Ben nous v'la beaux.Article fait avec des rumeurs.
Au suivant.
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Posted 22 March 2024 - 19:45 PM
Ben nous v'la beaux.Article fait avec des rumeurs.
Au suivant.
Posted 22 March 2024 - 19:55 PM
Codo avait annonce qu'il allait faire une lettre, mais je le voyais pas capable d'eviter le sujet Rob Simmons dans un texte si long
Et si on faisait un deal autour d'un match nul, bonifié pour vous ? Vu la cacaille au cul que vous avez c'est un bon plan non ?
Nous on prend, parce qu'on est pas serein (c'est surtout Codoravie qui nous fait peur, il parait qu'il mange des enfants)
Posted 22 March 2024 - 20:00 PM
oui , mais comment ?
Posted 22 March 2024 - 20:02 PM
On va les faire courir dans tous les sens avec Urda en chef d'orchestre...
Quand je pense qu'à une époque pas si lointaine, on se foutait de la gueule d'Andy Goode à Brive, mais lui, au moins, il trouvait des touches royales. Quelle déchéance !
Posted 22 March 2024 - 20:08 PM
Posted 22 March 2024 - 20:34 PM
J'ai raté le match contre Pau.
Il a été mauvais encore notre papy de la pampa ?
Posted 22 March 2024 - 20:37 PM
Posted 22 March 2024 - 20:41 PM
Comme les anciens de la maison, partis à Bayonne, à LA Rochelle,etc.
Ezeala va-t-il nous la mettre ?
Posted 22 March 2024 - 20:42 PM
Pas autant que Simmons qui n'a pas mis le nez dans un seul regroupement, comme à l'accoutumée, mais pas brillant pour autant.
Posted 22 March 2024 - 20:58 PM
Comme les anciens de la maison, partis à Bayonne, à LA Rochelle,etc.
Ezeala va-t-il nous la mettre ?
Posted 22 March 2024 - 21:08 PM
Tous les anciens marquent contre nous. L'essai d'Ezeala est donc assuré, on part à -5
Posted 22 March 2024 - 21:08 PM
Et alors juste ton avis sur ses propos, tu en penses quoi en fait...?
Moi perso je ne trouve pas que ce soit que des conneries qui sont dites dans cette lettre...
Que ce soit par 1, 29 ou 10000 personnes qu'est-ce que ça change au contenu ?
Le blabla sur on ne gere pas un club de rugby comme on gere une usine
Heriteau fan de l'ASM depuis tout petit
L'histoire du club c'est le jeu à outrance ...
juste trois extraits qui pour ma part suffisent à ne pas donner grand interet à ce genre de post ou pseudo tribune.
Saisset ( pour ceux qui savent qui c'est) avait dit à l'epoque qu'on avait un public trop gentil ...c'est un peu mon sentiment.
Une vraie bonne bronca à l'entrée des joueurs aurait à mon avis plus d'effet qu'un post anonyme sur TWITTER ou une greve des bam-bam
Posted 22 March 2024 - 21:18 PM
À 33 ans et après huit saisons à Pau, l’Alsacien tirera sa révérence contre son gré mais sans amertume. Au-delà d’une reconversion dont il s’est occupé très tôt, un dernier challenge rugbystique devrait s’ouvrir à lui
Vous repartirez donc du Béarn avec un Béarnais et une Béarnaise, que vous avez conçu ici. Après huit saisons à Pau, on ne peut plus vous appeler l’Alsacien ?
Si, si ! Je suis arrivé avec ma compagne en 2016, et le chien qu’elle avait. On a dû l’euthanasier le jour du confinement pour abréger ses souffrances. On a pris un nouveau chien, on a eu deux enfants ici, donc au final, on repartira de Pau avec une famille, composée d’une Béarnaise, qui a six ans aujourd’hui (mercredi, NDLR), d’un Béarnais qui a 4 ans, et d’un dogue argentin (rires).
Pourquoi l’aventure paloise s’arrête ?
Ma volonté était de finir ma carrière ici. Sébastien Piqueronies a dû faire des choix. Je suis déçu, mais je suis fier d’être passé par Pau, d’avoir connu de bonnes années, notamment avec Simon Mannix où on fait cette demi-finale de Challenge et où on se loupe, sur un match, face à Agen, pour la qualif (en 2018). Ensuite, on a connu les années de bateau dans la tempête. Cela nous a forgés. C’était dur, mais on n’a jamais lâché. On a porté la responsabilité de ne pas faire descendre le club. Derrière, je suis aussi fier d’avoir participé au projet de Sébastien Piqueronies. D’avoir du temps de jeu, de faire des bonnes perfs, de contribuer à avoir qualifié le club en Challenge et pourquoi pas participer à la première de la Section dans le top 6... Maintenant, ça s’arrête, c’est comme ça.
Le pressentiez-vous, avez-vous accusé le coup ?
Avec tout le respect j’ai pour le club, pour Sébastien et pour tout le monde, il a fait son choix. C’est comme ça, il faut le respecter. J’ai mis 5 à 10 jours à l’accepter. La vie continue, on a une belle fin de saison à vivre. J’ai envie, comme Jale (Vatubua), Martin (Puech), et Corat’ (Corato), qui ne sont pas non plus gardés, de sortir par la grande, voire la très grande porte. On a de belles échéances pour rendre au club ce qu’il nous a donné, et de rendre fier les supporteurs de notre passage.
Fabrice Metz, lors de sa seule sélection avec les Bleus, le 19 juin 2016, à Tucuman en Argentine.“Si je suis resté aussi longtemps, c’est que quelque chose me disait qu’il le fallait”
C’est donc ça qu’on appelle le professionnalisme ?
On n’a pas de CDI, on signe des CDD. Cela fait partie du jeu. J’ai 33 ans, 250 ou 260 feuilles de match en pro, plus de 150 avec Pau. Je pense avoir fait mon temps. Et puis il faut laisser place à une jeunesse qui pousse fort. Je pense évidemment à Hugo Auradou, qui a tout l’avenir devant lui. Il y a Émilien (Gailleton), Théo (Attissogbe), et j’en oublie plein. Il faut savoir laisser sa place.
Votre profil de joueur qu’on ne voit pas, de travailleur de l’ombre, correspond assez bien à la mentalité du coin. Explique-t-il votre longévité à Pau ?
Effectivement, si je suis resté aussi longtemps, c’est que quelque chose me disait qu’il fallait que je reste. Malgré ces saisons très compliquées, les supporteurs ont toujours été là. Ils nous ont toujours portés, ne nous ont jamais craché dessus. De mon côté, je sens qu’il y a un attachement particulier avec eux. Je leur en suis reconnaissant. Je suis quelqu’un de sincère, de droit, avec un grand cœur. Pendant les années difficiles, quand je me retrouvais à la maison, je me disais souvent « m… je ne veux pas faire descendre ce club ». C’est une responsabilité importante. Et là, tu es bien content d’avoir des messages de supporteurs qui te soutiennent, même via des trucs tout simples.
Depuis la cabine de son broyeur, Fabrice Metz déchiquette du bois pour produire des plaquettes forestières.Quel souvenir le plus précieux conserverez-vous de vos années béarnaises ?
C’est déjà une grande fierté d’avoir évolué aux côtés de grands noms. Whitelock, Smith, Slade… Et puis je garderais en mémoire ces matchs couperets, comme celui face à Montpellier il y a trois ans, quand Matt Philip marque l’essai qui nous évite le barrage. C’était un soulagement de dingue. Il y a aussi ce 31 décembre 2016 qui m’a beaucoup marqué, toujours face à Montpellier. La LNR inaugure son hymne qui est sifflé par le public palois avant qu’il ne reprenne la Honhada par-dessus. On était alignés, sur le terrain, en blazer. C’était un moment très fort.
“Ce n’est pas forcément quelque chose que je mets en avant, mais j’ai ma sélection avec le XV de France”
Quid du pire souvenir ?
Le match où on gagne à Castres (27-29, le 3 mars 2018)… pendant lequel je me blesse à la cheville. Cela entraîne une opération qui m’empêche de disputer la demi-finale de Challenge européen face à Cardiff (défaite 16-10) et ce fameux match pour la qualif qu’on perd au Hameau face à Agen (22-33). Quant aux Castrais, cette défaite leur met une petite claque. Derrière, ils ne perdent plus un match jusqu’à ce titre de champion de France.
Quel est le coéquipier qui vous aura le plus impressionné ?
Daniel Ramsay. Ce n’était pas le plus fou physiquement. Mais il avait des lignes de course balle en mains… C’était un magicien. Un mec simple, que j’adore, on déconnait tout le temps ensemble.
Et puis il y a ces 4 minutes que vous avez joué en équipe de France (entré lors de la tournée de en juin 2016 face à l’Argentine à la 76e à la place de William Demotte)…
C’est juste avant que j’arrive à Pau. C’est déjà très bien d’en avoir une. Que ce soit 4, 5 ou 6 minutes. Ce n’est pas forcément quelque chose que je mets en avant, mais j’ai ma sélection avec le XV de France. J’ai au moins vécu ce que c’était, j’en ai profité au maximum.
Seul caprice de star auquel Fabrice Metz a cédé : une Ford Mustang rouge qu’il bichonne !D’un point de vue personnel, familial, appréhendez-vous de quitter le Béarn après y avoir passé huit saisons ?
Je vis l’instant présent au maximum. Pour le reste, on ne l’a toujours pas dit à nos enfants de 6 et 4 ans. On veut les préserver de ça. Comme rien n’est fait à 100 % concernant mon avenir, je n’ai pas envie de leur parler de choses qui ne sont pas concrètes.
Donc l’idée, c’est de continuer…
Il y a des discussions plus ou moins avancées avec certains clubs de Top 14 et de Pro D2. Les discussions sont sérieuses et je veux continuer le rugby. Je me vois bien poursuivre 2 ou 3 ans. Je suis bien, pas fatigué, ni trop cassé de partout.
Vous avez entamé votre reconversion dès 25 ans en créant votre entreprise Metz bois énergies. Quelle est sa vocation ?
On fait de la prestation de déchiquetage de bois pour la production de plaquettes forestières. Et à côté de ça, on fait du négoce de bois et de pellet. J’ai deux employés, un en Alsace et un ici. Ce job m’enlève une forme de pression. Quand on m’a annoncé qu’on ne comptait plus sur moi, j’ai mis cinq ou dix jours à le digérer. Mais je me suis dit que si ça devait s’arrêter, j’aurais de quoi m’occuper. Cela a été beaucoup plus facile à accepter. C’est pour ça que je n’en veux pas à Sébastien Piqueronies. Il a des choix à faire, j’ai aussi des décisions à prendre, à l’avantage ou au détriment de mes salariés. Mais à un moment, il y a une réalité que tu dois gérer.
Fabrice Metz avec son dogue plus Béarnais qu’Argentin.Avez-vous hâte de vivre pleinement votre vie de chef d’entreprise ?
J’aimerais profiter jusqu’à la dernière minute de temps de jeu qu’on me donnera. En ce moment, j’aime cet équilibre. Et puis j’ai toujours cette flamme. J’ai dit à mes enfants et à ma femme que j’aimerais terminer ma carrière en beauté. Je ne sais pas comment, ni avec qui, mais pourquoi pas en aidant un club de Pro D2 à monter, ou autre chose… Plusieurs projets se présentent moi, je suis en pleine réflexion. Je suis content de ma carrière, mais à part un titre de champion de France espoirs avec le Racing et Patrice Collazo, je n’ai rien d’autre (rire).
Ensuite, il sera forcément temps de rentrer en Alsace, vous qui y êtes très attaché…
Détrompez-vous ! On a acheté une maison à Nousty… qu’on mettra en location. En Alsace, mon entreprise se développe très bien. J’ai même embauché mon frère Sébastien là-bas (les trois frères Metz travaillent ensemble, NDLR). Et ici, ça continue à se développer… on se pose donc la question avec madame.
Posted 22 March 2024 - 21:21 PM
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Top 14. Fabrice Metz : « Je pense avoir fait mon temps à Pau »
Lecture 4 min
Accueil Sport Rugby Section PaloiseSeul joueur alsacien du Top 14, Fabrice Metz a compilé 167 matchs avec la Section Paloise... dont celui victorieux, face à Bayonne, lan passé à Anoeta (20-30). © Crédit photo : David Le Déodic
Par Georges Lannessans
Publié le 22/03/2024 à 19h37.
Mis à jour le 22/03/2024 à 21h01.
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À 33 ans et après huit saisons à Pau, lAlsacien tirera sa révérence contre son gré mais sans amertume. Au-delà dune reconversion dont il sest occupé très tôt, un dernier challenge rugbystique devrait souvrir à lui
Vous repartirez donc du Béarn avec un Béarnais et une Béarnaise, que vous avez conçu ici. Après huit saisons à Pau, on ne peut plus vous appeler lAlsacien ?
Si, si ! Je suis arrivé avec ma compagne en 2016, et le chien quelle avait. On a dû leuthanasier le jour du confinement pour abréger ses souffrances. On a pris un nouveau chien, on a eu deux enfants ici, donc au final, on repartira de Pau avec une famille, composée dune Béarnaise, qui a six ans aujourdhui (mercredi, NDLR), dun Béarnais qui a 4 ans, et dun dogue argentin (rires).
Pourquoi laventure paloise sarrête ?
Ma volonté était de finir ma carrière ici. Sébastien Piqueronies a dû faire des choix. Je suis déçu, mais je suis fier dêtre passé par Pau, davoir connu de bonnes années, notamment avec Simon Mannix où on fait cette demi-finale de Challenge et où on se loupe, sur un match, face à Agen, pour la qualif (en 2018). Ensuite, on a connu les années de bateau dans la tempête. Cela nous a forgés. Cétait dur, mais on na jamais lâché. On a porté la responsabilité de ne pas faire descendre le club. Derrière, je suis aussi fier davoir participé au projet de Sébastien Piqueronies. Davoir du temps de jeu, de faire des bonnes perfs, de contribuer à avoir qualifié le club en Challenge et pourquoi pas participer à la première de la Section dans le top 6... Maintenant, ça sarrête, cest comme ça.
Le pressentiez-vous, avez-vous accusé le coup ?
Avec tout le respect jai pour le club, pour Sébastien et pour tout le monde, il a fait son choix. Cest comme ça, il faut le respecter. Jai mis 5 à 10 jours à laccepter. La vie continue, on a une belle fin de saison à vivre. Jai envie, comme Jale (Vatubua), Martin (Puech), et Corat (Corato), qui ne sont pas non plus gardés, de sortir par la grande, voire la très grande porte. On a de belles échéances pour rendre au club ce quil nous a donné, et de rendre fier les supporteurs de notre passage. Fabrice Metz, lors de sa seule sélection avec les Bleus, le 19 juin 2016, à Tucuman en Argentine.
FFRSi je suis resté aussi longtemps, cest que quelque chose me disait quil le fallait
Cest donc ça quon appelle le professionnalisme ?
On na pas de CDI, on signe des CDD. Cela fait partie du jeu. Jai 33 ans, 250 ou 260 feuilles de match en pro, plus de 150 avec Pau. Je pense avoir fait mon temps. Et puis il faut laisser place à une jeunesse qui pousse fort. Je pense évidemment à Hugo Auradou, qui a tout lavenir devant lui. Il y a Émilien (Gailleton), Théo (Attissogbe), et jen oublie plein. Il faut savoir laisser sa place.
Votre profil de joueur quon ne voit pas, de travailleur de lombre, correspond assez bien à la mentalité du coin. Explique-t-il votre longévité à Pau ?
Effectivement, si je suis resté aussi longtemps, cest que quelque chose me disait quil fallait que je reste. Malgré ces saisons très compliquées, les supporteurs ont toujours été là. Ils nous ont toujours portés, ne nous ont jamais craché dessus. De mon côté, je sens quil y a un attachement particulier avec eux. Je leur en suis reconnaissant. Je suis quelquun de sincère, de droit, avec un grand cur. Pendant les années difficiles, quand je me retrouvais à la maison, je me disais souvent « m je ne veux pas faire descendre ce club ». Cest une responsabilité importante. Et là, tu es bien content davoir des messages de supporteurs qui te soutiennent, même via des trucs tout simples. Depuis la cabine de son broyeur, Fabrice Metz déchiquette du bois pour produire des plaquettes forestières.
DR
Quel souvenir le plus précieux conserverez-vous de vos années béarnaises ?
Cest déjà une grande fierté davoir évolué aux côtés de grands noms. Whitelock, Smith, Slade Et puis je garderais en mémoire ces matchs couperets, comme celui face à Montpellier il y a trois ans, quand Matt Philip marque lessai qui nous évite le barrage. Cétait un soulagement de dingue. Il y a aussi ce 31 décembre 2016 qui ma beaucoup marqué, toujours face à Montpellier. La LNR inaugure son hymne qui est sifflé par le public palois avant quil ne reprenne la Honhada par-dessus. On était alignés, sur le terrain, en blazer. Cétait un moment très fort.https://www.dailymot...m/video/x56yl86
Ce nest pas forcément quelque chose que je mets en avant, mais jai ma sélection avec le XV de France
Quid du pire souvenir ?
Le match où on gagne à Castres (27-29, le 3 mars 2018) pendant lequel je me blesse à la cheville. Cela entraîne une opération qui mempêche de disputer la demi-finale de Challenge européen face à Cardiff (défaite 16-10) et ce fameux match pour la qualif quon perd au Hameau face à Agen (22-33). Quant aux Castrais, cette défaite leur met une petite claque. Derrière, ils ne perdent plus un match jusquà ce titre de champion de France.
Quel est le coéquipier qui vous aura le plus impressionné ?
Daniel Ramsay. Ce nétait pas le plus fou physiquement. Mais il avait des lignes de course balle en mains Cétait un magicien. Un mec simple, que jadore, on déconnait tout le temps ensemble.
Et puis il y a ces 4 minutes que vous avez joué en équipe de France (entré lors de la tournée de en juin 2016 face à lArgentine à la 76e à la place de William Demotte)
Cest juste avant que jarrive à Pau. Cest déjà très bien den avoir une. Que ce soit 4, 5 ou 6 minutes. Ce nest pas forcément quelque chose que je mets en avant, mais jai ma sélection avec le XV de France. Jai au moins vécu ce que cétait, jen ai profité au maximum. Seul caprice de star auquel Fabrice Metz a cédé : une Ford Mustang rouge quil bichonne !
DR
Dun point de vue personnel, familial, appréhendez-vous de quitter le Béarn après y avoir passé huit saisons ?
Je vis linstant présent au maximum. Pour le reste, on ne la toujours pas dit à nos enfants de 6 et 4 ans. On veut les préserver de ça. Comme rien nest fait à 100 % concernant mon avenir, je nai pas envie de leur parler de choses qui ne sont pas concrètes.
Donc lidée, cest de continuer
Il y a des discussions plus ou moins avancées avec certains clubs de Top 14 et de Pro D2. Les discussions sont sérieuses et je veux continuer le rugby. Je me vois bien poursuivre 2 ou 3 ans. Je suis bien, pas fatigué, ni trop cassé de partout.
Vous avez entamé votre reconversion dès 25 ans en créant votre entreprise Metz bois énergies. Quelle est sa vocation ?
On fait de la prestation de déchiquetage de bois pour la production de plaquettes forestières. Et à côté de ça, on fait du négoce de bois et de pellet. Jai deux employés, un en Alsace et un ici. Ce job menlève une forme de pression. Quand on ma annoncé quon ne comptait plus sur moi, jai mis cinq ou dix jours à le digérer. Mais je me suis dit que si ça devait sarrêter, jaurais de quoi moccuper. Cela a été beaucoup plus facile à accepter. Cest pour ça que je nen veux pas à Sébastien Piqueronies. Il a des choix à faire, jai aussi des décisions à prendre, à lavantage ou au détriment de mes salariés. Mais à un moment, il y a une réalité que tu dois gérer. Fabrice Metz avec son dogue plus Béarnais quArgentin.
DR
Avez-vous hâte de vivre pleinement votre vie de chef dentreprise ?
Jaimerais profiter jusquà la dernière minute de temps de jeu quon me donnera. En ce moment, jaime cet équilibre. Et puis jai toujours cette flamme. Jai dit à mes enfants et à ma femme que jaimerais terminer ma carrière en beauté. Je ne sais pas comment, ni avec qui, mais pourquoi pas en aidant un club de Pro D2 à monter, ou autre chose Plusieurs projets se présentent moi, je suis en pleine réflexion. Je suis content de ma carrière, mais à part un titre de champion de France espoirs avec le Racing et Patrice Collazo, je nai rien dautre (rire).
Ensuite, il sera forcément temps de rentrer en Alsace, vous qui y êtes très attaché
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Détrompez-vous ! On a acheté une maison à Nousty quon mettra en location. En Alsace, mon entreprise se développe très bien. Jai même embauché mon frère Sébastien là-bas (les trois frères Metz travaillent ensemble, NDLR). Et ici, ça continue à se développer on se pose donc la question avec madame.
Posted 22 March 2024 - 21:40 PM
Ça sent le recrutement de l'ASM pour remplacer lavanini
ça m'etonnerait qu'Urios aille à la Metz
je l'ai posté parce que ce mec a des valeurs, quitte un club contre son gré sans le dénigrer et en plus il aime ...Ford
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