Joueur de promotion
Posté 05 juin 2024 - 13:10
Je suis ravi que ce soit contre l’USAP … et probablement les joueurs et le staff également … grand joueur …
Bon, on va quand même essayer de le décevoir !
Il tient absolument à finir sur une victoire et le reste de l'équipe veut lui offrir 
Par contre il y a une incertitude pour son frère qui a un kyste suspect à l'épaule, ce qui l'handicape au niveau du bras
Parisien Névrotique
Posté 05 juin 2024 - 13:14
Et moi je voudraye qu'on batteraye Toulon ! 
Nan mais c'est vrai quoi, ils ont le Charles de Gaulle à demeure et 80% de la Marine Nationale, ils vont pas en plusse nous piquer notre demie ! Hein, hein ? Ooooooooh
Champion du Monde
Posté 05 juin 2024 - 17:35
Et moi je voudraye qu'on batteraye Toulon !
Estimez vous déjà bien heureux de figurer miraculeusement dans le top 6 , y a des Clermontois qui lisent ici, un peu d'empathie boudiou 
Parisien Névrotique
Posté 05 juin 2024 - 17:47
Sais-tu comment on dit « cest l hôpital qui se fout de la charité » en langue anglaise ? Its the pot calling the kettle black!Estimez vous déjà bien heureux de figurer miraculeusement dans le top 6 , y a des Clermontois qui lisent ici, un peu d'empathie boudiou
Champion du Monde
Posté 05 juin 2024 - 17:50
Sais-tu comment on dit « cest l hôpital qui se fout de la charité » en langue anglaise ? Its the pot calling the kettle black!
Voui mais nous on est les championsses quand meme 
Usapiste et bien davantage
Posté 07 juin 2024 - 11:38
Il tient absolument à finir sur une victoire et le reste de l'équipe veut lui offrir
Par contre il y a une incertitude pour son frère qui a un kyste suspect à l'épaule, ce qui l'handicape au niveau du bras
Quatre titulaires sur le flanc pour aller à Pau, et non des moindres , Crossdale, DLF, JVT, et Allan … dommage, on verra bien !
Joueur de TOP 14
Posté 07 juin 2024 - 15:12
Pour les cas d'égalité à deux équipes, voici ce que j'ai rassemblé, si je ne me suis pas trop foiré, basé sur les points terrain.
Vert: l'équipe de gauche est devant
Rouge: l'équipe de gauche est derrière
Jaune: il y a égalité au niveau points terrain et ça dépend de la différence de points marqués sur l'ensemble du top 14.
Blanc: match à venir entre les deux équipes
donc pour qu'on se qualifie il faut que perpignan aille faire match nul à Pau en prenant le bonus Off ...allez misons sur un 15 - 15 3 essai pour perpi et que des pénalités pour PAu , que le racing prenne une tole à la rochelle ..et qu'on batte le MHR avec Bonus ...hop tout le monde a 61 points ... et on gagne aux point terrains
Facile
Champion d'Europe
Posté 07 juin 2024 - 19:21
Les compositions de la 26ème journée : https://www.allrugby...ompos-2562.html
Une pensée pour le 3/4 centre remplaçant de Perpignan qui s'appelle "Job Poulet"... une future carrière dans la police semble toute tracée 
Joueur de TOP 14
Posté 07 juin 2024 - 20:11
Champion d'Europe
Posté 08 juin 2024 - 09:00
Il faut dire que l'USAP est loin de l'angoisse qui l'escortait à la même période de l'année ces deux dernières saisons. Pas de barrage de maintien à l'horizon mais l'espoir fou des barrages, les vrais, et d'une phase finale du Top 14 à laquelle le club catalan n'a plus participé depuis 2010.
« On vit des bons moments donc on a envie que ça continue un peu plus... On était passés en mode phase finale avant Bordeaux, on a réussi à passer cette première étape(37-30, samedi 1er juin), on se prépare maintenant à jouer un huitième de finale à Pau », glisse Marty, l'entraîneur principal qui portait le numéro 13 sang et or en 2010, jusqu'à cette finale perdue face à Clermont (6-19). Une autre époque.
Drôle de huitième, quand même, car une victoire dans le Béarn n'est pas la seule condition pour finir dans le top 6. Grosso modo, il faut espérer que Castres (8e) ne prenne pas plus de points à Bayonne dans le même temps et que le Racing (6e) rentre bredouille de La Rochelle. « Il n'y a pas de calcul à faire car on doit d'abord gagner à Pau, ce qui sera tout sauf simple, poursuit Marty. C'est une équipe très performante chez elle qui joue encore le top 8 et une qualification en Coupe d'Europe, et qui nous a battus six fois sur nos sept dernières confrontations... »
« Il faut qu'on ait la mentalité de vouloir gagner le titre »
Patrick Sobela, troisième-ligne de l'USAP
Privée de certains cadres comme le centre et capitaine Jeronimo de La Fuente (cuisse), l'ailier Alistair Crossdale (genou), l'arrière Tommaso Allan (commotion) et le deuxième ou troisième ligne Jacobus van Tonder (commotion), l'USAP veut tout de même faire durer le plaisir d'une année 2024 presque exceptionnelle.
Presque, car il y a cette défaite à domicile contre Clermont (28-35, le 11 mai) qui prive samedi les Catalans du luxe de maîtriser pleinement leur destin lors du dernier round. « Avec des si, on peut bâtir un monde, glisse le pilier Pietro Ceccarelli dans un français parfait. On a montré autre chose contre Bordeaux donc il faut mettre de côté les regrets et penser au match de samedi, le plus important de tous. »
« On ne doit pas avoir peur d'aller chercher quelque chose de beau, ajoute le troisième-ligne Patrick Sobela, qui vit sa première saison à l'USAP et ne cache pas ses ambitions. Il faut qu'on ait la mentalité de vouloir gagner le titre, de jouer tous les matches pour les gagner, sans calcul. Aujourd'hui, on a une chance d'être dans les six, ça fait un moment que le club attend ça, on sait à quel point c'est difficile aujourd'hui de se qualifier donc il ne faut pas la rater. On a raté une balle de match contre Clermont, on en a une autre ce week-end... Personne ne joue pour finir neuvième. On joue pour le top 6, donc si on n'y était pas, on serait déçus. On verra si la victoire suffit ou pas, mais il faut juste regarder tout là-haut. »
En cas de qualification, qui serait une authentique surprise, l'administratif a déjà commencé à étudier les options de voyage la semaine prochaine - Stade Français ? Toulon ? Bordeaux ? -, ce qui est toujours plus agréable que d'envisager un déplacement à Mont-de-Marsan ou à Grenoble pour jouer son maintien sur un match. Et un bon moyen de se rappeler que, quoi qu'il arrive au Hameau ce soir, la saison de l'USAP est réussie.
Champion d'Europe
Posté 08 juin 2024 - 09:12
« On a beau tout faire en amont pour se donner un maximum de sécurité, on n'est jamais serein quand ces matches-là arrivent. » Quand il était joueur, Yannick Nyanga, aujourd'hui dans le staff du Racing 92, en a connu des dizaines, de ces rencontres où tout peut basculer dans les derniers instants, où un coup de pied, un lancer en touche, une interception peuvent envoyer une équipe en enfer ou au paradis. Le Top 14, dont l'ultime journée de la phase régulière se dispute ce samedi à 21 heures, avant de basculer sur la phase finale, entre dans cette période de tension extrême où la plus petite erreur peut coûter la qualification.
Tout le monde se souvient de 2014 quand Fabien Galthié, alors entraîneur de Montpellier, avait demandé à ses joueurs de taper en touche en demi-finale contre Castres alors qu'une pénalité aurait suffi à les envoyer au Stade de France. Un doute sur le règlement en cas d'égalité, un arbitre qui n'avait pas su donner la réponse sur le moment, le stress incroyable de cette dernière minute avait privé les Héraultais de finale. « Je pense que ça a marqué tout le monde à vie, cet épisode, note Nyanga. Il faut connaître parfaitement le règlement en cas d'égalité. En rugby, il y a souvent des ajustements de la règle et, lors des réunions avec le staff, à l'approche de ces dernières journées, on en parle souvent. Parce qu'au moindre accroc, tout le monde te tombe dessus. »
Aujourd'hui sélectionneur, Fabien Galthié souffle à l'évocation de cet épisode : « Pff... Des matches comme ça, gagnés ou perdus, je peux en citer 20 ! Mais même si on survit à un tel scénario, c'est dur, c'est vrai... » Six ans plus tard, à son arrivée à la tête de l'équipe de France, il s'est penché sur le sujet des fins de matches folles : « Avec le préparateur mental, on a étudié la réaction psychologique des joueurs sur des faits très précis : un turnover, un carton rouge, un essai sur un duel aérien perdu par exemple. On a aussi noté que ne pas marquer après un temps fort est quelque chose qui fait très mal au groupe. Alors, on a essayé de trouver des façons pour que ça fasse moins mal, pour repartir. » Il situe le moment clé de cette réflexion à la tournée australienne en 2021. « Sur le premier test, après un ballon gratté par Jo Danty, Louis Carbonel trouve une petite touche, au lieu de gagner 30 mètres, il n'en gagne que 10. Derrière, on fait une annonce qui sort du cadre. Pourquoi ? Mystère. On perd le ballon, pénalité et ils gagnent le match. En travaillant sur ce match, on a réalisé qu'après le turnover, on aurait pu tranquillement récupérer, souffler, puis jouer la pénalité à la main, faire un ruck et écarter le ballon. »
« Il ne faut surtout pas s'occuper de ce qui se passe ailleurs, De toute façon, il faut gagner la rencontre. Après, si on sait qu'il faut un point de plus à 15 minutes de la fin, on communiquera l'information ».
David Darricarrère, un des entraîneurs de Castres
Aujourd'hui, pour tenter de rester calme dans ces minutes où tout se bouscule, où il faut « garder une forme de maîtrise dans un état délabré, c'est-à-dire usé émotionnellement et physiquement » (dixit Galthié), toutes les équipes de Top 14 s'y préparent. Karim Ghezal, aujourd'hui entraîneur du Stade Français, se souvient « d'un voyage en train avec Lyon, en 2018, passé à réviser tous les cas d'égalité possibles avant d'affronter Toulon » (qu'ils avaient battu grâce à un essai de plus en prolongation). « Dans les dernières minutes, raconte Henry Chavancy, centre du Racing 92, un membre du staff est chargé de surveiller ce qui se passe sur les tous autres terrains (les rencontres de la dernière journée ont lieu à la même heure), on est prévenus lors d'un arrêt de jeu s'il faut essayer d'obtenir une pénalité par exemple. »
S'il est impossible d'entrer sur le terrain au moment crucial, le coach envoie l'information depuis le bord de touche. « La consigne de l'entraîneur, même si cela dépend des cas, explique Yannick Nyanga, n'est pas toujours suivie par les joueurs qui ont souvent un ressenti plus pointu de ce qui est en train de se passer. Je me souviens des années 2016, 2017 ou 2018, avec le Racing 92, quand il y avait des gars aussi expérimentés que Carter, Rokocoko et Masoe sur le terrain, on ne regardait pas trop vers les coaches. Même avec Toulouse, au temps de Guy Novès, on pouvait décider de ne pas suivre ses directives mais bon, il ne fallait pas se louper derrière ! »
Les équipes préparent cette dernière journée depuis près de deux semaines déjà. « Déjà, la stratégie doit être très claire et très simple, explique Nyanga. Ensuite, on utilise les « what if » inspirés des Néo-Zélandais. Il s'agit d'anticiper les scénarios : Et si on prend un carton rouge ? Et si on est menés de 8 points à dix minutes de la fin : on prend d'abord les points ou on va en touche ? »« On décide comment on va gérer la dernière possession s'il reste une minute ou dix secondes, ajoute Ghezal. On ne peut pas prévoir tous les scénarios alors on essaie d'établir un circuit de communication solide. Chez nous, ce sont les kinés qui reçoivent les consignes par talkie et on a clarifié à l'avance à qui ils les transmettront. Dans ces moments, certains joueurs ne sont pas réceptifs. De toute façon, il faut essayer de ne pas gueuler dans ces moments où c'est chaud, tout faire pour tenir la panique à distance. Chez nous, par exemple, on demande aux joueurs de ne pas regarder l'écran s'il y a un arbitrage-vidéo. Pour les consignes, on laisse les joueurs décisionnaires mais on peut par exemple leur demander de rester à 7 en mêlée si on a pris un carton rouge. »
Ceux qui jouent leur peau ce soir devront rester dans leur match jusqu'au bout : « Il ne faut surtout pas s'occuper de ce qui se passe ailleurs, lâche David Darricarrère, un des entraîneurs de Castres qui n'a plus tout à fait son destin entre les mains. De toute façon, il faut gagner la rencontre. Après, si on sait qu'il faut un point de plus à 15 minutes de la fin, on communiquera l'information. Mais depuis trois semaines, je les mobilise sur cette petite chance qu'on a ; il faut tout donner, mordre dedans, même si ça ne dépend pas de toi. Il faut se lâcher, ne pas calculer. »
Equipe de France
Posté 08 juin 2024 - 11:32
Intéressant ce dernier article, mais du coup il donne envie de savoir comment cette dernière journée a été abordée à l'ASM, quels sont les "trucs & astuces" mis en place...
Joueur de promotion
Posté 08 juin 2024 - 12:37
Champion du Monde
Posté 08 juin 2024 - 12:45
Je viens de voir le classement et pourquoi donc un nul entre Pau et Perpignan nous va bien?
Pourquoi pas une victoire (non bonifiée) de Pau une défaite de Castres à Bayonne, défaite sans bonus du Racigne chez les Maritimes nous une victoire bonifiée ne suffit-elle pas à être 6 ???
Si quelquun peut mexpliquer ?
Car on est dans les 6 uniquement en cas d'égalité à 3 à 61points Racing/USAP et nous .Donc USAP un nul bonifié.
avec le R92 on est derrière en cas d'égalité à 2.
Champion du Monde
Posté 08 juin 2024 - 13:02
Attention à la motivation du CO qui ne galvaudera pas un match pouvant lui permettre de faire quatre impasses en Champions Cup l’an prochain
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