de ses premiers éducateurs à l'école de rugby de Castelnau-Magnoac. Je ne suis pas certain qu'il ait passé beaucoup de temps devant une PlayStation. Ici, on a la chance de vivre dans un village. On laisse sortir nos enfants en confiance relativement tôt. Les mômes étaient donc tout le temps au stade. Si ce n'était pas pour y jouer au rugby, c'était pour y trouver un jeu avec un vélo, une raquette, ou pour y glisser à plat ventre dans la boue. Une fois, ils avaient même organisé un petit remake de Koh-Lanta. Ils refaisaient les épreuves vues à la télé en les filmant avec leurs téléphones portables. C'était rigolo. »

« Comme il passait sa vie à jouer, il avait des aptitudes dans tous les domaines. Que ce soit au squash, au tennis ou même à la pelote basque, il était hyper fort »

Gauthier Enfedaque, un de ses meilleurs amis d'enfance d'Antoine Dupont

 

 

 

 

 

« Toto » et ses amis se sont-ils amusés à reproduire aussi des épreuves des Jeux ? C'est très possible. « Comme il passait sa vie à jouer, il avait des aptitudes dans tous les domaines, se souvient Gauthier Enfedaque, l'un de ses meilleurs amis d'enfance. Que ce soit au squash, au tennis ou même à la pelote basque, il était hyper fort. Même à l'école, à la récréation, il fallait qu'il fasse du sport. Il ne pouvait pas rester sur un banc à parler avec des filles. »

C'est finalement dans le rugby que le « petit » Dupont a percé, jusqu'à devenir aujourd'hui l'un des meilleurs joueurs du monde. Par chance, ce sport figure au menu des Jeux. Mais dans sa version à 7, différente, qui réclame d'autres qualités que celles du 15. Les champions du rugby traditionnel n'y brillent pas forcément, et vice-versa.

lire aussiJO de Paris 2024 : pourquoi le rugby se pratique à 7 et pas à 15 ?

Mais il est vite apparu que l'explosivité du n°9 toulousain, sa défense impitoyable, ses passes longues des deux côtés et son intelligence de jeu en feraient aussi une super star du rugby à 7, et donc un candidat très plausible au Jeux de Paris 2024. C'est Dupont lui-même qui a fait le premier pas. « Je l'ai évoqué la première fois pendant le Tournoi 2022, quand on a fait le Grand Chelem,a-t-il expliqué lundi. J'avais commencé à en parler au staff de l'équipe de France, puis à celui de mon club du Stade Toulousain. »

 

Antoine Dupont et ses coéquipiers de l'équipe de France de rugby à 7 à l'entraînement, samedi. (P. Lahalle/L'Équipe)

Une discussion à plusieurs s'est alors engagée. Et chaque partie a fait des concessions. La FFR, d'abord, qui a vite vu tout le bénéfice qu'elle pouvait tirer d'une tête de gondole comme Dupont aux JO pour le rugby à 7, et qui a donc accepté, en accord avec le sélectionneur Fabien Galthié et son staff, de l'exempter du Tournoi des Six Nations 2024 afin de lui permettre de participer en février et mars à deux Tournois du circuit mondial du Seven (Vancouver et Los Angeles). France 7, ensuite, qui a toléré que son joker de luxe ne fasse qu'une partie de la saison et de la préparation aux Jeux. Le Stade Toulousain, bien sûr, qui a parfois laissé son joueur rejoindre le 7 en cours de saison, ici pour suivre un stage préparatoire (mi-avril), là pour disputer la finale du circuit mondial (à Madrid, début juin).

lire aussiDe passage à Marcoussis avant le village olympique, les Bleus mesurent leur cote de popularité

Et le joueur lui-même, enfin, qui a choisi de faire l'impasse sur une échéance aussi importante que le Six Nations pour mieux se préparer aux Jeux. « Je savais que pour me donner les moyens de réaliser cet objectif immense, il fallait que je fasse des sacrifices, dit-il. J'avais envie de passer du temps avec cette équipe, avec ce rugby à 7 qui reste une discipline à part et avec lequel je devais me familiariser. Je savais qu'il me faudrait du temps pour cela. Je trouve que projet a été construit intelligemment entre la Fédé et Toulouse pour que je puisse performer sur les deux tableaux. Ça s'est plutôt bien passé pour le moment, j'espère que ça durera encore quelques jours. »

Bien passé ? C'est un euphémisme. Avec le 7, Dupont a remporté un Tournoi (Los Angeles) et la finale du circuit mondial. Avec Toulouse, il a réalisé le doublé Coupe des champions-Top 14. Gigantesque. « Ce qui me paraît gigantesque, c'est son appétit, son degré d'insatisfaction permanente, au-delà des belles choses qu'il réalise », confiait récemment Didier Lacroix, le président du Stade Toulousain.

« Antoine est un joueur qui se fixe un objectif, qui garde un cap jusqu'à l'atteindre, et qui dès qu'il l'a atteint s'en fixe un autre »

Jérôme Cazalbou, manager du haut niveau du Stade Toulousain

 

 

 

« Ce n'est pas bluffant parce que c'est du travail, observait aussi Jérôme Cazalbou, manager du haut niveau du club rouge et noir. Au-delà de ses qualités innées, c'est quand même un mec qui dissèque tout et qui est totalement investi. Et s'il réussit pleinement ce qu'il entreprend, c'est parce qu'il se protège suffisamment et qu'il a aussi l'intelligence de bien s'adapter par rapport à tout ça. Cette intelligence, tu la retrouves d'ailleurs aussi sur le terrain. C'est quelqu'un qui va toujours analyser avant de répondre, qui va prendre le temps avant de se lancer. Ça lui permet d'apporter la bonne réponse à ce qui lui est proposé, et d'avoir ensuite un temps d'avance sur les autres. Pour résumer, je dirais qu'Antoine est un joueur qui se fixe un objectif, qui garde un cap jusqu'à l'atteindre, et qui dès qu'il l'a atteint s'en fixe un autre. »

Son prochain objectif est là, tout près : une médaille olympique, si possible en or. Pour aller jusqu'au bout de ses rêves.

 

 

[el landeno]

Les 11 équipiers d'Antoine Dupont au rugby à 7 vus par Jérôme Daret Sélectionneur des Bleus du rugby à 7 depuis 2017, Jérôme Daret présente les onze équipiers d'Antoine Dupont.

Anciens de l'équipe de France à 7, joueurs sous contrat avec la Fédération, habitués des allers-retours entre le 15 et le 7 ou jeunes espoirs du Top 14 mis à disposition de l'équipe de France par leur club depuis un an, ils se lanceront en chasse d'or à partir de mercredi après-midi sur la pelouse du Stade de France. Le sélectionneur Jérôme Daret présente ses troupes, qui pourront être renforcées en cas de blessure pendant le tournoi par William Iraguha (27 ans) et Nelson Épée (23 ans), les deux réservistes.

Jean-Pascal Barraque (USAP) : « Le plus ancien du groupe »

 

 

(A. Mounic/L'Équipe)

 

« C'est un habitué du 7, un joueur qui a de la bouteille puisque c'est le plus ancien du groupe, il a connu ses premières sélections en 2012. C'était donc facile avec lui de dépoussiérer les choses et il a des qualités de jeu au pied qui nous intéressent. »

Théo Forner (USAP) : « Il sait tout faire »

 

 

(A. Mounic/L'Équipe)

« C'est un joueur incroyable. Il plaque, il contre-ruck, il est bon en l'air. Il sait tout faire ! C'est un gars qui travaille pour l'équipe, qui ne lâche jamais rien, qui a une force mentale incroyable. C'est un peu un sanguin, un Catalan, et c'est bien d'avoir cette énergie-là, cette agressivité dans le bon sens du terme. C'est un drôle de joueur. »

Aaron Grandidier Nkanang (Section Paloise) : « Il est capable de breaker »

 

 

(A. Mounic/L'Équipe)

« C'est un joueur très aérien, qui a fait une grande fulgurance à Hong Kong en 2022 en égalant le record du nombre d'essais marqués sur un même tournoi avec onze essais. Le tout dans la Mecque du rugby à 7 ! Il est capable de breaker, est très fort au duel, costaud dans le offload (passe après contact). Il y avait un petit chantier sur la défense mais il a régulé ça. »

Jefferson Lee Joseph (USAP) : « Il peut tout faire »

 

 

(A. Mounic/L'Équipe)

 

« C'est une machine de guerre, capable d'enchaîner six matches à quatorze minutes ! Il est capable de claquer des gros offloads, de rattraper des coups improbables, de contre-rucker, de gratter des ballons, de gagner des duels. C'est un gros défenseur. Il peut tout faire et de manière durable. »

Stephen Parez : « Il arrive à son point culminant »

 

 

(A. Mounic/L'Équipe)

 

« C'est un joueur très expérimenté, le seul du groupe qui a déjà fait les JO. Il a une grande compétence de coup d'envoi, il est très précis dans le jeu au pied, incroyable dans les changements de rythme et la résilience. Il a aussi franchi quelques caps au niveau de la prise de décision sur le terrain. Il arrive à son point culminant. »

Varian Pasquet : « Il a une espèce de nonchalance »

 

 

(A. Mounic/L'Équipe)

 

« Très costaud ! Un franchisseur, un gros porteur, capable de casser les lignes et qui aime la défense aussi. Il s'oublie un peu parfois, il a une espèce de nonchalance mais quand il est en mode compétition il a la rage de faire mal à l'adversaire et de tout péter. C'est un joueur intelligent. »

Ryan Rebbadj (RC Toulon) : « Une appétence pour la gagne »

 

 

(A. Mounic/L'Équipe)

 

« C'est notre ''Monsieur tirs au but''. C'est encore un joueur qui est vraiment dans le combat, dans les tâches obscures, capable de plaquer fort, de gratter, puis d'aller mettre la transformation qu'il faut au bon moment. Il sait tout faire avec ses mains comme avec ses pieds et a lui aussi cette appétence pour la gagne, pour le travail, pour l'équipe. »

Paulin Riva (capitaine) : « Il est filou, malin, ronge l'adversaire »

 

 

(A. Mounic/L'Équipe)

« C'est le leader. Il a le projet au bout des doigts et c'est la clairvoyance pour tout le monde. Il assume toutes les tâches obscures. Il montre l'exemple quand il faut remettre l'équipe dans le sens de la marche. Dans le combat aussi, c'est celui qui met le baromètre, qui va chercher ce supplément d'âme. Il est filou, malin, ronge l'adversaire et un petit peu l'arbitre aussi, de manière habile. »

Jordan Sepho : « Il peut amener une grande fulgurance »

 

 

(A. Mounic/L'Équipe)

 

« C'est un extraterrestre ! Il peut traverser le terrain. Il fait 1,98 m et il est très bon en l'air. Il peut mettre un double-step, un cad-deb, avancer avec trois mecs sur le dos. Il peut amener une grande fulgurance au moment où on en a le plus besoin, tout seul. Et ça, c'est important ! Il fait peur aux adversaires et ça, c'est bien aussi. »

Andy Timo (Stade Français) : « Un jeune joueur qui monte en flèche »

 

 

(L. Hahn/L'Équipe)

 

« Un autre combattant, plaqueur et gratteur qui peut aussi être très bon dans le duel. Il est dur dans le contact, développe une puissance incroyable. C'est un jeune joueur qui monte en flèche et qui est incroyable quand il se met en mode compétition. Il a besoin de gérer un petit peu ses émotions, d'accepter ses petites erreurs pour franchir un cap et pouvoir exploiter son potentiel maximum. »

Antoine Zeghdar (Castres) : « Dur à plaquer, solide au contact »

 

 

(L. Hahn/L'Équipe)

 

« C'est un joueur qui est dans la résilience, très bon en l'air également, capable d'aller chercher un ballon au moment clé. Il est dur à plaquer, solide au contact. Il a l'habitude de venir à 7, ça fait longtemps qu'il vient avec nous et il a l'expérience des phases finales. C'est un joueur hors norme. »

 

 

[Lima]

Pas emballé du tout par le 7, mais entre le contexte JO de Paris, les chances réelles de médaille et le phénomène Dupont je dois admettre que ça me donne envie !

[RCV06]

Pas emballé du tout par le 7, mais entre le contexte JO de Paris, les chances réelles de médaille et le phénomène Dupont je dois admettre que ça me donne envie !

Il est fort ce Dupont, même moi je vais peut être regarder.

[Luernios]

Les jaunes et bleus dans la place !!!