Adolf H (sinistre trou du cul)
Pas de politique sur le forum.
Posté 14 avril 2024 - 12:37
Adolf H (sinistre trou du cul)
Pas de politique sur le forum.
Posté 14 avril 2024 - 14:50
Pas de politique sur le forum.
Posté 15 avril 2024 - 07:42
Déplacement à Castres après 2 déplacements compliqués en Europe.
A mon avis on va faire tourner avec ce qu'il nous reste comme joueurs pas blessés.
Kaddourri - Lespiaucq - Sclavi (Penverne-Latu-Kuntelia)
Lavault - Piquette (Dilane)
boudehent-Tanga-Haddad (Cancoriet)
Irribaren - Reus (Zamora-Hastoy)
Rhule - Favre - Seuteni - Thomas (Nowell)
West
Posté 15 avril 2024 - 08:16
Attention à la descente, vous n'avez que 13 points d'avance sur Montpellier.
Posté 15 avril 2024 - 09:07
Que notre victoire à domicile !
Heyyyy sois sympa on en a plus besoin que vous!
Au pire du pire, vous pouvez toujours essayer de vous rattraper au Michelin
Posté 15 avril 2024 - 10:36
Heyyyy sois sympa on en a plus besoin que vous!
Au pire du pire, vous pouvez toujours essayer de vous rattraper au Michelin
Oui mais c'est tellement bien d'être premiers ! On est même les seuls à montrer nos fesses roses au Stade Toulouzaingue !
Posté 15 avril 2024 - 11:16
Oui mais c'est tellement bien d'être premiers ! On est même les seuls à montrer nos fesses roses au Stade Toulouzaingue !
Posté 18 avril 2024 - 13:22
Daaaaaans notre cher petit seizième il est une peña !
La peña se garer
Ils collent fièrement partout leurs tickets d'stationnement !
Même sur les Maréchaux on en prend plein les dents !
C'est la les agents en bleu pervenche
qui ont leur revanche
Ils sont aigris et gras d'avoir raté leur bac
Et si vous contestez ils appellent la BAC
Et la peña criera sa joie sur cet air-là
Allez allez, les tocards et les nuls et leurs PVs
C'est la peña la peña à se garer
On applaudit on casquera, et on y croit ! etc.
Posté 18 avril 2024 - 18:05
Daaaaaans notre cher petit seizième il est une peña !
La peña se garer
Ils collent fièrement partout leurs tickets d'stationnement !
Même sur les Maréchaux on en prend plein les dents !
C'est la les agents en bleu pervenche
qui ont leur revanche
Ils sont aigris et gras d'avoir raté leur bac
Et si vous contestez ils appellent la BAC
Et la peña criera sa joie sur cet air-là
Allez allez, les tocards et les nuls et leurs PVs
C'est la peña la peña à se garer
On applaudit on casquera, et on y croit ! etc.
Plus besoin de la pervenche
qui sournoisement vous met un manche
La caméra
vous le mettra
Aaaaaaaaaah c'que c'est triiiiii-iiiiiiiiiiisssteu
Posté 19 avril 2024 - 23:15
C'est une formule que Sébastien Piquéronies, manageur de la Section paloise lâche régulièrement, mi-sérieux, mi-amusé : « Aux journalistes de Canal +, je dis qu'ils sont en train de créer un thriller passionnant où un jour, à la 25e journée, on jouera le Top 6 ou la descente ! » On est à la 20e journée et le suspense est là : entre l'UBB, sixième, et Lyon, 12e, il n'y a que 7 points !
Perpignan, longtemps promis au barrage, est aussi proche du Top 6, à 5 points, que de la 13e place, à 6 ! Des clubs regardent devant tout en gardant un oeil dans le rétro, les autres s'inquiètent de ce qui se passe en dessous tout en rêvant de se glisser in fine dans les 6 premiers. Parfois les mêmes d'une semaine sur l'autre en fonction des résultats de la journée. Strabisme assuré.
« Il n'y a aucun ventre mou. Tout le monde calcule tout le monde »
Christophe Laussucq, entraîneur de la défense de l'UBB
« Dix ou onze équipes annoncent en début de saison jouer la qualification, assure Christophe Laussucq, l'entraîneur de la défense de l'UBB. La formule de ce championnat est excitante avec des enjeux à tous les niveaux : les deux premières places, l'enjeu pour recevoir en barrage, l'enjeu Champions Cup etc. Il n'y a aucun ventre mou. Tout le monde calcule tout le monde ».
Pour Yann Roubert, le président du LOU, en lutte pour le maintien : « Tous les clubs sont capables de tout. L'an dernier, on est 7e avant la dernière journée et on finit 3e. Il y a deux saisons on peut terminer dans les 6 en battant la Rochelle à la dernière journée mais on perd et on finit neuvième hors des places qualificatives pour la Coupe des Champions ! »
Pour les acteurs du Top 14, la raison première de cette homogénéité, c'est le salary Cap : « C'est le facteur déterminant, considère Roubert. Le salary cap nivelle par le haut. Cela exacerbe le niveau de la compétition et la compétitivité des clubs. Les différences de masse salariale c'est entre 7 et 12 millions d'euros en Top 14, en foot, ce doit être de 1 à 100 ».
Et comme le précise Philippe Saint-André, l'ancien manager du MHR : « Sur les 14 clubs, il doit y en avoir dix ou onze qui sont au maximum de ce qu'ils peuvent dépenser en salaires. D'où une gestion complexe. Tu ne peux pas payer trop un joueur sinon tu dois te limiter en effectif, or il faut du banc pour ce championnat ».
Christophe Laussucq se souvient d'une période où les pronostics étaient plus simples : « Trois clubs, Toulouse, Stade Français et Biarritz, attiraient tous les "gros" joueurs et se partageaient les titres (tous entre 1996 et 2008). Aujourd'hui tout le monde est compétitif sur la ligne de départ. »
« Le salary cap nécessite d'investir sur des jeunes à gros potentiel, explique l'ancien sélectionneur des Bleus Philippe Saint-André. La règle des Jiffs (ndlr : qui oblige les clubs à aligner en moyenne au moins seize joueurs issus des filières de formation) est positive pour le rugby français avec des moins de 20 ans champions du monde, de jeunes joueurs qui entrent très tôt dans les rotations en club. Ça oblige les clubs à travailler la formation, à développer leurs centres. »
Christophe Laussucq poursuit : « Si le salary cap bouge peu, les budgets des clubs ont eux beaucoup augmenté pour investir ailleurs que sur la masse salariale qui avant devait représenter 75 % du budget. Il y a plus d'argent à répartir sur les installations, les structures, les staffs etc. » Et le rugby français profite de l'éclosion des Depoortère, Gailleton, Bielle-Biarrey, Tuilagi, Auradou etc, une génération révélée ces derniers mois.
Aux jeunes issus de la formation, aux joueurs de club, « Il y a aussi des étrangers qui apportent une plus-value mais c'est six ou sept maxi par feuille de match », précise Philippe Saint-André. Des joueurs top classe britanniques sont venus trouver refuge en France vu les difficultés économiques outre-Manche : Siya Kolisi et bientôt Owen Farrell au Racing, Sam Whitelock à Pau, Courtney Lawes à Brive en Pro D2.
Une Pro D2 où des clubs émergents et ambitieux comme Vannes, Provence, Nevers rejoignent les prétendants habituels. « Quand on voit que le rugby anglais peine à avoir dix clubs pros, nous, on en a trente qui tiennent la route, s'enthousiasme Piquéronies. Dans chaque club, il y a des dirigeants compétents, des moyens, des infrastructures, des staffs cohérents, des projets structurés sur le moyen ou le long terme. Il y a tous les ingrédients qui font que par ruissellement c'est très condensé ».
Chaque année, les doublons jouent les perturbateurs. Et cette saison, avec la Coupe du monde, il y a même eu double ration. La Rochelle, privée de ses gros porteurs et 12e après cinq journées, en a souffert. Durant le Tournoi, c'est le Racing (4 points pris sur la période de six matches), Toulon ou l'UBB (9 points) qui ont tiré la langue.
« Aucun club n'arrive à faire dix mois d'affilée au top et en même temps le moindre point compte »
Sébastien Piquéronies, manageur de la Section paloise
« On ne va pas se plaindre d'avoir des internationaux mais ce n'est pas simple à gérer même si Toulouse, avec son effectif et son expérience sait faire, reconnaît Christophe Laussucq. Les internationaux auront fait quasi douze mois non-stop entre le début de la préparation de la Coupe du monde jusqu'à la phase finale. Même s'il y a des petites semaines de repos, c'est très éprouvant et on tire sur la corde ». Avec le risque qu'elle lâche.
Les doublons ont rebattu les cartes : le Stade Français, peu impacté par les absents, a conforté son avance, l'UBB, Toulon, le Racing ont perdu la leur, le MHR largué a recollé (21 points pris), tout s'est resserré.
Enfin, il y a ce Top 14 qu'on assimile à un marathon. « Le rugby est un sport de fraîcheur et de lien entre les hommes, rappelle le manageur de la Section paloise. Aucun club n'arrive à faire dix mois d'affilée au top et en même temps le moindre point compte. Il y a des sautes de compétitivité dans tous les clubs, y compris les gros. Partout ça travaille bien pour gérer les effectifs mais il suffit qu'il y ait des sélectionnés, des blessés et tu te retrouves à subir ».
Comme le LOU qui a compté jusqu'à vingt blessés au coeur de l'hiver, dont la plupart des joueurs importants de l'effectif.
Philippe Saint-André le sait. Quand son MHR a été sacré il y a deux ans, il était allé au bout avec un « effectif pratiquement à 100 % si ce n'est les blessures de Willemse et Reinach. Le Top 14, c'est un mangeur d'hommes qui pompe toute ton énergie ».
Une épreuve pour les acteurs, un régal pour les suiveurs. « Tous les clubs travaillent bien, conclut Yann Roubert. C'est nécessaire mais pas suffisant. C'est comme avoir un ou plusieurs facteurs X dans son équipe, c'est nécessaire mais pas suffisant. Dans le Top 14, on peut cocher beaucoup de cases, ça n'offre pas une garantie 100 %. »
Posté 20 avril 2024 - 13:52
Posté 20 avril 2024 - 14:12
Posté 20 avril 2024 - 14:13
Posté 20 avril 2024 - 14:13
Bon keskibranlent les Rochelais !
Posté 20 avril 2024 - 14:27
il y est pas.
LoL
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