à la mêlée alors, j'espère. Lucu peut sortir du banc
(vers la 77è)
Posté 20 février 2024 - 18:31
à la mêlée alors, j'espère. Lucu peut sortir du banc
(vers la 77è)
Posté 20 février 2024 - 18:46
à la mêlée alors, j'espère. Lucu peut sortir du banc
(vers la 77è)
Oui on a besoin de lui à la fin pour serrer les poings avec un cri rageur
Posté 21 février 2024 - 22:47
En cent soixante minutes de Tournoi, le seul ovni dans le ciel gris des Bleus - vous vous souvenez des ovnis chers au sélectionneur Fabien Galthié ? - a surgi à la 70e minute du dernier Écosse - France (16-20, le 10 février), sous la forme d'une passe. Oui, une passe. Celle de Nolann Le Garrec pour Louis Bielle-Biarrey, qui se chargea du reste (et il en restait beaucoup). Ce genre de passe flash, vive et tendue pour éliminer trois défenseurs écossais dans le couloir, n'est pas une nouveauté dans le paysage offensif de cette équipe de France.
Mais le fait qu'elle ait autant retenu l'attention souligne en creux une autre réalité : contre l'Irlande à Marseille (défaite 17-38, le 2 février) et en Écosse, le quinze de France n'a quasiment rien tenté de différent ou de surprenant, ni dans les duels ni par la passe, hormis cette éjection, un crochet intérieur de Gaël Fickou à Édimbourg et un petit par-dessus bien pensé de Matthieu Jalibert.
« J'aimerais qu'on soit plus nous-mêmes. On doit aller plus loin »
Charles Ollivon, troisième-ligne des Bleus, après la victoire en Écosse
C'est chiche quand on sait que cette équipe ne manque pas de repères communs, en troisième ligne, à la charnière, au centre ou en fond de terrain. Dans les sous-sols de Murrayfield, Charles Ollivon laissait filtrer ce sentiment : « Je trouve que nous ne sommes pas encore libérés. Ce n'est pas que mental. On doit s'approprier plus les choses, clarifier certains secteurs pour jouer plus libérés. On a compensé avec l'état d'esprit. J'aimerais qu'on soit plus nous-mêmes. On doit aller plus loin. »
Le lendemain, dans L'Équipe, Thomas Ramos, un autre des leaders identifiés du groupe, poursuivait sur le même thème : « On sait que sur notre jeu offensif, avec la qualité des joueurs qu'on a, on est capables de mieux. À nous d'être plus dans l'échange et la prise d'initiative pour mieux nous exprimer sur le terrain. On a besoin d'un match référence sur le secteur offensif (...), on a besoin de se libérer. »
Comment faut-il comprendre cet appel d'Édimbourg à larguer les amarres ? Si, comme le dit Ollivon, ce n'est pas que mental, c'est que ça l'est au moins un peu. « Ce que j'observe, c'est un grand classique du genre, dit Éric Blondeau, développeur de performance, ayant travaillé avec Clermont, Montpellier et l'Écosse. Il y a une perte de sens, qui ne permet pas aux joueurs de se libérer. Quand je lis dans la presse : "Si c'était à refaire, je referais la même chose" (référence au discours de Galthié après la défaite à la Coupe du monde), quand les datas montrent que ce qui avait été mis en place devait fonctionner, il y a une forme de déni. Et le déni est nuisible à la haute performance, un peu comme des chaussures de plomb. Débriefer à chaud aurait permis de construire une autre histoire. Car à froid, plusieurs mois après, on réécrit l'histoire. » De l'extérieur, on peut effectivement avoir l'impression que l'Irlande, contrairement à la France, a tourné la page et même changé de livre.
Pour se libérer, encore faut-il pouvoir user de ses pleins moyens physiques. Même si on a pu noter un léger mieux en Écosse - dans un match à petit rythme -, « certains joueurs comme Baille, Mauvaka, Atonio, Danty, Fickou et même Ramos semblent manquer de fraîcheur, physique et mentale, dit un entraîneur de Top 14. C'est compréhensible. Les temps de jeu avec les Irlandais sont équivalents en ce moment mais notre Championnat est plus dur, plus stressant ; il pompe plus d'énergie que le leur. Ne fallait-il pas se passer de certains joueurs, juste pour ce Tournoi ? »
« Nous serons plus libérés quand nous serons plus en confiance »
Patrick Arlettaz, entraîneur de l'attaque des Bleus
La tête, les jambes, d'accord. Mais cette libération tant attendue cache aussi une pure question de forme de jeu. On arrive à percevoir que les Bleus cherchent à faire évoluer quelque chose offensivement, sous l'impulsion de Patrick Arlettaz, nouvel entraîneur de l'attaque. On pressent aussi qu'ils ne renieront pas tout de ce qui a fait leur réussite : jouer haut, presser fort, attaquer vite. Cette équipe de France n'a jamais voulu attaquer comme l'Irlande, en déroulant les séquences autour d'une organisation qui mériterait un grand prix d'horlogerie. Le pourrait-elle ? C'est un autre débat.
Ce qui est certain, c'est que ce début de Tournoi a exposé au grand jour la différence entre une équipe qui a gardé confiance en elle et en son système malgré la perte de son ordinateur de bord (Jonathan Sexton) et une autre en proie au doute le plus gluant, ce qui surexpose l'absence de son « déclencheur » Antoine Dupont. « Nous serons plus libérés quand nous serons plus en confiance, disait Arlettaz mardi. Quand on aura plus de rythme, de vitesse, on sera plus libérés. Pour être plus libérés, plus ambitieux, il faut la confiance. »
Pour mesurer cet écart de confiance, on pourrait jouer à un jeu cruel et s'arrêter sur le nombre de situations où les Irlandais ont fini par laisser libre cours à une part de spontanéité ou de prise de risque dans les transmissions. Repensez au offload de Bundee Aki pour Jamison Gibson-Park (premier essai à Marseille), à la passe retardée au maximum de Jack Crowley pour ouvrir la porte à Tadhg Beirne - (deuxième essai), la passe en tombant de Robbie Henshaw avant l'essai de Calvin Nash (le troisième à Marseille), et si cela ne suffit pas, jetez un oeil à la passe en s'enroulant derrière le défenseur de Crowley contre l'Italie et aux offloads de Stuart McCloskey.
En comparaison, les Français ont multiplié les passes neutres qui renforcent cette impression de conservatisme. Parfois, ils ont tout simplement failli dans la justesse : en première mi-temps contre l'Écosse, Jalibert annule une situation de surnombre dans le couloir en sautant Ramos ; contre l'Irlande, Fickou ne fixe pas assez Hugo Keenan et ne libère donc pas l'espace pour Damian Penaud.
« Dézoner pourrait être la solution. C'est-à-dire passer d'une attaque très structurée, où on joue beaucoup les côtés fermés, à une attaque davantage en lecture, avec des bascules et des courses »
Jean-Baptiste Élissalde, ex-entraîneur des Bleus
Mais l'impression générale de ce début de Tournoi nous renvoie à une animation manquant de clarté et qui n'a pas permis de jouer en avançant. « On est à la croisée des chemins, pense Jean-Baptiste Élissalde, ancien international (35 sélections) et entraîneur des Bleus (2018-2019). On sent qu'ils s'orientent vers un nouveau système, qu'ils veulent aller plus loin qu'un jeu de pression, posséder un peu plus mais que, pour le moment, tout le monde ne fait pas la même chose au même moment. On se perd un peu. Attention, ce n'est que le début, on ne peut pas juger en ayant vu trois actions contre l'Écosse. Soyons un peu patients. Pendant quatre ans, le quinze de France a beaucoup attaqué sur de petits espaces, par des retours dans le fermé. Aujourd'hui, nos adversaires nous renvoient le ballon plus bas et nous, on gagne moins de ballons de récupération haut dans le terrain, ces ballons de transition dont Penaud et Dupont se régalaient en deux crochets, merci-au revoir. Donc, dézoner pourrait être la solution. C'est-à-dire passer d'une attaque très structurée, où on joue beaucoup les côtés fermés, à une attaque davantage en lecture, avec des bascules (choisir un côté du terrain et s'y projeter pour créer un surnombre) et des courses. »
Zoner ou dézoner, telle serait la question. « Avec Jalibert et Ramos, très forts en lecture, avec Fickou, qui a, comme Ramos et Jalibert, l'habitude de le faire en club, avec Bielle-Biarrey et Penaud, la question ne se pose pas, poursuit Élissalde. Maintenant, pour dézoner efficacement, il faudrait que nos cellules soient un peu plus espacées sur la largeur et que nos trois-quarts n'aient plus ce temps d'hésitation qu'on a pu remarquer en Écosse. L'intérêt, c'est aussi de pouvoir proposer plus de choses autour de Jalibert. C'est là-dedans qu'il est très fort, quand ça appelle et que ça bouge autour de lui. »
La libération des moeurs, des mains et des cerveaux sera bien sûr plus facile à atteindre quand la touche des Bleus alimentera l'attaque en ballons plus nombreux et plus propres. Car c'est une autre constatation du moment : les lancements de jeu, vrai point fort du premier mandat de Galthié, sont grippés. Ce n'est peut-être, là encore, qu'une question de temps.
Posté 21 février 2024 - 23:10
Ou de l'espace, ou inventée après 2014, une expression du futur
c'est pas malin ..
Ou alors c'est dans le métavers, du coup c'est normal qu on connaisse pas
Pas mieux ..
Posté 21 février 2024 - 23:24
c'est pas malin ..
Pas mieux ..
vois le point positif, tu auras réussi l'exploit de nous mettre d'accord sur un sujet, c'est pas rien .
Tu ne reverras pas ça avant au moins 10 ans, d'ici 2024 à mon avis
PS. on attend toujours l'explication et l'origine de ton expression des campagnes
Posté 22 février 2024 - 14:19
Ma. Dessiner se dit "designare" en italien. Bite se dit "minchia" en sicilien.
VORREI DESIGNARE MINCHIE SOTT'IL BUS ITALIANO!
Posté 22 février 2024 - 14:25
Ma. Dessiner se dit "designare" en italien. Bite se dit "minchia" en sicilien.
VORREI DESIGNARE MINCHIE SOTT'IL BUS ITALIANO!
Ça, ça veut dire que tu veux désigner des bites (sans doute afin de te moquer, tant il est connu que les italiens sont tous des petites bites ?). "Dessiner" se dit "disegnare". Gourine se dit "un ignare", parce qu'il est singulier.
Posté 22 février 2024 - 14:32
Ma. Dessiner se dit "designare" en italien. Bite se dit "minchia" en sicilien.
VORREI DESIGNARE MINCHIE SOTT'IL BUS ITALIANO!
Je pense qu'ils faisaient ça bien avant toi
https://www.veroeddy...de-pompei-suite
Posté 22 février 2024 - 14:37
Vu le temps annoncé j'espère que le toit sera fermé pour le spectacle.
Posté 22 février 2024 - 16:54
Ma. Dessiner se dit "designare" en italien. Bite se dit "minchia" en sicilien.
VORREI DESIGNARE MINCHIE SOTT'IL BUS ITALIANO!
En gitan "minche" c'est là ou rentre la minchia
Posté 22 février 2024 - 18:37
Vu le temps annoncé j'espère que le toit sera fermé pour le spectacle.
Posté 22 février 2024 - 19:05
En gitan "minche" c'est là ou rentre la minchia
Posté 23 février 2024 - 12:38
Posté 23 février 2024 - 13:13
L'équipe italienne:1 FISCHETTI2 NICOTERA3 ZILOCCHI4 CANNONE5 RUZZA6 FAVRETTO8 VINTCENT7 LAMARO9 PAGE-RELO10 GARBISI11 IOANE12 MORI13 BREX14 MENONCELLO15 CAPUOZZO16 LUCCHESI17 SPAGNOLO18 FERRARI19 CANALI20 ZAMBONIN21 ZULIANI22 VARNEY23 MARINL'équipe française:
1 Baille2 Mauvaka3 Atonio4 Woki5 Tuilagi6 Boudehent8 Cros7 Ollivon9 Lucu10 Jalibert11 Bielle-Biarrey12 Danty13 Fickou14 Penaud15 Ramos16 Marchand17 Taofifenua18 Aldegheri19 R. Taofifenua20 Roumat21 Abadie22 Le Garrec23 Moefana
Bravo, c'est dans le bon ordre
Posté 23 février 2024 - 13:49
Bravo, c'est dans le bon ordre
0 members, 1 guests, 0 anonymous users