Champion du Monde
Posté 25 février 2024 - 22:00
les têtes
Bon, on les voyait gagner tranquille et se refaire la cerise mais....... On s'est presque fait battre ...
Alors peut on dire que l'Italie progresse ou qu'on ne ressemble plus à rien et qu'on doit notre salut à quelques coups chatteux et parfois des largesses arbitrales ? Bah oui, sans ça on perdait 3 matches à la file. Est ce que Galthié se rend compte du merdier ?
Champion du Monde
Posté 25 février 2024 - 22:05
OLLIVON : on va bosser, on va bosser ! Moi je veux bien mais il y a pas que le boulot.........................
Champion du Monde
Posté 25 février 2024 - 23:40
Champion du Monde
Posté 26 février 2024 - 00:30
Avec cette lobotomisation des discours, je pense qu'Iturria a une chance de revenir bientôt dans ce xv de France.
Et Fickou il est pas bon dans les analyses ?
Usapiste et bien davantage
Posté 26 février 2024 - 14:31
À 1 essai de la défaite en Écosse, à 1 pénalité de la défaite face à l'Italie, et les discours complètement dans le déni de nos joueurs (Fickou
) et Galthié. C'est consternant et on dirait que personne n'arrive à leur ouvrir les yeux.
Ah ça, la remise en cause, dès lors que tu détiens un pouvoir, c’est bien un problème de la nature humaine … et dans tous les domaines et à tous les niveaux … cf un passé très récent ! 
Champion du Monde
Posté 26 février 2024 - 16:02
L'EDF à eu beaucoup de chance de ne pas concéder la défaite contre l'Italie
Six nations : pourquoi l'Italien Garbisi aurait dû retaper la pénalité de la gagne contre la France
Champion du Monde
Posté 26 février 2024 - 17:10
L'EDF à eu beaucoup de chance de ne pas concéder la défaite contre l'Italie
Six nations : pourquoi l'Italien Garbisi aurait dû retaper la pénalité de la gagne contre la France
ça on se sait 
Déjà l'essai accordé alors qu'on en refuse un plus clair aux Ecossais , ça fait double chance, et puis Garbisi à la fin...
Champion d'Europe
Posté 26 février 2024 - 20:36
« À mes yeux, ce match nul est une défaite, mais j'ai trop connu le genre de moments que traverse l'équipe de France pour tirer sur l'ambulance. Mon analyse est qu'à la pause, les Bleus auraient dû mener au moins 24-0. C'est le tarif, normalement, quand on entre douze fois dans la zone de conclusion et qu'on y passe plus de six minutes. Mais ils n'ont marqué que 10 points. Cette impuissance offensive, c'est la clé de la rencontre. Elle a créé beaucoup de frustration au sein d'une équipe qui n'était déjà pas très en confiance. Cette frustration a généré des erreurs techniques, un coup de pied direct en touche par-ci, un en-avant derrière un ruck par-là, qui ont contribué à la fragiliser encore davantage. Je le sais d'expérience : les balles de match que tu rates, tu les reprends dans la "gueule" et un accident arrive. À Lille, l'accident a été le carton rouge de Jonathan Danty (40e).
Reste à comprendre pourquoi l'équipe de France n'a pas concrétisé. Si on analyse les 10 points qu'elle a marqués en première période, on constate que c'est via sa puissance : la mêlée, les ballons portés et le jeu dans l'axe, comme sur l'essai de Charles Ollivon (7e) où la troisième ligne a enchaîné les percussions dans un jeu à 0 ou 1 passe. C'est ce que Fabien Galthié appelle le jeu en "black".
Avec la composition du pack, l'un des plus lourds jamais alignés, les Bleus auraient dû insister avec cette animation offensive qu'ils maîtrisent très bien depuis plusieurs années. Le paradoxe, c'est qu'à part sur l'essai, ils ne l'ont pas fait. Et c'est déjà quelque chose que l'on avait noté lors des deux premiers matches du Tournoi. Pourquoi bâtit-on une telle équipe pour ne pas utiliser le jeu en "black" ? Je ne me l'explique pas.
En tout cas, proche de l'en-but adverse, au lieu de rester sur la ligne de front pour utiliser sa puissance, on a vu la France "reculer" le ballon, c'est-à-dire faire des passes vers les trois-quarts, alors qu'il n'y avait pas de surnombre. Et cela a mis en évidence le fait qu'avec son choix d'aligner des joueurs lourds, cette équipe manquait de mobilité. Après deux temps de jeu avec les avants, on voyait certains d'entre eux ne pas se rendre disponibles pour alimenter le sens du jeu. Il y a donc eu des ruptures dans les soutiens, qui n'ont pas permis aux Bleus de transformer leur action avec de la vitesse et de créer des déséquilibres. Pour résumer : la puissance a permis aux Bleus de marquer 10 points, mais le manque de mobilité les a empêchés d'inscrire deux ou trois essais de plus.
Pour conclure, je voudrais faire un clin d'oeil à l'Italie de Gonzalo Quesada, et notamment à Paolo Garbisi, que j'ai entraîné à Montpellier. C'est l'homme du match, à cause de cette malchance sur la pénalité de la fin de match mais aussi parce qu'avant ça, sincèrement, il a été très bon dans une période difficile pour lui. »
Joueur de TOP 14
Posté 26 février 2024 - 23:05
Champion du Monde
Posté 27 février 2024 - 11:52
Coup de gueule de Capuozzo concernant les sifflets en tribune.
Ça devient habituel et c'est dommage !
Ceux qui sifflent sont les mêmes qui dans un autre secteur, parlent de respect !
Champion du Monde
Posté 27 février 2024 - 12:29
Coup de gueule de Capuozzo concernant les sifflets en tribune.
Ça devient habituel et c'est dommage !
Vu la prestation de nos bleus faut vraiment rien connaitre au rugby pour siffler les Italiens, ou etre con, ou les 2 ...
Champion du Monde
Posté 27 février 2024 - 12:53
L'oeil de Jean-Baptiste Élissalde après France-Italie : « Puissance et impuissance » Pour l'ancien international (35 sélections, vainqueur du Tournoi 2004 et 2006), si leur puissance a permis aux Bleus de marquer des points, le manque de mobilité les a empêchés d'inscrire deux ou trois essais de plus.
« À mes yeux, ce match nul est une défaite, mais j'ai trop connu le genre de moments que traverse l'équipe de France pour tirer sur l'ambulance. Mon analyse est qu'à la pause, les Bleus auraient dû mener au moins 24-0. C'est le tarif, normalement, quand on entre douze fois dans la zone de conclusion et qu'on y passe plus de six minutes. Mais ils n'ont marqué que 10 points. Cette impuissance offensive, c'est la clé de la rencontre. Elle a créé beaucoup de frustration au sein d'une équipe qui n'était déjà pas très en confiance. Cette frustration a généré des erreurs techniques, un coup de pied direct en touche par-ci, un en-avant derrière un ruck par-là, qui ont contribué à la fragiliser encore davantage. Je le sais d'expérience : les balles de match que tu rates, tu les reprends dans la "gueule" et un accident arrive. À Lille, l'accident a été le carton rouge de Jonathan Danty (40e).
Reste à comprendre pourquoi l'équipe de France n'a pas concrétisé. Si on analyse les 10 points qu'elle a marqués en première période, on constate que c'est via sa puissance : la mêlée, les ballons portés et le jeu dans l'axe, comme sur l'essai de Charles Ollivon (7e) où la troisième ligne a enchaîné les percussions dans un jeu à 0 ou 1 passe. C'est ce que Fabien Galthié appelle le jeu en "black".
Avec la composition du pack, l'un des plus lourds jamais alignés, les Bleus auraient dû insister avec cette animation offensive qu'ils maîtrisent très bien depuis plusieurs années. Le paradoxe, c'est qu'à part sur l'essai, ils ne l'ont pas fait. Et c'est déjà quelque chose que l'on avait noté lors des deux premiers matches du Tournoi. Pourquoi bâtit-on une telle équipe pour ne pas utiliser le jeu en "black" ? Je ne me l'explique pas.
En tout cas, proche de l'en-but adverse, au lieu de rester sur la ligne de front pour utiliser sa puissance, on a vu la France "reculer" le ballon, c'est-à-dire faire des passes vers les trois-quarts, alors qu'il n'y avait pas de surnombre. Et cela a mis en évidence le fait qu'avec son choix d'aligner des joueurs lourds, cette équipe manquait de mobilité. Après deux temps de jeu avec les avants, on voyait certains d'entre eux ne pas se rendre disponibles pour alimenter le sens du jeu. Il y a donc eu des ruptures dans les soutiens, qui n'ont pas permis aux Bleus de transformer leur action avec de la vitesse et de créer des déséquilibres. Pour résumer : la puissance a permis aux Bleus de marquer 10 points, mais le manque de mobilité les a empêchés d'inscrire deux ou trois essais de plus.
Pour conclure, je voudrais faire un clin d'oeil à l'Italie de Gonzalo Quesada, et notamment à Paolo Garbisi, que j'ai entraîné à Montpellier. C'est l'homme du match, à cause de cette malchance sur la pénalité de la fin de match mais aussi parce qu'avant ça, sincèrement, il a été très bon dans une période difficile pour lui. »
Laderno, t'es certain qu'il ne s'agit pas du commentaire de ASM - ST ?
Vacciné
Posté 27 février 2024 - 20:18
Champion du Monde
Posté 27 février 2024 - 20:56
Danty suspendu 5 semaines
Quelle enculade !
Le rugby est devenu est un jeu pour Irlandais et Sud af
Non mais tu le fais mal le gars qui semblerait triste d'avoir perdu Danty pour la fin du tournoi 
Vacciné
Posté 27 février 2024 - 21:27
Danty je n'en veux plus en EdfNon mais tu le fais mal le gars qui semblerait triste d'avoir perdu Danty pour la fin du tournoi
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