519 réponses à ce sujet

[Codorplusàvie]

Payer très correctement nos dirigeants politiques afin qu'ils ne soient pas tentés de piquer dans la caisse fût-il une bonne solution ?
Pas pour, tous bien entendu.

[frednirom]

vaste sujet , je préfère qu'ils se servent de la ruse pour se retribuer grassement (comme je le fait ici en ma qualité de simple modo) sans se faire prendre ou des années après , ça veut dire qu'ils sont brillants. 

[Y&B]

Ca c'est la grande excuse de tous les mecs qui critiquent l'arbitrage globalement. Même si j'entends l'argument, vous pensez que ça empêchera les mecs de critiquer l'arbitrage s'il devient professionnel ? Bien sûr que non, ça ne changera absolument rien.
 
Puis pour le coup vu l'argument que sort Spitzer je vois pas ce que ça aurait changé si l'arbitre était pro. Il dit qu'ils sont sous influence du diffuseur. Tu peux être pro et sous influence donc bon..

Je suis d’accord que ce n’est pas le même niveau , mais regarde la NFL : jamais de discussions ou de litiges !
Bon il y a 7 arbitres sur le terrain avec le head referee qui a la décision finale ( plus une armée de mecs à la vidéo qui n’est demandée que sur challenge) . Les gars sont pros de chez pros, ils touchent en moyenne 120 000 $ par an entièrement pris en charge par la ligue.
Sans aller jusque là tu peux responsabiliser un peu plus les juges de touches dont on se demande souvent à quoi ils servent pour arriver à un vrai arbitrage à 3, tu professionnalises tout ce petit monde tant au niveau des déplacements que des hébergements et tu crées une vraie commission d’arbitrage qui se réunit tous les lundi pour analyser les matches du week end.
Faut chiffrer tout ça et pour financer tu diminues le nombre d’invitations de pique assiettes aux matches internationaux, aux banquets de la ligue et aux congrès de ci ou de ça.
Faut juste savoir ce qu’on veut !

[Silhouette]

Je suis d’accord que ce n’est pas le même niveau , mais regarde la NFL : jamais de discussions ou de litiges !
Bon il y a 7 arbitres sur le terrain avec le head referee qui a la décision finale ( plus une armée de mecs à la vidéo qui n’est demandée que sur challenge) . Les gars sont pros de chez pros, ils touchent en moyenne 120 000 $ par an entièrement pris en charge par la ligue.
Sans aller jusque là tu peux responsabiliser un peu plus les juges de touches dont on se demande souvent à quoi ils servent pour arriver à un vrai arbitrage à 3, tu professionnalises tout ce petit monde tant au niveau des déplacements que des hébergements et tu crées une vraie commission d’arbitrage qui se réunit tous les lundi pour analyser les matches du week end.
Faut chiffrer tout ça et pour financer tu diminues le nombre d’invitations de pique assiettes aux matches internationaux, aux banquets de la ligue et aux congrès de ci ou de ça.
Faut juste savoir ce qu’on veut !

 

Je sais pas si c'est de l'ironie, mais il n'y a pas plus de discussion sur les arbitres qu'en NFL je crois (ou peut-etre encore pire en NBA, mais la aussi ils sont pro). Donc malheureusement, la ou je pense que plus d'arbitre pros en rugby et specifiquement dans le Top14 aideraient a s'approcher des standard internationaux en terme de style d'arbitrage et constance entre matchs / equipes / arbitres, je pense pas que ca arretera les commentaires ou les plaintes 

[Alex chocolatines]

 

Je sais pas si c'est de l'ironie, mais il n'y a pas plus de discussion sur les arbitres qu'en NFL je crois (ou peut-etre encore pire en NBA, mais la aussi ils sont pro). Donc malheureusement, la ou je pense que plus d'arbitre pros en rugby et specifiquement dans le Top14 aideraient a s'approcher des standard internationaux en terme de style d'arbitrage et constance entre matchs / equipes / arbitres, je pense pas que ca arretera les commentaires ou les plaintes 

C'est la France cher ami .

Quand tu te fais chopper au radar en excès de vitesse, ou pour un stationnement,  t'essaie toujours de trouver une excuse à la noix pour essayer de rabaisser ou éviter la sanction 

Alors pros ou pas tes arbitres...... je crois bien que ça contestera encore longtemps. 

[Silhouette]

C'est la France cher ami .

Quand tu te fais chopper au radar en excès de vitesse, ou pour un stationnement,  t'essaie toujours de trouver une excuse à la noix pour essayer de rabaisser ou éviter la sanction 

Alors pros ou pas tes arbitres...... je crois bien que ça contestera encore longtemps. 

Pour le coup je pense que c'est aussi le sport de haut-niveau avec 400 cameras qui permettent a tout spectateur / supporter de revoir les actions 50 fois en super slow mo, arret sur image, etc. Parce qu'ici c'est pas la France, et pourtant ca rale sacrement sur les arbitres    (alors que, effectivement, ca rale incroyablement moins dans la vie quotidienne).

[Paolinito]

Je suis d’accord que ce n’est pas le même niveau , mais regarde la NFL : jamais de discussions ou de litiges !
Bon il y a 7 arbitres sur le terrain avec le head referee qui a la décision finale ( plus une armée de mecs à la vidéo qui n’est demandée que sur challenge) . Les gars sont pros de chez pros, ils touchent en moyenne 120 000 $ par an entièrement pris en charge par la ligue.
Sans aller jusque là tu peux responsabiliser un peu plus les juges de touches dont on se demande souvent à quoi ils servent pour arriver à un vrai arbitrage à 3, tu professionnalises tout ce petit monde tant au niveau des déplacements que des hébergements et tu crées une vraie commission d’arbitrage qui se réunit tous les lundi pour analyser les matches du week end.
Faut chiffrer tout ça et pour financer tu diminues le nombre d’invitations de pique assiettes aux matches internationaux, aux banquets de la ligue et aux congrès de ci ou de ça.
Faut juste savoir ce qu’on veut !

 

Ca c'est de la politique pure et dure, et les piques assiettes sont dûment choisis. Impensable que la Fédé ou la Ligue vienne contingenter ce genre de dépenses.

[Arverne03]

vaste sujet , je préfère qu'ils se servent de la ruse pour se retribuer grassement (comme je le fait ici en ma qualité de simple modo) sans se faire prendre ou des années après , ça veut dire qu'ils sont brillants. 

 

C'est une philosophie qui tient la route !  

[InASMWeTrust]

vaste sujet , je préfère qu'ils se servent de la ruse pour se retribuer grassement (comme je le fait ici en ma qualité de simple modo) sans se faire prendre ou des années après , ça veut dire qu'ils sont brillants. 

P... quand je pense que tu es payé 1 c par post, et que je vois les 52 000 messages de RCV, je me dis que je ferais bien de changer mon nom en Dze. 

[el landeno]

Pourquoi la relation entraîneur-arbitre s'est dégradée dans le Top 14 Pris à partie par les entraîneurs, critiqués au coup de sifflet final par les managers - à l'exemple de Jean-Noël Spitzer (Vannes) après la défaite contre l'UBB, le 23 novembre -, les directeurs de jeu ne sont pas épargnés. Analyse d'une relation entraîneur-arbitre devenu très tendue dans le Top 14.  

 

 

Pas une semaine sans prises de bec entre managers de clubs et arbitres. La captation d'images a frappé les esprits, dimanche 24 novembre. À la mi-temps du derby francilien, le capitaine parisien Paul Gabrillagues écarte du bras son entraîneur en chef Laurent Labit, qui cherche à s'approcher de l'arbitre de la rencontre, sans doute pour lui parler d'un plaquage qui aurait mérité un carton jaune, voire rouge. Plus conflictuel, les critiques d'après-match (défaite contre l'UBB, 29-37) de l'entraîneur de Vannes, Jean-Noël Spitzer, en direction du corps arbitral français, ont poussé la FFR à saisir la commission de discipline de la LNR, le 26 novembre.

 

 

« À travers les époques, j'ai l'impression que l'arbitrage a toujours été remis en question », note en préambule Pierre Berbizier, formé au règlement et au jeu à Lannemezan (Hautes-Pyrénées) par René Hourquet, président de la commission nationale des arbitres de 1992 à 2009. Les raisons ne manquent pas. « Entraîneur, dans la semaine, on est sous la pression du président, des médias, du résultat, des agents, et cette pression est exacerbée le jour du match », reconnaît Jean-Baptiste Élissalde, ancien coach de Toulouse et de Montpellier.

lire aussiL'arbitrage français sous le choc après les déclarations de Jean-Noël Spitzer

« Les mecs ont du tempérament et certaines décisions peuvent les faire sortir des gonds... Mais je ne vois pas tant d'excès que ça », tempère Christophe Urios, entraîneur de Clermont, avant d'ajouter : « Il m'est arrivé, quand j'étais jeune, de gueuler pour tout et n'importe quoi, de penser que tout le monde était contre moi et mon équipe. Mais j'ai compris qu'en faisant ça, j'ouvrais la boîte à excuses et que je donnais de mauvaises informations à mes joueurs. »

Une réunion entre arbitres et entraîneurs instaurée cette saison

Avant le coup d'envoi de cette saison et afin de fluidifier la relation arbitres-entraîneurs, les responsables de la commission du haut niveau arbitral, Romain Poite et Mathieu Raynal, ont invité les techniciens du Top 14 et de Pro D2 à échanger avec les directeurs de jeu. « C'était une première et tout le monde a trouvé ça super, raconte Karim Ghezal, alors co-entraîneur du Stade Français. Il y a aussi la plateforme Internet pour échanger avant et après les matches en visio ou par mail, envoyer des clips explicatifs, demander des précisions aux arbitres. »

 

 

Raynal se déplace beaucoup dans les clubs pour dialoguer. Il était à Bayonne ce vendredi. La politique mise en place par le duo Raynal-Poite qui veut absolument améliorer la qualité des arbitres, et travaille au rajeunissement, est vue positivement par les clubs. « On peut souligner la qualité du travail effectué par la nouvelle direction de l'arbitrage qui oeuvre pour plus de clarté, de transparence et de communication, reconnait Pierre-Henry Broncan, le manager de Brive en Pro D2. On progresse. On était en retard par rapport à ce qui se passait en Angleterre. Mais on est sur la bonne voie, on peut échanger, avant les matches et après. Il y a du dialogue, et c'est une bonne chose. »

« L'arbitre est remis en question par le système vidéo, qui est un oeil extérieur interventionniste qui le commande »

Pierre Berbizier, ancien sélectionneur de l'équipe de France.

 

 

 

Mais toutes ces bonnes résolutions se sont dissoutes au fil des dix premières journées. Dimitri Szarzewski, entraîneur adjoint au Racing 92, tente une explication : « L'arbitre de champ, les juges de touche, les quatrième et cinquième arbitres et l'arbitre vidéo ne sont pas toujours sur la même longueur d'onde. Lorsque c'est le cas, tu te poses des questions. Personnellement, je cherche à faire passer calmement des messages via les juges de touche et le quatrième arbitre, mais j'ai parfois le sentiment de ne pas être écouté. »

Constat confirmé par Urios : « Quand on prépare un match avec un arbitre, qu'on lui envoie des clips vidéo pour l'aider à comprendre comment on joue, qu'on est d'accord sur l'interprétation des règles et que le jour du match, il ne tient pas compte de tout ce qu'on s'est dit avant, ça a le don de me gonfler, oui... » Cet état de fait a peut-être pour cause ce que Berbizier appelle « l'arbitrage dénaturé », à savoir que « l'arbitre est remis en question par le système vidéo, qui est un oeil extérieur interventionniste qui le commande. »

 

Explications entre Arnaud Héguy, entraîneur de la mêlée du LOU, et Vivien Praderie, arbitre du match Lyon-Oyonnax (43-26), le 24 février 2024 en Top 14. (R. Biard/Icon Sport)

Après vingt et une saisons de coach à Clermont, Montauban, Castres et le Racing 92, le président du directoire du club francilien, Laurent Travers, parle d'expérience : « Depuis le bord de touche, on a la capacité d'analyser le match, le jeu des deux équipes et les décisions des arbitres à l'aide, désormais, des ralentis vidéo. Alors on manque par moments d'objectivité : on a naturellement tendance à regarder les fautes qui sont sifflées en notre défaveur. On baigne dans notre frustration. Dans ce contexte, se maîtriser, c'est compliqué. C'est pourquoi beaucoup d'entraîneurs préfèrent monter dans la tribune plutôt que de rester au bord du terrain. »

« L'entraîneur aimerait que l'arbitre se comporte selon ses souhaits. C'est un manque de discernement, un manque de lucidité. Et c'est immature... »

Éric Blondeau, spécialiste de la gestion et de la performance en situation de crise.

 

 

 

Ancien joueur, spécialiste de la gestion de la performance en situation de crise, Éric Blondeau, qui a travaillé avec Clermont et Montpellier, et plus récemment avec le Racing 92 et La Rochelle, identifie cette frustration du manager sous le coup de l'émotion comme la réponse à une attente. « L'entraîneur aimerait que l'arbitre se comporte selon ses souhaits. C'est un manque de discernement, un manque de lucidité. Et c'est immature de commenter une frustration en public. Agresser verbalement les arbitres ne fait pas avancer les choses », ajoute-t-il.

« Le rugby étant devenu professionnel, il faut désormais que les entraîneurs, comme le font déjà les joueurs, travaillent l'aspect mental et psychologique de leurs performances et surtout qu'ils acceptent que, tout comme eux, l'arbitre est faillible », préconise le sophrologue Jean Guibert, ancien coach de Tyrosse et de Dax. Une piste qu'a décidé d'emprunter l'ex-international Olivier Magne, désormais diplômé universitaire de préparation mentale et d'optimisation de la performance collective : « Dans les thématiques liées à la performance systémique, il y a évidemment la relation entraîneur-arbitre. Le haut niveau, c'est en partie la capacité à utiliser les émotions à bon escient afin de ne pas se laisser déborder par la colère et la peur. On travaille à cette thématique dans les centres de formation mais force est de constater que les entraîneurs y échappent. »

Vers des avertissements aux entraîneurs ?

Pour Blondeau, l'angle d'approche est tout trouvé : « L'entraîneur doit intégrer qu'un match de rugby est par nature irrationnel, son contenu n'est jamais écrit à l'avance, son résultat est incertain. Ce sont les aléas du sport. » Si la prévention reste une réponse à privilégier, Ghezal s'interroge sur les bienfaits immédiats de la sanction. « Quand les joueurs se sont mis à parler beaucoup aux arbitres, ils ont pris des cartons jaunes, ce qui a les fait taire... », remarque-t-il. Effectivement, d'après nos informations, si le climat de tension qui entoure les rencontres de Top 14 devait ainsi perdurer, consigne pourrait être donnée aux arbitres de sortir les « biscottes » en direction du bord du terrain. Les entraîneurs, eux, verront sûrement rouge.

[twiX]

La protection des joueurs n'est plus d'actualité, y compris pour un toubib ?

[Vynce]

La protection des joueurs n'est plus d'actualité, y compris pour un toubib ?

J'espère qu'il est meilleur dans le domaine médical.

[Buckaroo]

La protection des joueurs n'est plus d'actualité, y compris pour un toubib ?

Les journées sont calmes à l'hôpital ces derniers temps, donc il n'est pas contre quelques clients en plus. Chalureau doit toucher un pourcentage, comme rabatteur.

[steph]

Pour celles et ceux qui regardent d'autres matchs que l'ASM, on ne peut taxer Charabas d'être pour ou contre telle ou telle équipe. C'est juste une pompe, et il faut croiser les doigts pour être du bon côté de la pièce quand il prend une décision. Il n'a rien à faire chez les pros.

[twiX]

Pour celles et ceux qui regardent d'autres matchs que l'ASM, on ne peut taxer Charabas d'être pour ou contre telle ou telle équipe. C'est juste une pompe, et il faut croiser les doigts pour être du bon côté de la pièce quand il prend une décision. Il n'a rien à faire chez les pros.

j'ai trouvé un article sur où il dit préférer "regarder le rugby amateur que le rugby pro"

si ça se trouve en regardant du rugby pro il verrait oeuvrer des arbitres dont il pourrait s'inspirer.