600 réponses à ce sujet

[arverne19]

Et maintenant la famille Dupont......

Comme dans les album d'Hergé, on a Dupont.....et Dupont 😐

[Jesus Hans Hubert Vorme]

Entrée complètement ratée pour le moment.

Faudra être plus décontracté du slip contre les fidjis demain.

Les fidjiens vont vite les mettre à l'aise.

[RCV06]

J ai bien peur que même Dupont ne fasse pas de miracle et que le 7 passe a la trappe rapidos.

[Gourine63]

Ça sent un peu le pétard mouillé cette histoire sauf performance xxl demain.

[Alex chocolatines]

J ai bien peur que même Dupont ne fasse pas de miracle et que le 7 passe a la trappe rapidos.

Toutes façons t'aimes pas le 7 alors ... 

[Underscore]

Les fidjis partis pour mettre une correction au pays hôte et conserver son titre ?

[herve-beaulon]

Ils sont méconnaissables par rapport au world seven, la pression doit quand même peser, jo chez toi avec les résultats de cette année.
Je pense que le match de demain peut être une bascule complète, soit ils restent avec la pression, soit ils libèrent tout.
Mais les matchs d'aujourd'hui ne reflètent pas le niveau de cette équipe.
J'espère qu'ils vont arriver à passer outre cette presque obligation de résultat

[Luernios]

Sur ce que j'ai vu aujourd'hui on n'est pas vraiment invité, mais à 7 tout peut aller très vite donc tant qu'on est en vie....
Les nations en tête du bilan mondial sont là Argentine Irlande Nouvelle Zélande Australie Fidji
Une journée bien sympa au stade de France en tout cas.

[el landeno]

« On ne s'entendait même plus » : comment l'ambiance électrique du Stade de France a déstabilisé les Bleus du rugby à 7 Sans doute inhibés par l'ambiance électrique d'un Stade de France à fond derrière eux, les Bleus ont cafouillé leur rugby, mercredi. Mais ils ont tout de même assuré leur qualification pour les quarts.

 

 

C'était l'heure des présentations officielles. Comme dans un plan Tinder où chacun prend d'abord le temps de se laisser séduire à distance, par écrans interposés, les globe-trotteurs français du rugby à 7 avaient rendez-vous mercredi avec un public sous le charme à conquérir. Avec dans l'air de Saint-Denis un mélange entre l'excitation d'un éventuel coup de foudre mutuel et la crainte d'espoirs déçus pour avoir vu l'autre, fraîchement auréolé du statut de candidat à l'or après sa victoire en finale du circuit mondial à Madrid le mois dernier, trop beau.

 

 

Alors que leur entrée en scène n'était programmée qu'en troisième affiche, à 16 h 30, les premiers « Allez les Bleus » tombaient des travées avant même le coup d'envoi du Samoa-Australie d'ouverture. La rencontre suivante permettait au public de trouver un sujet d'occupation pour patienter : pousser de la voix le petit poucet kényan et huer copieusement les Argentins. Après une heure d'échauffement vocal et un premier clapping improvisé, les supporters français lâchaient les décibels à l'annonce du nom d'Antoine Dupont parmi les titulaires. Sans doute avec la mission d'aiguiller les jeunes troupes dans ce genre d'ambiance et de décor qu'il connaît et maîtrise si bien, alors que ses équipiers n'avaient jamais foulé cette pelouse mythique.

 

Plein les oreilles

À leur sortie du tunnel, les Bleus en prenaient plein la vue et les oreilles. Le vacarme était digne du mythique stade de Hongkong, Mecque du rugby à 7, mais avec 30 000 personnes supplémentaires et toutes acquises à leur cause. « Le stade était en feu, admirait le sélectionneur Jérôme Daret. Niveau ambiance, le public a mis la barre très haut. On est au sommet. Sur le mont Olympe ! » « C'était très impressionnant, on ne s'entendait même plus », témoignait Jordan Sepho, auteur du premier essai tricolore du tournoi. « C'était top, apprécia le capitaine Paulin Riva. On s'y attendait, on avait vu les billets disparaître sur le site de vente. »

voir aussiL'équipe de France s'impose difficilement contre l'Uruguay et se qualifie pour les quarts de finale du tournoi olympique

 

 

Et le Stade de France, en configuration 69 000 places, était plein. Mais on peut avoir imaginé une scène des dizaines de fois lors d'exercices de visualisation mentale et se laisser surprendre par la réalité. « Même si on s'est entraînés à tout ça, c'est une grosse claque qu'on prend et on réagit tous différemment à une telle pression », commentait mercredi soir Stephen Parez, le seul Bleu à avoir déjà vécu une Olympiade, mais loin de la maison (Rio 2016).

Malgré leurs pectoraux bien bombés depuis leur sacre de Madrid, les Bleus ont bégayé leur rugby au moment de déclarer leur flamme à ces dizaines de milliers de coeurs prêts à chavirer à la première chevauchée.

« Si on n'élève pas notre niveau de jeu, on n'ira pas très loin »

Antoine Dupont

 

 

 

Face aux États-Unis d'abord (12-12), lors d'un match qu'un retour défensif sur Jordan Sepho en bout de ligne ou un en-avant de Riva dans l'en-but après une délicieuse chistera de Dupont auraient pu rendre moins nul. Face aux Uruguayens, ensuite, avec à la clé une laborieuse victoire (19-12) contre une équipe qui ne faisait même pas partie des douze nations du circuit mondial cette saison. « On ne prend pas de plaisir sur le terrain et je pense que le public non plus, les pauvres », regrettait Jean-Pascal Barraque à l'issue d'une journée passée à se faire peur et à faire peur aux autres.

voir aussiLes favoris tranquilles, les Bleus crispés : ce qu'il faut retenir de la première journée du rugby à 7 aux JO

Le « huitième homme » aura pourtant tout donné pour libérer les siens face à l'Uruguay. Le décompte avant le coup d'envoi était égrené par tout le stade. Un grattage de Dupont dès la première minute et c'est une Marseillaise vibrante qui démarrait, récompensée par un essai plein de rage d'Antoine Zeghdar. Mais les Uruguayens replongeaient les tribunes dans la torpeur et le doute en passant devant à la mi-temps (5-7). La tentative de karaoké géant, lancée sur « Louise Attaque » pendant la pause, faisait un bide.

Des pas hésitants mais l'essentiel acquis

 

 

(A. Mounic/L'Équipe)

À la reprise, les « Allez les Bleus » se faisaient plus timides et il n'y avait plus qu'un coin de tribune pour oser une Marseillaise. D'une fulgurance, avec trois raffuts lors d'une course de quarante mètres achevée entre les poteaux, « Toto Attaque » refaisait danser tout le monde. Mais la France rechutait dès le renvoi et permettait à son adversaire de recoller (12-12), avant qu'un essai de Joseph puis un grattage de Parez en infériorité numérique libèrent les Bleus.

lire aussiLe calendrier et les résultats du groupe C (de la France)

« On s'est fait peur, on a du mal à poser nos principes de jeu, à conserver le ballon, résumait Dupont. C'est difficile d'analyser à chaud mais peut-être qu'à cause du contexte on tente un peu moins ou en tout cas pas de la bonne façon. J'espère qu'on aura pris tout ce qu'il y aura à prendre de ce stade, de l'atmosphère, de l'environnement, pour que cela ne nous perturbe plus demain (jeudi) car on sait que si on n'élève pas notre niveau de jeu on n'ira pas très loin. »

« Au moins, cette première journée est passée et la pression avec, complétait Jean-Pascal Barraque. Tout le monde a vu ce qu'était le Stade de France rempli. On ne sera plus surpris et on pourra se concentrer sur notre jeu. » Malgré le pas hésitant de cette première danse, les Bleus ont évité le râteau. Avant même un dernier match de poule contre Fidji, les voilà déjà qualifiés pour les quarts, ce soir, avec une deuxième chance de séduire. Mais ils auront face à eux quelques rivaux vachement bien gaulés et déterminés à les empêcher de conclure.

 

 

[arverne19]

C'est les média qui mettent la pression sur les joueurs ,et notamment sur Dupont, en raison des super performances récentes de l'équipe.Qu'on leur fiche la paix et su'on les laisse travailler tranquilles!

[InASMWeTrust]

Les résultats de cette année sont peut-être un peu en trompe-l'œil ? peut-être que pendant qu'on était à fond, les autres se préparaient sans tenir compte des résultats (ou de façon secondaire) ? Je ne sais pas trop, je dois dire que je m'en fous un peu 

[steph]

C'est les média qui mettent la pression sur les joueurs ,et notamment sur Dupont, en raison des super performances récentes de l'équipe.Qu'on leur fiche la paix et su'on les laisse travailler tranquilles!

Un peu normal, non ?
Ça fait plus d'un an qu'il surfe médiatiquement sur sa quête de médaille d'or super Dupont !
La moindre des choses est de ne pas être au niveau d'une équipe de copains de beach rugby, quand l'échéance est enfin arrivée, enfin il me semble.

[frednirom]

Pour l'instant cette équipe joue en mode suicide #nobrain #Clermont , je suis très déçu. 

[RCV06]

Toutes façons t'aimes pas le 7 alors ... 

Tout a fait !

C'est les média qui mettent la pression sur les joueurs ,et notamment sur Dupont, en raison des super performances récentes de l'équipe.Qu'on leur fiche la paix et su'on les laisse travailler tranquilles!

C'est guère compatible avec les JO

[jm12]

Pour l'instant cette équipe joue en mode suicide #nobrain #Clermont , je suis très déçu. 

Ouai....sur ce que j 'ai vu , pas convaincu du tout...je trouve que ça manque de vitesse et de cannes sur bcp de postes et les Fidjiens pourraient nous le rappeler !

 

Le cas JP Barraque , illustre bien les limites de cette équipe...c 'est lent et manque de justesse !