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Tournée d'été 2024


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1495 réponses à ce sujet

#1381 RCV06

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Posté 16 juillet 2024 - 15:54

 

Peut-être que Darricarrère et Jauneau voulaient voir à quoi ressemblait une cathédrale propre, et pas recouverte de suie...

Voila, je pense que les jeunes clermontois sont particulièrement sensibilisés a la culture par leur coach notamment qui leur fait l éloge de la sobriété en évitant de leur parler de son activité secondaire 


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#1382 xdderf63

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Posté 16 juillet 2024 - 16:40

Non mais j 'y crois pas !

 

Va falloir remettre tout ce petit monde sur les rails que ça plaise ou pas et sévir sans trembler pour reprendre la main et rester crédible !

 

Dans le contexte actuel en plus , là je trouve que c 'est infantile et irresponsable de la part des mecs en cause qui se comportent comme des gamins gâtés et qui se fichent de tout mais pas du chèque qu'ils vont empocher..je dois encore me bercer d'illusions mais là, je suis scotché !

 

Oui

Ils demandent que ça 

La bière ça suffit...  :D


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#1383 Vert

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Posté 16 juillet 2024 - 19:33

La coke ça ne se détecte pas dans les contrôles antidopages ?

#1384 Silhouette

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Posté 16 juillet 2024 - 19:40

La coke ça ne se détecte pas dans les contrôles antidopages ?

Si, mais il faut faire le controle au bon moment:

https://www.rugbyram...ne-12000476.php

 

Au passage certains extraits de l'interview sont savoureux:

"C’est arrivé jeune. Maintenant, je l’ai bien compris, ça m’a servi de leçon."

"J’ai été accompagné par des "psys" et d’autres personnes pour me faire prendre conscience des choses, de la gravité de l’acte"

"Je pense que cette période m’a forgé, qu’elle m’a donné une carapace. C’est une épreuve tellement dure. Ça m’a fait passer un cap."


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#1385 el landeno

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Posté 16 juillet 2024 - 20:06

« Si des gars sont vraiment sortis, c'est lunaire...», Grill sidéré par les sorties nocturnes de joueurs après le dernier test en Argentine Malgré le contexte, les joueurs ont demandé à Florian Grill et Jean-Marc Lhermet, respectivement président et vice-président de la FFR, s'ils pouvaient sortir dans Buenos Aires samedi après le dernier match de la tournée. On leur a dit non mais tous n'ont pas obéi.

 

Il y a eu un silence. C'était la dernière question d'une longue conférence de presse qui durait depuis bientôt une heure. Ce silence, on le comprendra plus tard, marquait le degré d'incrédulité de Florian Grill, président de la FFR, et Jean-Marc Lhermet, vice-président en charge du haut niveau, accoudés l'un à côté de l'autre en bas de l'auditorium de Marcoussis.

 
 

L'ultime question faisait référence à un article du matin même, paru dans L'Équipe. Il y était mentionné le non-respect des règles après le dernier match contre l'Argentine samedi (défaite 33-25) alors que les joueurs avaient consigne de demeurer à l'hôtel et de ne pas consommer d'alcool fort. Si la plupart sont sagement restés dans un salon privé ou au bar de l'Emperador en compagnie du staff, d'autres sont bel et bien sortis dans Buenos Aires.

À Marcoussis, c'est Lhermet qui a rompu le silence, expliquant « que la dernière équipe de la tournée a été annoncée jeudi soir. Comme c'est un groupe de 42, des joueurs savaient que c'était terminé pour eux et sont venus nous voir. On les a autorisés à sortir de l'hôtel, manger au restaurant, éventuellement boire quelques coups en ville de façon contrôlée. On leur a demandé de rester à l'hôtel si la soirée devait s'étirer tard. »

Joint plus tard, il précisera son propos : « L'idée générale du briefing que j'ai tenu devant eux, c'était : pas de sortie festive, pas de sortie alcoolisée. Une entrecôte au resto avec un verre de vin, oui, pourquoi pas. Mais pas de sortie festive, ni jeudi, ni vendredi, ni samedi. » Retour à Marcoussis où Florian Grill empoigne le micro : « On avait dit non à Baptiste Serin pour une sortie après le dernier test. Si sortie il y a eu après le troisième test, c'est un dérapage de plus. »

 
 

« Jean-Marc et moi, on était hallucinés de la question. Ils ont deux potes en prison, comment osent-ils poser la question ?  »

Florian Grill, président de la FFR, au sujet de l'après Argentine-France du 13 juillet

 
 
 

Le président de la FFR quittait alors l'auditorium atterré, consterné, partagé entre scepticisme, stupéfaction et froide colère. « Si des gars sont vraiment sortis, c'est lunaire et ça ne peut pas en rester là, nous indiqua-t-il plus tard. On a besoin de savoir. Judicaël Cancoriet nous a demandé s'il pouvait aller manger des sushis en ville, on lui a dit oui. Mais évidemment qu'après les événements de Mendoza (accusés de viol aggravé dans la nuit du 6 au 7 juillet, mis en examenOscar Jegou et Hugo Auradou contestent les faits), les soirées festives et alcoolisées ont été bannies.

Le samedi soir, après le dernier match et après la traditionnelle remise des capes (à ceux qui venaient de fêter leur première sélection), Mathieu Brauge, le team manager, est venu nous demander si les joueurs pouvaient sortir dans Buenos Aires. Il était juste l'intermédiaire. Jean-Marc et moi, on était hallucinés de la question. Ils ont deux potes en prison, comment osent-ils poser la question ? Ça en dit long sur la "désintoxication" qu'il va falloir mener auprès de certains. On trouvait cette demande tellement inconsciente que Jean-Marc est allé aussitôt dire au capitaine Baptiste Serin que toute soirée festive était proscrite. »

À quoi bon fixer un cadre, des limites, définir des interdits, si la parole d'autorité n'est pas écoutée par les joueurs. Le quinze de France n'est pas confronté à un problème dont les clubs pros n'auraient jamais entendu parler. Un exemple parmi d'autres : en novembre dernier, l'état-major du Stade Français avait interdit toute sortie en ville après la défaite à Pau (30-6) en Top 14. La consigne a été contournée et un joueur parisien a frappé un membre du staff palois.

De très mauvaises habitudes ont été prises, ici, là, à peu près partout. Pour rétablir l'ordre, n'est-il pas temps de passer à un recadrage bien plus restrictif ? « Il y aura bien sûr un avant et un après Mendoza, assure Grill. Nous n'aurons certainement pas la main qui tremble. Oui, on va changer les règles mais on ne veut pas de décisions verticales qui tombent d'en haut, on veut le faire en concertation avec les joueurs, les staffs des équipes de France, les clubs pros, la Ligue... »

« On veut renforcer les sanctions qui pourront être financières, aller jusqu'à l'exclusion comme dans le dossier Jaminet »

Florian Grill, président de la FFR

 
 
 

Le président de la Fédération pointe également l'impact de ces mauvaises habitudes sur l'aspect sportif. « On comprend le besoin, et même la nécessité, d'avoir une soupape dans notre sport. Mais pas au point d'aller dans ces extrêmes qui sont incompatibles avec la performance sportive. Sans aller sur le terrain de l'affaire judiciaire, on est face à une contradiction : d'un côté, il y a ce degré de professionnalisme de notre staff, son soin du détail dans la nutrition, les datas, et de l'autre, il y a ces excès d'alcoolisation comme ce soir-là. À Mendoza, il était prévu que les joueurs puissent sortir en groupes, avec des joueurs seniors qui encadrent et commandent des taxis pour le retour. Le capitaine Baptiste Serin a commandé les taxis mais certains joueurs ne sont pas rentrés. Ou, d'après ce qu'on sait, sont rentrés puis ressortis. »

Florian Grill veut, ainsi, pointer la responsabilité individuelle des éléments fautifs plutôt que celle du système mis en place. « Ce nouveau cadre sera mis en place avant les prochains matches du XV de France (l'automne prochain). On veut renforcer les sanctions qui pourront être financières, aller jusqu'à l'exclusion comme dans le dossier Jaminet. Le sujet, ce n'est pas de savoir qui était le chef de délégation ici, qui était l'élu fédéral auprès des Bleus là. On parle de joueurs professionnels et majeurs. La responsabilité de la FFR, c'est d'éduquer, dans les académies, dans les centres de formation. C'est de dire ce qui est autorisé ou non, de sanctionner. Pas de monter la garde chaque nuit devant l'entrée de l'hôtel officiel. Je ne crois pas que l'esprit "troisième mi-temps" doive être remis en cause, je crois que le rugby n'est pas un monde à part. Mais quand il y a un cadre et que les mecs font n'importe quoi, c'est leur responsabilité individuelle. »

 
 

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#1386 el landeno

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Posté 16 juillet 2024 - 20:32

La tournée argentine, symbole de l'autorité disparue au sein du XV de France Mis en place et promu dès sa nomination par son architecte - le sélectionneur Fabien Galthié -, le management des Bleus a clairement failli sur l'aspect de sa vie sociale. Introspection et révolution sont devenues impératives.

Dans les couloirs de l'hôtel Emperador de Buenos Aires, pendant toute la semaine, les conciliabules se sont multipliés entre l'encadrement sportif du quinze de France et les dirigeants fédéraux venus en Argentine. Ils se sont probablement poursuivis dans l'avion du retour puisque Florian Grill et Jean-Marc Lhermet, respectivement président et vice-président de la FFR, tiennent une conférence de presse ce mardi.
 
 

Depuis la troisième mi-temps de Mendoza, dans la nuit du 6 au 7 juillet dernier, qui a conduit à l'exclusion de la tournée de Melvyn Jaminet pour propos racistes et à la mise en examen d'Hugo Auradou et Oscar Jegou pour viol avec violences en réunion, le fameux cadre de vie dessiné par Fabien Galthié, dont Raphaël Ibañez était le supposé garant quand il était encore dans le paysage, et qui fut largement mis en avant au démarrage du premier mandat du sélectionneur, a volé en éclats.

Il est alors devenu urgent, notamment face à la sidération de l'opinion, de poser un diagnostic sur ce management en échec et d'identifier les responsabilités. Parce que les résultats sportifs et les belles affluences au stade ne délivrent pas d'immunité aux figures de l'autorité et que tout le monde se demandait, au milieu de la tempête, à quoi cela peut bien servir de promener trente encadrants au bout du monde, dont deux nutritionnistes, pour autoriser tous les excès en pleine compétition.

Galthié : « On va mettre un cadre qui n'est pas négociable »

Fin 2019, lorsqu'il prend les rênes de l'équipe de France, après une Coupe du monde passée comme adjoint de Jacques Brunel, Fabien Galthié a deux priorités. D'abord gagner (beaucoup) et vite. Mais aussi redorer l'image des Bleus. « Nous voulons définir un cadre très rigoureux sur la manière de vivre ensemble, disait-il alors. Une forme de pacte, sur lequel on leur demande de s'engager. Avec en priorité une exemplarité exigée, dans leurs clubs déjà, et évidemment en équipe de France. » Il regrette les « anciennes habitudes » prises en sélection ces dernières années à l'image des dérapages nocturnes à Édimbourg lors du Tournoi 2018 (*) puis au Mondial.

 
 
(*) Soupçons de bagarres impliquant des joueurs de l'équipe de France et d'agression sexuelle après le dépôt de plainte d'une jeune femme qui la retira par la suite.

Le message est ferme. Le sélectionneur le martèle aux joueurs. Quitte à se mettre en scène devant les caméras comme lorsqu'il fait passer des entretiens aux joueurs du Racing 92. À Teddy Baubigny, il dit : « On peut faire la bringue, c'est même très important. Mais il faut la cadrer. Il ne faut pas faire n'importe quoi. » Devant un Wenceslas Lauret perplexe, le sélectionneur ajoute : « On va mettre un cadre qui n'est pas négociable. Dans le cadre de vie, on va vous donner - ce qui n'était pas fait - une planification sur la compétition. On vous demande de dire dès aujourd'hui, avant qu'on perde du temps ou non à vous suivre, si vous acceptez ce cadre. Si des joueurs disent oui mais sortent du cadre, ils repartent. Il y a des taxis qui vous attendent, on n'en parle pas, on ne bataille pas, on ne laisse pas d'énergie. » Raphaël Ibanez, nommé manager du quinze de France, accompagne alors Fabien Galthié pour être « le garant d'un certain état d'esprit et d'une éthique. »

Des règles qui volent en éclats

Ce quinze de France a retrouvé, comme l'espérait son nouvel entraîneur en chef, une dynamique sportive même si l'élimination lors du dernier Mondial plombe forcément le bilan. Pour l'exemplarité, en revanche, c'est franchement moins évident. En l'espace de quatre ans et demi, le fameux « cadre de vie » a plusieurs fois craqué. D'abord lorsque les Bleus ont fait exploser la bulle Covid en 2021. Puis, plus discrètement, lors de la préparation du dernier Mondial et même lors de la compétition ponctuée par des soirées arrosées pour les joueurs français, notamment à Aix-en-Provence où deux joueurs éméchés en sont furtivement venus aux mains.

Mais le pire était à venir sur le sol argentin où ce groupe France rajeuni, privé de ses tauliers habituels, a touché le fond. A-t-il été suffisamment encadré ? Si la soirée entre joueurs du 29 juin à Buenos Aires, organisée avec l'aval du staff, n'avait pas dégénéré, celle de Mendoza, après la victoire contre les Pumas le 6 juillet (13-28), a sévèrement dérapé avec les affaires que l'on connaît aujourd'hui. Ce soir-là, les Bleus avaient l'autorisation de boire un verre pour célébrer les premiers capés. William Servat avait demandé à ceux qui joueraient en Uruguay de rentrer tôt. À l'image de ses adjoints, Fabien Galthié est apparu depuis très marqué après ce qu'il a qualifié de « cataclysme » et de « traumatisme ». En privé, certains le décrivaient pourtant plongé dans une forme de déni, lui-même empreint d'un folklore dans lequel il a toujours baigné, comme s'il n'avait pas saisi le mal qu'allaient engendrer ces épisodes sur son image de chef, et plus largement sur celles de l'équipe de France et de toute une discipline.

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Quels changements dans les responsabilités du groupe France autour de Fabien Galthié ? (A. Mounic/L'Équipe)

« Le cadre de vie, je le répète, c'est un travail qu'il faut consolider au quotidien, sans relâche, disait-il à Montevideo au lendemain de l'arrestation d'Hugo Auradou et Oscar Jegou. Répéter et travailler sans concession sur le respect des règles, du savoir-vivre en société et de la liberté. » Un respect des règles qui, après le dernier match contre l'Argentine samedi (défaite 33-25), n'a pas été appliqué par tous. Les consignes étaient pourtant très claires : les joueurs devaient rester à l'hôtel et ne pas consommer d'alcool fort. Si la plupart sont sagement restés dans un salon privé ou au bar de l'Emperador en compagnie du staff, d'autres n'ont rien trouvé de plus malin que de sortir dans Buenos Aires...

La nécessité de restaurer l'autorité

Qui avait l'autorité absolue ? Que dit l'organigramme ? Après son éclipse partielle pendant le Tournoi, où était Raphaël Ibañez plutôt qu'en Argentine ? Pourquoi n'y avait-il pas au moins un officier chargé de la sécurité, comme le Raid pendant la Coupe du monde ?

Ces questions ont légitimement émergé, y compris au sein même du staff élargi des Bleus, un peu agacé par la chasse au bouc émissaire tous azimuts. Bernard Viviès était le chef de délégation et Mathieu Brauge, le team manager. Leur rôle est réservé à la logistique. Ils n'ont jamais eu de pouvoir décisionnaire. En l'absence de l'ex-talonneur tricolore, le patron de l'équipe était son sélectionneur. C'était Fabien Galthié, donc, qui avait l'autorité d'autoriser, réguler ou interdire. Son principe de responsabilité balayé par les événements de ce mois de juillet, l'état-major se refusait jusqu'ici à une remise à plat vertical du système.

L'idée est que l'absence de cadres à forte expérience en Argentine, conjuguée à la disparition du « On sort tous ensemble, on rentre tous ensemble », n'aurait pas arrangé les choses. On peut douter de cette analyse quand on se souvient de la récente affaire d'Édimbourg en 2018 et de tout ce qui se passe, aussi, en club.

Dans les faits, et même s'il s'agit d'adultes, les dirigeants de la FFR n'échapperont pas à la restauration d'une autorité qui, sans être totalement martiale, fixera des limites en rapport avec l'époque, ses excès en matière de consommation d'alcool, d'addictions et des comportements dans les cercles intimes.


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#1387 pims

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Posté 16 juillet 2024 - 21:20

Après dans cette situation ils sont un peu cons Grill & co de laisser la porte ouverte "ok pour une bouffe mais pas d'alcool fort" 



#1388 RCV06

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Posté 16 juillet 2024 - 22:04

Après dans cette situation ils sont un peu cons Grill & co de laisser la porte ouverte "ok pour une bouffe mais pas d'alcool fort" 

C'est pas des garde chiourme, ils vont pas mettre des gardiens devant la porte de l hotel.

Quand tu as affaire a des adultes tu poses des règles et après tu sévis si elles ne sont pas respectées c'est tout ce qu ils peuvent faire


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#1389 Pottok

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Posté 16 juillet 2024 - 22:25

C'est pas des garde chiourme, ils vont pas mettre des gardiens devant la porte de l hotel.
Quand tu as affaire a des adultes tu poses des règles et après tu sévis si elles ne sont pas respectées c'est tout ce qu ils peuvent faire

Il faut combien de fois avant qu'ils comprennent qu'ils n'ont aucune autorité sur au moins certains joueurs du groupe ?

Si les joueurs veulent se comporter comme des gamins à qui il faut continuellement dire ce qu'il faut faire ou pas, ben banco, traitons les comme des gamins. Zéro sortie. Tout le monde reste a l'hôtel. C'est pas la prison, c'est un hôtel 5 étoiles, ils peuvent bien y passer une journée.
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#1390 gregouarrrr

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Posté 16 juillet 2024 - 22:30

Qd on a des problèmes avec l alcool ou la coke .. On est plus sportif... Encore moins de haut niveau...

Qd certains se moquaient des footeux, le rugby français est tombé bien bas...

#1391 ZACH

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Posté 16 juillet 2024 - 23:05

Non mais j 'y crois pas !

 

Va falloir remettre tout ce petit monde sur les rails que ça plaise ou pas et sévir sans trembler pour reprendre la main et rester crédible !

 

Dans le contexte actuel en plus , là je trouve que c 'est infantile et irresponsable de la part des mecs en cause qui se comportent comme des gamins gâtés et qui se fichent de tout mais pas du chèque qu'ils vont empocher..je dois encore me bercer d'illusions mais là, je suis scotché !

Ils sont déjà sur des rails ……


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#1392 Bon Chasseur

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Posté 16 juillet 2024 - 23:31

Bon quels matches le weekend pro alors

ah oui, j'aime bien comme il y a Uruguay Argentine. C'est style: bon les Français se sont barré... ils ont foutu le bordel en plus quand même... tiens au fait du coup on... on joue tous les deux ?

 

Après vous inquiétez pas, y a d'autres matches qui servent à rien: AUS v Géorgie, et la crème de la crème (brûlée, pour le coup): AfdS Portugal. yoooooupiiiii, à ne surtout pas rater celui là attention hein.


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#1393 el landeno

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Posté 17 juillet 2024 - 05:59

Hugo Auradou et Oscar Jegou vers une possible détention à domicile Le parquet a entamé des auditions ce mardi tandis que des membres de la famille d'Oscar Jegou et Hugo Auradou sont arrivés à Mendoza. La perspective d'une détention à domicile semble s'éclaircir.

Le processus s'est accéléré pour Hugo Auradou et Oscar Jegou. Les deux joueurs, toujours détenus au centre de détention transitoire de Mendoza où ils sont arrivés tard dans la soirée de jeudi dernier, ont fait l'objet d'une expertise psychologique mardi matin, tout comme la mère d'Hugo Auradou. Cette dernière pourrait être sa « tutrice » en cas de détention à domicile, à Mendoza, comme demandé par la défense.
 
 

Mardi, le chauffeur de taxi ayant transporté la plaignante depuis l'hôtel jusqu'à son domicile, après les faits supposés, a témoigné. « Je ne me souviens pas de tous les voyages que je fais. Je n'ai rien vu. Si elle avait des coups ? Non, je n'ai rien vu. C'était un voyage normal. Des fois, les clients montent derrière, des fois devant. Est-ce qu'elle est montée derrière. Oui. Si j'ai vu quelque chose de bizarre ? Non, rien. Si elle m'a parlé ? Je ne me souviens pas. Je parle avec presque tous ceux qui montent dans ma voiture. C'était le matin, à 8 h 30 », a-t-il déclaré aux médias en sortant du tribunal.

La victime potentielle pas appelée à comparaître pour le moment

Natacha Romano, l'avocate de la plaignante, a précisé que l'amie qui l'accompagnait ce soir-là en boîte de nuit, qui a déjà été entendue la semaine dernière, doit à nouveau être entendue mercredi pour « développer son témoignage ». Jeudi, ce sera au tour de la médecin légiste qui l'a examinée le jour même des faits, après le dépôt de sa plainte, et de sa mère. La victime potentielle n'est pour l'heure pas appelée à comparaître.

« Le parquet ne juge pas cela nécessaire pour le moment, étant donné que des témoins n'ont pas encore été entendus. Une fois toutes les déclarations testimoniales recueillies, ils vont évaluer (la pertinence d'entendre la victime à nouveau), pour ne la citer qu'une seule fois et non de façon permanente », a expliqué l'avocate.

 
 

D'après elle, les témoins qui n'ont pas encore été cités et « qui ne devraient pas être entendus cette semaine, sont ceux sollicités par la défense ». Ils devraient être entendus par Zoom ou Meet, car ils sont en France, « une fois que le traducteur officiel sera désigné », a-t-elle précisé.

Les familles arrivées en Argentine

Alors que les parents d'Hugo Auradou et la tante d'Oscar Jegou sont arrivés à Mendoza, la détention à domicile semble être une option acceptable pour l'avocate de la victime « tant qu'ils sont à Mendoza, que les expertises informent qu'il n'y a pas de risque de fugues et qu'ils ont un bracelet électronique, je n'y vois pas d'inconvénient », a-t-elle assuré, estimant elle aussi que « les documents d'identité sont en possession du bureau du parquet. Le risque de fugue est donc minime, d'autant que les parents d'Hugo sont ici dans la province ».

De son côté, l'avocat des deux Français, Rafael Cuneo Libarona, a affirmé face aux médias locaux, alors qu'il se rendait au parquet mardi, que « les preuves qui viennent de surgir sont très positives ». Ce dernier espère que la justice accorde la détention à domicile à ses clients « pour préserver l'intégrité physique et psychologique des détenus. Cela ne signifie pas qu'ils soient innocents ou coupables. C'est une question de forme pas de fond », a-t-il tenu à préciser.

 
 

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#1394 pims

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Posté 17 juillet 2024 - 06:08

C'est pas des garde chiourme, ils vont pas mettre des gardiens devant la porte de l hotel.

Quand tu as affaire a des adultes tu poses des règles et après tu sévis si elles ne sont pas respectées c'est tout ce qu ils peuvent faire

en temps normal jsuis d'accord mais là la situation l'imposait, tant pis pour ceux dont c'était la dernière fois qu'ils voyaient Buenos Aires de leur carrière



#1395 jm12

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Posté 17 juillet 2024 - 06:29

Ils sont déjà sur des rails ……

Aie.  .celle là,  je ne l 'ai pas vu venir et pourtant... :o


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