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[el landeno]

Vers la généralisation du carton rouge allégé à 20 minutes

 

L'arbitre Wayne Barnes en action. (F. Porcu/L'Équipe)

World Rugby a annoncé mardi avoir franchi une étape pour l'adoption de plusieurs nouvelles règles dont le carton rouge allégé à 20 minutes.

Avec AFPpublié le 8 octobre 2024 à 18h08

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Testées depuis plusieurs mois dans différentes compétitions comme le Rubgy Championship, le Women XV ou la Pacific Nations Cup, plusieurs nouvelles règles pourraient prochainement être adoptées par World Rugby. L'instance a indiqué ce mardi dans un communiqué avoir franchi une nouvelle étape vers leur adoption.

 

 

Rendez-vous le 14 novembre

Validées par le comité exécutif de World Rugby, ces règles pourraient être adoptées mondialement en cas d'approbation lors du conseil de l'instance, le 14 novembre prochain. « Les changements proposés (...) sont conçus pour améliorer l'expérience des spectateurs et des joueurs en favorisant un jeu plus rapide, en réduisant les arrêts de jeu », est-il précisé dans le communiqué.

Parmi ces nouvelles règles souhaitées par World Rugby, la plus notable est celle du carton rouge allégé : un joueur exclu ne pourrait toujours plus revenir sur la pelouse, mais pourrait être remplacé après 20 minutes, permettant à ses partenaires de ne plus finir la rencontre à 14.

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D'autres règles sont également concernées : une limite de 30 secondes pour jouer les mêlées et les touches afin de les accélérer, la possibilité de faire un arrêt de volée dans ses 22 mètres sur les renvois, l'obligation de jouer le ballon dès le premier arrêt d'un maul et non plus le second, ou encore la possibilité de laisser le jeu se poursuivre si un lancer en touche n'est pas droit, tant que l'équipe adverse n'a pas contesté en l'air. World Rugby souhaiterait également limiter à 60 secondes le temps pour taper une transformation après un essai, pour l'aligner sur celui d'une pénalité.

 

 

Par ailleurs, le comité exécutif a également validé un protocole élargi pour les arbitres vidéo, qui pourraient se voir confier plus de pouvoir pour intervenir en cas de fautes avant une action de marque.

 

 

[el landeno]

Vous pouvez vous lacher 

 

Journées de l'arbitrage : Castres récompensé

 

(F. Lancelot/L'Équipe)

Le Castres Olympique a été récompensé ce mardi lors des Trophées de l'arbitrage pour son initiative « École d'arbitrage ». Une première pour un club professionnel.

publié le 8 octobre 2024 à 16h08

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Ce mardi, une cérémonie des Trophées de l'arbitrage était organisée à Paris, dans le cadre des Journées de l'arbitrage La Poste. Castres a été récompensé à cette occasion, une première pour un club professionnel. Le CO a reçu un trophée pour son initiative « École d'arbitrage », créé en 2019, dont l'objectif est de former de meilleurs joueurs et futurs arbitres.

 

 

« Avec le CO et nos clubs partenaires, nous permettons à des joueurs de basculer vers l'arbitrage ou de mener un double projet, joueur et arbitre », explique Yoan Bailly, responsable de ce programme et de l'école de rugby du Castres Olympique.

 

 

[Buckaroo]

« Avec le CO et nos clubs partenaires, nous permettons à des joueurs de basculer vers l'arbitrage ou de mener un double projet, joueur et arbitre », explique Yoan Bailly, responsable de ce programme et de l'école de rugby du Castres Olympique.

 

Cette double casquette joueur/arbitre, c'est bien ce qu'on voit depuis des années avec des joueurs comme Kockott, Urda, Babillot, etc.

 

[Parigot_Paris]

Ben moi j'ai Cayre au sifflet dimanche et Trainini à la vidéo ! Grand luxe ! Les deux meilleurs !

 

 

Oooooooh on aura aucune excuse !

[Alex chocolatines]

Ben moi j'ai Cayre au sifflet dimanche et Trainini à la vidéo ! Grand luxe ! Les deux meilleurs !

 

 

Oooooooh on aura aucune excuse !

Et Monsieur Brousset, tu l'aimes ? 

[frednirom]

pour des raisons de Karma évidentes (le rct devait gagner) ce soir on va prendre très très chère à Toulouse . Préparez vous.

[Joueur de golf]

Et Monsieur Brousset, tu l'aimes ? 

Pour l’oscar du plus mauvais arbitre du top14, je pensais Charabas hors de portée, mais Ramos est en train de revenir du diable vauvert …

[steph]

Pour loscar du plus mauvais arbitre du top14, je pensais Charabas hors de portée, mais Ramos est en train de revenir du diable vauvert

Charabas, ce n'est pas tant qu'il soit mauvais qui fait qu'on ne l'aime pas, c'est plus qu'il fait peur. Entre ses jambes thrombosées et la tête à l'oncle Fester, faut pas que les enfants l'apercoivent avant d'aller au lit.

[musky]

Charabas, ce n'est pas tant qu'il soit mauvais qui fait qu'on ne l'aime pas, c'est plus qu'il fait peur. Entre ses jambes thrombosées et la tête à l'oncle Fenster, faut pas que les enfants l'apercoivent avant d'aller au lit.

Tu oublies la voix de Maïté 😇

[el landeno]

« Il n'y a pas nécessité à ce que tous les arbitres soient pros à temps plein » estime Mathieu Raynal, co-manager des arbitres de haut niveau en France Co-manager des arbitres de haut niveau, Mathieu Raynal évoque la professionnalisation de l'arbitrage français et l'influence positive des staffs de Top 14 dans la fluidité du jeu et l'assimilation des nouvelles règles.

 

 

Les mots sont choisis avec précision, l'accent catalan chantant. Joint au téléphone, l'ancien arbitre international Mathieu Raynal, 43 ans, qui manage désormais en duo avec son alter-ego Romain Poite les arbitres français de haut niveau, fait le point après six journées de Top 14 et effectue aussi un large tour d'horizon.

 

 

« En binôme avec Romain Poite, vous occupez la fonction de manager des arbitres de haut niveau depuis cette saison. Quelles sont vos premières impressions ?
Beaucoup d'enthousiasme, d'énergie et de travail. On aura besoin de temps mais sur ces cent premiers jours, nous avons ouvert beaucoup de chantiers. Dont deux prioritaires à nos yeux : structurer l'arbitrage de haut niveau en mettant beaucoup de ressources humaine et technique autour de nos arbitres dans le but de les faire, à terme, monter en compétence. Et ensuite connecter l'arbitrage à tout l'écosystème du rugby. On a commencé au stage de Loudenvielle (Hautes-Pyrénées) en y invitant les coachs de Top 14 et Pro D2. On va poursuivre en novembre en réunissant les entraîneurs des mêlées de chaque équipe, avec le staff de l'équipe de France, afin de co-construire de façon lisible les observables que nous allons utiliser pour arbitrer cette phase de jeu. Si ça fonctionne bien, on le fera dans d'autres secteurs aussi.

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Quelle ouverture avez-vous à l'international ?
Nous voulons entretenir des relations très étroites avec World rugby et les autres pays. Nous avons bien avancé puisque nous allons envoyer un arbitre français en MLR (Major League Rugby), dans le Championnat nord-américain, et nous recevrons un arbitre américain. Sur la journée du 2 novembre, un Australien et un Argentin vont arbitrer en Top 14. Quand ils iront sur le Rugby Championship, nos arbitres seront aussi amenés à diriger des rencontres en Australie et en Argentine. Idem avec l'Irlande et la Géorgie. Nous avons adhéré au programme d'échanges pour le développement des nations émergentes, en accueillant des arbitres qui dirigeront des rencontres de Nationale. Et puis Romain et moi avons intégré l'EPCR (European professionnal club rugby, l'organisateur des compétitions européennes de clubs), au titre de sélectionneurs des arbitres européens.

« On peut raisonnablement penser que dans les années à venir, nos arbitres qui font la Champions Cup et seront pris sur le circuit international World Rugby seront concernés pour passer à plein temps »

Mathieu Raynal

 

 

 

 

 

Combien y a-t-il d'arbitres de rugby professionnels en France ?
Dans le plan de haute performance mis en place par la FFR et le LNR, nous avons trente et un arbitres sous contrat, mais à des degrés différents. Beaucoup ont une journée et demie déchargée sur la semaine. D'autres deux jours et demi, et d'autres sont à temps plein, comme par exemple Pierre Brousset qui est arbitre international. On peut raisonnablement penser que dans les années à venir, nos arbitres qui feront la Champions Cup et seront pris sur le circuit international World Rugby seront concernés pour passer à plein temps.

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Aujourd'hui, le semi-amateurisme de la quasi-totalité des arbitres français qui officie en Top 14 n'est-il pas un frein à la performance, face à des joueurs et des staffs qui, eux, sont professionnels ?
Il n'y a pas nécessité à ce que tous les arbitres soient pros à temps plein. Bien sûr que nous aimerions avoir nos arbitres davantage à disposition, mais je ne suis pas convaincu qu'avoir 31 arbitres pros à temps plein soit nécessaire, notamment pour ceux qui n'officient qu'en France. Un temps partiel est suffisant, pour l'instant. Par contre, pour que nos arbitres internationaux puissent performer au plus haut niveau, le temps plein sera obligatoire compte tenu des réunions, des déplacements, du calendrier, de la répétition des matches.

« Se nourrir les uns des autres, reconnaître nos erreurs, mettre l'accent sur les actions qui auraient pu être sanctionnées mais qui ne l'ont pas été doit permettre à chacun d'évoluer »

Mathieu Raynal

 

 

 

Vous avez mis en place une plateforme d'échanges dédiée aux arbitres. Pouvez-vous nous préciser son fonctionnement ?
Les clubs ont un espace dédié sur cette plateforme qui est un espace d'échange entre le club et l'équipe d'arbitres qui officie sur leur match. Chacun peut y déposer des clips avant ou après le match pour échanger sur des points techniques. Avant le match, ça permet à tous d'anticiper des situations qui pourraient être problématiques, et après le match, c'est un débriefing nécessaire pour échanger sur ce qui a fonctionné et ce qu'on doit améliorer. Se nourrir les uns des autres, reconnaître nos erreurs, mettre l'accent sur les actions qui auraient pu être sanctionnées mais qui ne l'ont pas été doit permettre à chacun d'évoluer.

Sert-elle aussi aux arbitres ?
Oui, c'est là-dessus que se fait l'analyse des quinze matches du week-end. Toutes les décisions ou commentaires sont étayés par des clips vidéo. L'arbitre et son équipe y rajoutent les clips des non-décisions ou erreurs qu'ils ont pu commettre. Ensuite, nous faisons notre propre retour, en ajoutant des commentaires ou en qualifiant chaque clip de précis, non précis, erreur, non-décision... Ces rapports sont ouverts à tous les arbitres. Ils peuvent ainsi se nourrir des bonnes décisions mais aussi des erreurs des autres.

 

Mathieu Raynal la saison dernière, lors de Stade Français - Clermont (14-14, le 6 janvier). (E. Garnier/L'Équipe)

Cette idée, vous l'avez inventée ou vous vous êtes inspirés d'un modèle existant ?
Nous nous sommes inspirés de ce qui se fait au niveau international et nous avons fait développer cet outil. Il nous permet d'avoir une banque de données et des statistiques pour travailler, débriefer et évaluer les performances de la façon la plus objective possible. Nous essayons d'inculquer à nos arbitres le même degré de rigueur et d'exigence que celui des staffs de club pro envers leurs joueurs.

« Dans le monde actuel, on ne peut pas s'affranchir des images »

Mathieu Raynal

 

 

 

Ça nous ramène toujours à la professionnalisation des meilleurs arbitres français, non ?
Nos internationaux le sont et les autres le sont partiellement. Ce qui est déjà une avancée considérable. Et puis nous n'avons pas le budget. Et puis si nous l'avions se poserait la question de l'utilité d'une telle mesure. Où devrait-on s'arrêter ? Doit-on professionnaliser à plein temps aussi les arbitres de touche, les arbitres vidéo ?

Ça ne vous gêne pas que les entraîneurs aient en direct sur les matches des adjoints dédiés à l'arbitrage ?
Dans le monde actuel, on ne peut pas s'affranchir des images. Les entraîneurs ont depuis longtemps accès aux images, avec des analystes vidéo auxquels ils sont reliés par casque audio. Ils savent très bien ce qui se passe dans l'instant. Mais ça ne change rien à la manière dont nous abordons l'arbitrage. À ce niveau-là, nos arbitres sont capables d'absorber ce contexte et d'en faire abstraction pour se référer uniquement aux procédures que nous mettons en place.

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Les nouvelles règles ont-elles été bien intégrées après six journées ?
Nous sommes agréablement surpris par la rigueur que les équipes mettent sur le jeu au sol et les points d'ancrage sur rucks. Ça favorise les contre-rucks et facilite l'arbitrage. Pareil avec la défense sur les ballons portés. Quant aux hors-jeu, les joueurs font beaucoup d'efforts de repli.

Avez-vous spécifié aux arbitres de faire moins appel à la vidéo, pour qu'elle ne soit utilisée que pour les cas importants ?
Pas du tout. De par le peu de moyens technologiques dont nous disposons avec simplement l'écran en direct et l'écran différé de cinq secondes, on demande qu'en cas de doute, ils prennent le temps nécessaire pour contrôler, surtout sur le jeu déloyal et les situations d'essai.

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Quelle est la part de l'arbitrage vidéo dans un match ?
Il est très faible. Des statistiques concernant le temps perdu durant un match international étaient sorties. Sur ce match à trente-six minutes de temps de jeu effectif, on avait perdu dix-huit minutes à attendre la mise en place des mêlées, douze pour les blessures et les remplacements, dix pour les tentatives de pénalité et de transformation, dix minutes pour qu'une touche se joue et quatre minutes pour les appels vidéo. Vous voyez bien que ce n'est pas le plus chronophage... »

 

L'arbitrage français fait front commun contre le carton rouge synonyme d'exclusion temporaire de vingt minutes La LNR, la FFR et Provale sont contre l'expérimentation voulue par World Rugby d'un carton rouge de vingt minutes. La DTN de l'arbitrage français a rendu, elle aussi, un avis défavorable.

Depuis 1848, les règles du jeu de rugby n'ont jamais cessé d'évoluer et de changer. C'est d'ailleurs la principale caractéristique de la discipline : plus de cent cinquante modifications ont transformé ce jeu. Ne reste plus du football-rugby originel que le « marque ». Dernier avatar, le carton rouge à deux vitesses.

 

 

Le carton rouge, actuellement en place et qui signifie expulsion définitive, demeure, mais dans le cas d'une réduction à vingt minutes pour circonstances atténuantes, le joueur sanctionné ne pourra pas revenir en jeu et sera remplacé par un autre joueur.

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Ce nouveau barème de sanction est poussé par l'hémisphère sud et certaines nations de l'hémisphère nord. En France, il fait l'unanimité contre lui. Abdelatif Benazzi, vice-président de la FFR et candidat à la prochaine élection à la présidence de World Rugby, la 14 novembre, apporte une précision en préambule : « Cette proposition n'est qu'une expérimentation. Elle est loin d'être adoptée. Surtout, elle est voulue par les Néo-Zélandais. Depuis la finale de Coupe du monde 2023 perdue face à l'Afrique du Sud (11-12, carton rouge contre Sam Cane à la 29e minute), ils sont amers. Pour autant, nous leur avons démontré, statistiques à l'appui récoltées sur quatre ans, que 44 % des équipes réduites à quatorze remportent leur match. Nous avons soumis des arguments et j'espère qu'ils seront entendus. »

« Nous ferons tout pour que cette règle ne passe pas »

Abdelatif Benazzi

 

 

 

 

 

Pour autant, l'opinion de l'ancien capitaine tricolore est tranchée : « Nous ferons tout pour que cette règle ne passe pas. L'Irlande et l'Italie sont avec nous. Il y aura un vote, avec 52 voix, mais si jamais elle passe, nous serons obligés de l'appliquer au niveau professionnel. En revanche, il n'y aura pas d'obligation au niveau amateur. »

En France, la direction technique de l'arbitrage a rendu un avis commun, avec la FFR. Mais quel impact aura-t-il ? « Nous pensons qu'amoindrir le pouvoir de sanction face à un jeu déloyal peut être contre-productif pour le développement du rugby, regrette Mathieu Raynal, l'un des deux patrons de l'arbitrage français. Nous pensons qu'il est plus lisible de laisser le carton rouge tel qu'il est. L'exclusion définitive à la suite d'un carton rouge pour sanctionner un joueur sur un jeu déloyal est un marqueur fort de ce que notre sport n'accepte pas pour protéger ceux qui le pratiquent. Nous souhaitons conserver cela. »

« Il faut aller dans le sens de la simplification plutôt que de la complexification »

Philippe Bonhoure, arbitre vidéo

 

 

 

Pour Philippe Bonhoure, ancien arrière biterrois désormais arbitre vidéo : « Il faut aller dans le sens de la simplification plutôt que la complexification. Soyons fermes sur les actes dangereux, les actes violents intentionnels. Il faut les sanctionner sévèrement plutôt que de chercher des circonstances atténuantes. »

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Les tenants du carton rouge à double détente pensent qu'une exclusion définitive est une décision trop importante pour être mise entre les mains d'un seul homme, que c'est aussi une façon d'atténuer une potentielle erreur sur une exclusion définitive. Reste que puis les années 2000, l'arbitre de champ est chaque saison entouré de davantage de précautions, jusqu'au fameux bunker, inauguré en 2023, façon à peine déguisée de repousser la responsabilité de l'arbitre de champ vers d'autres décideurs.

 

[l'ours des tavernes]

[TH69]

Perso je trouve que l'arbitrage au rugby est globalement bon (ce qui n'évite pas les conneries par moment). Les arbitres sont corrects, clairs, respectés et l'utilisation de la video est pour moi bien gérée (en général sur tous ces points).Ils sont bien aidés par le respect des joueurs et l'absence de simulation.

Par comparaison sur ce point, l'arbitrage au foot est pour moi une catastrophe (et j'adore le foot)... Je pense que 3 fautes sur 4 n'y sont pas, la gestion de la VAR est nulle, les penaltys c'est une vaste blague. Les arbitres sont trop autoritaires, ne sont pas respectés. Les joueurs, presse et dirigeants sont insupportables sur leurs rapports avec l'arbitrage. Les simulations c'est une calamité. (il y a bien sur des exceptions à tout cela)

Voila... J'avais envie de parler cela.

Bon par contre la gestion du calendrier et l'absence de doublons sont un point très fort au foot (mais sport moins exigeant que le rugby ce qui facilite les choses)

Voilà... Voilà

[Le gaulois 63]

L’arbitrage en rugby est tellement compliqué, et l’arbitre est obligé de choisir les fautes qu’il siffle sinon yaurai 100 pénalités par match, Il est donc assez facile pour un supporter de rugby de penser que l’arbitre est contre son équipe, en tant que supporter on voit surtout les fautes non sifflées pour nos joueurs. Alors que dans le sens inverse les supporters des autres clubs eux se concentrent sur les fautes que l’arbitre aurait du siffler pour eux.

[InASMWeTrust]

Larbitrage en rugby est tellement compliqué, et larbitre et obligé de choisir les fautes quil siffle sinon yaurai 100 pénalités par match, Il est donc assez facile pour un supporter de rugby de penser que larbitre est contre son équipe, en tant que supporter on voit surtout les fautes non sifflées pour nos joueurs. Alors que dans le sens inverse les supporters des autres clubs eux se concentrent sur les fautes que larbitre aurait du siffler pour eux.

Et je continue à dire qu'en dominant et surtout en jouant vite et enchainant, tu mets plus facilement et plus clairement l'adversaire a la faute, et donc tu crées des fautes faciles à siffler pour l'arbitre. En jouant lentement et en faisant trop de passages au sol, tu te mets en danger et tu rends les décisions plus dures et plus aléatoires.

[gregouarrrr]

Moi je ne supporte pas Qu on puisse passer une vidéo 10, 15 ou 20 fois pour se faire un jugement... Ça me gonfle