François Mey est dans le groupe Italien
[6 Nations] France - Italie :
#17
Posté 15 février 2024 - 13:14
En tant que Rital je suis tenté de vous dire : Ma, pizza, spaghetti, lemoncello !
Ce qui signifie que vous n'avez rien à craindre mais que vous me devez le supplément sauce piquante.
En tant que Français, Parigot depuis une génération, la mienne, je suis tenté de vous dire : TOUS AUX ABRIS, GONZA REVIENT !
Et donc je me méfie comme de la vérole de toute équipe dirigée par lui. Z'ont failli taper les angliches, et si que l'arbitre il avait refusé l'essai marqué en deux temps de Bennett il le faisaient !
Donc mefia te, comme on dit je sais plus où !
#18
Posté 15 février 2024 - 13:20
En tant que Rital je suis tenté de vous dire : Ma, pizza, spaghetti, lemoncello !
Ce qui signifie que vous n'avez rien à craindre mais que vous me devez le supplément sauce piquante.
En tant que Français, Parigot depuis une génération, la mienne, je suis tenté de vous dire : TOUS AUX ABRIS, GONZA REVIENT !
Et donc je me méfie comme de la vérole de toute équipe dirigée par lui. Z'ont failli taper les angliches, et si que l'arbitre il avait refusé l'essai marqué en deux temps de Bennett il le faisaient !
Donc mefia te, comme on dit je sais plus où !
Un soir de classico, Quesada est tombé dans la Garonne, un gars a gueulé : " Hé, gonze à l'eau"
#19
Posté 15 février 2024 - 14:01
Un soir de classico, Quesada est tombé dans la Garonne, un gars a gueulé : " Hé, gonze à l'eau"
Nul. Je veux dire : je peux faire bien pire !
- Alex chocolatines aime ceci
#20
Posté 15 février 2024 - 14:21
MLSLG
#21
Posté 15 février 2024 - 14:25
MLSLG
Ma qui va payer la pizza ?
#22
Posté 15 février 2024 - 15:13
Ma qui va payer la pizza ?
Eh ben, la guitare, la gapette devant les pieds, sur un carton : " à vôt bon coeur m'ssieur dam"
#23
Posté 19 février 2024 - 15:50
L'une des grandes réussites de Fabien Galthié lors de son premier mandat a été le fait de lancer des jeunes joueurs dès sa prise de fonction et d'en avoir fait des titulaires indiscutables. Au moment où ils ont été lancés ou propulsés titulaires, Antoine Dupont et Damian Penaud n'avaient que 23 ans, Alldritt en avait 22, Jalibert 21 et Ntamack 20. Plus âgés mais pas plus expérimentés, Julien Marchand (24 ans à l'époque), François Cros (25) ou Jonathan Danty (26) ne comptaient alors que huit sélections à eux trois, contre 87 aujourd'hui.
C'est là que se trouve le noeud du problème : après avoir lancé puis installé tous ces talents, dont plusieurs sont devenus des références mondiales à leur poste, Fabien Galthié doit-il continuer à faire parler la fameuse expérience collective qui lui est si chère (en somme, continuer à aligner les mêmes joueurs en misant sur le vécu commun) ou commencer un nouveau cycle, en préparant déjà 2027 ?
« Il y a une interrogation entre continuer une histoire ou la finir et en commencer une autre, analyse Sébastien Calvet, manager des moins de 20 ans. Intégrer des jeunes joueurs, ça entraîne une phase de perturbations et, face aux nations majeures du Tournoi, c'est risqué. Je comprends aisément la stratégie de Fabien (Galthié). »
Il n'empêche, à l'annonce du thème de cet article, le manager des U20 abonde : « Il y a beaucoup de jeunes joueurs qui mériteraient d'être lancés : Gailleton, Depoortere, Jauneau, Gazzotti, Costes... », avant de s'interrompre : « Je vais finir par tous les citer en fait (rires) ! ». S'ils ne sont pas tous, pour l'heure, près d'arriver chez les grands, en voici déjà plusieurs.
Le contraste était saisissant. Le week-end du 2 février, tandis que les Bleus subissaient leur plus lourde défaite à domicile depuis le début du mandat de Galthié, contre l'Irlande (17-38), Nicolas Depoortere était aux anges avec l'UBB, réalisant une performance solide à Toulon, parachevée par un essai en fin de match offrant aux Bordelo-Béglais leur première victoire sur la Rade depuis 2006.
Un essai inscrit après une relance du fond du parking, qui symbolise à lui seul plusieurs des qualités de Depoortere : la volonté de jouer en avançant, un soutien omniprésent pour ses coéquipiers, un appel intérieur, un crochet suivi d'une course tranchante pour conclure le coup.
« Nicolas a gagné beaucoup de confiance en lui dernièrement », valide Sébastien Calvet, qui en a fait un de ces cadres chez les U20 la saison dernière. « Aujourd'hui, il est au service d'un rugby total, sur le plan offensif, et a cette capacité à s'arracher. Et défensivement, il sait très bien coller l'adversaire. Surtout, il fait partie de ces joueurs qui arrivent à passer très rapidement d'un niveau -20 à un niveau international. »
Resplendissant l'été dernier lors de la Coupe du monde U20, il a en effet su s'imposer comme un titulaire indiscutable au sein des lignes arrière de l'UBB cette saison. Au milieu d'une paire Danty-Fickou qui peine à retrouver son niveau de 2022, Depoortere peut amener un vent de fraîcheur et un jeu plus tourné vers l'attaque. Il possède aussi l'avantage d'évoluer avec plusieurs des titulaires actuels de la ligne d'arrières française à Bordeaux : la charnière Lucu-Jalibert, son pote Louis Bielle-Biarrey et Damian Penaud.
Depoortere pourrait incarner cette nouvelle ligne de trois-quarts française au côté d'un joueur qu'il connaît bien pour avoir joué avec lui chez les jeunes : Émilien Gailleton. Lui non plus n'a pas traîné pour se faire un nom dans le paysage ovale français. Pour sa première saison en Top 14 l'an dernier, le Palois avait fini meilleur marqueur du Championnat, avec 14 essais.
De quoi être dans les petits papiers de Fabien Galthié avant la Coupe du monde. Il avait d'ailleurs été appelé avec le XV de France et connu sa première (et unique) sélection en Écosse. Mais depuis ce 5 août 2023, il n'a plus joué avec la tunique frappée du coq.
Ses qualités d'attaquant à la foulée légère et aux crochets incisifs qui lui permettent de trouver le chemin de l'en-but tout en décontraction en font pourtant un atout certain dans la ligne d'attaque française. Surtout, relèvent ses entraîneurs chez les jeunes, le Palois fait preuve d'une maturité incroyable à son âge et est un travailleur acharné et méticuleux, assurance de le voir encore progresser ces prochaines années. « Émilien est quelqu'un de très engagé, très projeté dans son parcours, dans son travail », dit de lui Sébastien Calvet. « Émilien, c'est presque son propre entraîneur ».
Annoncé comme l'une des pépites les plus prometteuses du rugby français ces dernières années, Nolan Le Garrec avait déjà effectué plusieurs allers-retours à Marcoussis l'an dernier mais n'avait pas encore eu la chance de connaître sa première sélection.
Cette année, Baptiste Couilloud est moins en vue en Championnat où le LOU est en difficulté et Antoine Dupont ne participe pas au Tournoi pour se tourner vers le rugby à VII et les JO. Ce qui a permis à Le Garrec de connaître ses premières minutes en Bleu contre l'Irlande puis en Écosse.
Sa place dans le groupe, forcément liée à ce contexte favorable, doit aussi beaucoup à son rendement exceptionnel avec le Racing depuis le début de la saison. Très bon dynamiteur, qui sait aussi prendre le jeu à son compte, Le Garrec a un style davantage tamponné « Dupont » que « Lucu », plus régulateur.
« Nolan est un joueur très déterminé, capable malgré son jeune âge d'être un leader naturel, un leader de jeu et de vestiaire »
Philippe Boher, ancien manager des moins de 20 ans, au sujet de Le Garrec
L'hypothèse de le voir titularisé au niveau international ne paraît pas absurde à Philippe Boher, ancien manager des moins de 20 ans qui a donné ses premières sélections en U20 au Breton. « Il est prêt ! C'est un joueur que l'on suit depuis très longtemps. Il était doublement surclassé chez les moins de 20 ans. Les doubles surclassés révèlent en général d'un potentiel incroyable - ç'a été le cas de Romain Ntamack par exemple. Nolan est un joueur très déterminé, capable malgré son jeune âge d'être un leader naturel, un leader de jeu et de vestiaire. Il imprime beaucoup de vitesse au jeu, il sait prendre les bonnes initiatives... Les adversaires doivent le surveiller comme le lait sur le feu ! »
Révélation de la deuxième partie de saison dernière en Top 14, Posolo Tuilagi, le fils de Henry s'est rapidement installé comme titulaire avec Perpignan, avant d'éclater encore un peu plus à la face du monde ovale lors de la Coupe du monde des moins de 20 ans l'été dernier.
Le désormais champion du monde U20 a, comme Le Garrec, bénéficié de plusieurs forfaits (Emmanuel Meafou, Thibaud Flament, Romain Taofifénua) et de la suspension de Paul Willemse pour voir son arrivée chez les Bleus accélérée.
Il n'empêche : avec sa morphologie hors-norme (1m92, 150 kilos), le jeune homme (19 ans) a des qualités presque sans équivalent aujourd'hui dans le rugby mondial. Si bien qu'on ne l'a encore jamais vu reculer à l'impact, même lors de ses entrées en jeu contre l'Irlande et l'Écosse.
En plus de sa faculté à gagner des mètres à chaque percussion, le Perpignanais possède de bonnes mains - celles qu'il a glissées sous le ballon porté par Sam Skinner en Écosse et qui a évité à l'essai d'être validé - et a la faculté de jouer après contact, philosophie qu'il a apprise à Perpignan et en équipe de France U20.
« Posolo est un leader d'engagement, avance Philippe Boher. Ça fait du dégât quand il prend le ballon. Il a franchi le cap international désormais. Et même s'il va avoir besoin de se développer encore, au niveau musculaire il est déjà très bien équipé. » En sa défaveur : le fait de ne pas sauter en touche et de retirer une option à un secteur déjà à la peine depuis le début du Tournoi.
D'autres profils pourraient se faire une place plus vite qu'on ne le pense au sein du XV de France. Appelé pour préparer le match de l'Italie en raison du forfait de Grégory Alldritt, Marko Gazzotti possède un profil assez similaire au capitaine rochelais.
Monstre d'énergie, de force et d'endurance, le Bordelais, meilleur joueur de la Coupe du monde U20 l'été dernier à seulement 18 ans, multiplie les appels et les percussions au centre du terrain. Il s'est fait une place dans la rotation de l'UBB depuis le début de la saison, avec déjà 12 apparitions, dont 8 titularisations. À plus ou moins long terme, il pourrait permettre à Alldritt de souffler, lui qui est énormément utilisé en club comme en sélection.
D'autres anciens cadres de l'équipe de France U20 ont commencé à se faire une place de titulaire cette saison en Top 14. Léo Barré (chez les moins de 20 en 2021-2022) impressionne avec le Stade Français à l'arrière ou à l'ouverture, deux postes - malheureusement pour lui - très bien pourvus en équipe de France.
À La Rochelle, Hugo Reus a été titularisé 6 fois à l'ouverture par Ronan O'Gara, à un poste où figure pourtant un autre international, Antoine Hastoy. Sa conduite du jeu et sa réussite face aux perches en font un atout sérieux. Baptiste Jauneau, véritable mobylette au poste de demi de mêlée, se partage le poste de 9 titulaire à Clermont avec Sébastien Bézy. Paul Costes (Stade Toulousain) profite des doublons pour se faire une place dans le groupe d'Ugo Mola.
- ELSAZOAM aime ceci
#24
Posté 19 février 2024 - 18:52
En difficulté depuis le début du Tournoi, Fabien Galthié pourrait rester attaché à son XV jusqu'à la fin de la compétition. D'autant plus qu'il compte sur la tournée d'été en Argentine (2 rencontres sont prévues, les 6 et 13 juillet) pour lancer les jeunes. Pour ce déplacement, 42 joueurs seront sélectionnés (les finalistes du Top 14 ne seront pas disponibles)
Cette tournée validera je l'espère nos progrès.
Si on a toujours 0 sélectionné sur les 42, alors que 15 Toulousains et 10 Rochelais seront absents, ce sera à désespérer.
#25
Posté 19 février 2024 - 18:58
Cette tournée validera je l'espère nos progrès.
Si on a toujours 0 sélectionné sur les 42, alors que 15 Toulousains et 10 Rochelais seront absents, ce sera à désespérer.
Et bien, alors que le nom de JAUNEAU, revient très souvent sur le marché, sans nier ses qualités indéniables.....Celui parmi les jeunes de l'ASM que je vois même avant JAUNEAU, c'est DARICARRERE!!!...Ce garçon, semble non seulement bien dans sa tête mais assume bien son poste de centre...Bien pris en main à l'ASM et en plus les conseils de papa, je le vois bien progresser dans les mois qui arrivent...Simple intuition personnelle, je le précise..
- el landeno aime ceci
#26
Posté 19 février 2024 - 19:15
Daricarrere
Tixeront
Lanen
Jauneau
J'écarte les anciens style Raka ou Falgoux. A voir pour les "intermédiaires" style Fourcade
Mais le chat sera maigre j'en ai peur
#27
Posté 19 février 2024 - 20:41
Jauneau si il veut rentrer dans le groupe, va falloir qu'il se sorte les doigts. Il est méconnaissable le drôle, complètement hors sujet depuis un moment.
#28
Posté 19 février 2024 - 20:49
D'accord avec toi. Dans l'ordre on pourrait imaginer
Daricarrere
Tixeront
Lanen
Jauneau
J'écarte les anciens style Raka ou Falgoux. A voir pour les "intermédiaires" style Fourcade
Mais le chat sera maigre j'en ai peur
FOURCADE, me semble un peu trop juste pour l'EDF et puis souvent blessé ...Difficile de se montrer et se mettre en lumière...Pour les autres mentionnés effectivement, je pense que le train est passé...
#29
Posté 19 février 2024 - 21:12
À tous ceux qui s'écharpent, entre gentlemen bien sûr, réclamant que Nolann Le Garrec démarre contre l'Italie, dimanche à Villeneuve-d'Ascq, ou que Thomas Ramos attaque en numéro 10, tout en implorant le sélectionneur Fabien Galthié de laisser le beau bébé et demi Posolo Tuilagi démarrer en deuxième ligne, on pourrait, avec un brin d'ironie, rappeler qu'on ne change pas comme ça une équipe qui gagne en Écosse (16-20), encore moins si elle a livré un contenu aussi formidable que parfait.
Ironie mise à part, le quinze de France qui essaiera d'offrir au public du Nord autre chose que le concentré de grumeaux servi contre l'Uruguay pendant la Coupe du monde (27-12, 14 septembre) devrait beaucoup ressembler à celui de Murrayfield. Secouée par les comités de sélection des réseaux sociaux, la charnière bordelaise Lucu-Jalibert devrait garder la main une troisième fois de suite.
Même tendance concernant les centres Jonathan Danty et Gaël Fickou. Sur ce plan, Fabien Galthié et son staff resteraient fidèles à un principe fort de leur management : on ne déboulonne personne, et sûrement pas un cadre ou un leader, pour un mauvais match en sélection et un autre plus que moyen.
Depuis quatre ans, Galthié s'est efforcé de sortir le quinze de France de la logique de l'instant, celle de l'homme en forme ou en méforme, celle des résumés de match du week-end d'avant. « Pourquoi les challenger en permanence sous prétexte qu'ils ont un passage poussif, comme vous dites ? », demandait-il il y a un an et demi, préférant s'appuyer sur deux choses : « le devoir de mémoire » et « l'expérience collective ».
Ces considérations ne doivent toutefois pas empêcher Maxime Lucu et Matthieu Jalibert de mieux conduire le jeu des Bleus, de se décoincer et ainsi de se rappeler au mauvais souvenir des Italiens, qu'ils avaient contribué à châtier à Lyon lors du faux huitième de finale de la Coupe du monde (60-7, 6 octobre). D'autant que les bouts de match de Le Garrec (26 minutes à Marseille, 30 à Édimbourg) ont apporté un supplément de peps, en particulier sur quelques montées défensives.
Seule la blessure de Grégory Alldritt à la 50e minute en Écosse (cuisse gauche) devrait contraindre le sélectionneur à modifier le quinze de départ. On sait déjà que le capitanat échoira à Charles Ollivon et on devine que le poste de numéro 8 reviendra à François Cros. Il a terminé le match à Murrayfield dans ce rôle, réussissant un excellent départ derrière la mêlée précédant l'essai de Louis Bielle-Biarrey, mais il s'agirait de sa première titularisation au centre de la troisième ligne avec les Bleus. À la place de Cros, donc en numéro 6, le staff devrait privilégier la candidature du Rochelais Paul Boudehent, entré en jeu contre l'Irlande et l'Écosse.
Le changement le plus notable pourrait concerner le banc de touche et l'absence de Tuilagi, pour le plus grand bonheur de l'USAP, qui reçoit La Rochelle le week-end prochain. Là encore, le staff de Galthié reste sourd (à moitié sourd, puisqu'il a donné au colosse ses deux premières sélections dans ce Tournoi), à la vox populi et rappelle Romain Taofifenua, qui faisait partie de la première liste pour ce Six Nations avant de devoir renoncer en raison d'une plaie infectée à une jambe. Entré en jeu avec le LOU samedi face à La Rochelle (28-17), le grand « Tao » a remis le contact pour 35 minutes de qualité.
#30
Posté 19 février 2024 - 22:18
Jauneau si il veut rentrer dans le groupe, va falloir qu'il se sorte les doigts. Il est méconnaissable le drôle, complètement hors sujet depuis un moment.
il est déjà cramé qu'il n'a pas encore commencé sa carrière ! Non non il va se ressaisir, il apprend là...
l'ex. vraiment comme ça par contre c'était Bézy. Impérial pendant une saison au ST, projeté prochain 9 du xv de France pour 10 ans, et aussitôt sélectionné en 2016 il est méconnaissable tout le reste de sa carrière. Anonyme.
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