578 réponses à ce sujet

[kennaugh]

Grenoble méritait largement de gagner ce match mais le MHR, avec la complicité de l'arbitre Trainini, réalise le hold-up parfait...

Ah Trainini parlons en!

En 1ère mi-temps il refuse un essai de Grenoble car le grenoblois échappe le ballon sur la ligne, mais ça aurait du être essai de pénalité car le placage au cou de Chalureau sur ce joueur grenoblois fait échapper le ballon à ce dernier. Si Chalureau ne le prends pas au cou mais fait un placage licite, c'est très probablement essai, donc l'essai de pénalité devait être accordé d'autant plus que le placage au cou ( revoyez les images!) est gros comme une maison! Donc Grenoble spolié de 7 points

Durant les 20 premières minutes de la seconde mi-temps, soit un quart du match, Grenoble campe dans la moitié de terrain du MHR, souvent à 30-40 m de l'enbut montpelliérain et durant cette période Grenoble va marquer 0 point alors que sur au bas mot 6 actions les 3/4 du MHR sont hors-jeu et jamais sanctionnés ni même prévenus par Trainini. Ce même Trainini va même retourner le couteau dans la plaie des grenoblois en fin de match en montrant à leurs 3/4, alors que le MHR a la possession, qu'ils ne doivent pas se mettre hors-jeu ( sous entendu sinon je vous sanctionne, preuve qu'il pouvait être attentif aux hors-jeu). Il aurait seulement sifflé 3 pénalités contre le MHR sur les 6 méritées et quant bien même Davies n'en aurait passée que 2 c'était 6 points de plus pour Grenoble.

Donc à minima Trainini spolie Grenoble de 13 à 16 points et on voit le résultat final.En plus de ça, il y a eu d'autres placages hauts du MHR non sanctionnés et leur premier essai est juste u, essai casquette de chez casquette! ..

Ceci dit Davies l'ouvreur de Grenoble a pas mal vendangé au pied et fait de très mauvais choix toute la première mi-temps hormis sa passe au pied qui amène l'essai grenoblois juste avant la pause. Davies a fait une prestation qu'aurait pu revendiquer Belleau!.

Pour moi le plaquage est à bonne hauteur puis remonte lorsque le Grenoblois va vers le sol, je n'aurais pas sifflé plaquage haut non plus

[Ptolémée]

Grenoble méritait largement de gagner ce match mais le MHR, avec la complicité de l'arbitre Trainini, réalise le hold-up parfait...

Ah Trainini parlons en!

En 1ère mi-temps il refuse un essai de Grenoble car le grenoblois échappe le ballon sur la ligne, mais ça aurait du être essai de pénalité car le placage au cou de Chalureau sur ce joueur grenoblois fait échapper le ballon à ce dernier. Si Chalureau ne le prends pas au cou mais fait un placage licite, c'est très probablement essai, donc l'essai de pénalité devait être accordé d'autant plus que le placage au cou ( revoyez les images!) est gros comme une maison! Donc Grenoble spolié de 7 points

Durant les 20 premières minutes de la seconde mi-temps, soit un quart du match, Grenoble campe dans la moitié de terrain du MHR, souvent à 30-40 m de l'enbut montpelliérain et durant cette période Grenoble va marquer 0 point alors que sur au bas mot 6 actions les 3/4 du MHR sont hors-jeu et jamais sanctionnés ni même prévenus par Trainini. Ce même Trainini va même retourner le couteau dans la plaie des grenoblois en fin de match en montrant à leurs 3/4, alors que le MHR a la possession, qu'ils ne doivent pas se mettre hors-jeu ( sous entendu sinon je vous sanctionne, preuve qu'il pouvait être attentif aux hors-jeu). Il aurait seulement sifflé 3 pénalités contre le MHR sur les 6 méritées et quant bien même Davies n'en aurait passée que 2 c'était 6 points de plus pour Grenoble.

Donc à minima Trainini spolie Grenoble de 13 à 16 points et on voit le résultat final.En plus de ça, il y a eu d'autres placages hauts du MHR non sanctionnés et leur premier essai est juste u, essai casquette de chez casquette! ..

Ceci dit Davies l'ouvreur de Grenoble a pas mal vendangé au pied et fait de très mauvais choix toute la première mi-temps hormis sa passe au pied qui amène l'essai grenoblois juste avant la pause. Davies a fait une prestation qu'aurait pu revendiquer Belleau!.

 

t"en à pas d'autres à nous sortir ?   

[Gourine63]

J'ai trouvé Trainini mauvais comme d'hab mais pas partial, sur l'essai refusé à Grenoble je ne siffle pas plaquage haut personnellement, le bras est d'abord sur l'épaule puis glisse sur le cou parce que l'attaquant chute, y'a rien.

Par contre j'aurais accordé l'essai en suivant car il lâche la balle en arrière pour moi mais ce n'est pas un scandale de le refuser.

Si j'étais arbitre je serais extrêmement mauvais car je laisserais totalement open-bar à l'attaque, je ne sifflerais que la défense et fini les soutiens qui s'écroulent et les déblayages sur le côté.

[grospaquet33]

Les points laissés au pied font mal au decompte final. Grenoble a aussi loupé une enorme occasion de tuer le match.

[el landeno]

« On a un peu marre de ces valses », maintenu en Top 14, Montpellier soulagé mais pas encore stabilisé Montpellier a arraché son maintien sur le fil à Grenoble dimanche (18-20). Se pose maintenant la question de l'avenir du club héraultais après cette saison agitée en coulisses et sur le terrain.

 

 

 

Bernard Laporte a arrêté de faire les cent pas dans le vestiaire visiteur, le visage du président Mohed Altrad s'est décrispé quand il est sorti du banc où il a suivi toute la rencontre et Louis Carbonel a envoyé dans une tribune du stade des Alpes le dernier ballon d'une saison en enfer. Plutôt aux portes de l'enfer car le MHR a finalement échappé à la catastrophe grâce à une pénalité de son ouvreur à moins de quatre minutes de la fin.

 

 

Pas d'invasion de terrain ni de sauts de cabri sur la pelouse de Grenoble, un manager, Patrice Collazo visiblement ému qui a rapidement filé aux vestiaires. Et on n'a pas compté le nombre de fois où on a entendu le mot soulagement dans l'après-match, matérialisé au coup de sifflet final par ces joueurs effondrés au sol, cuits, physiquement et mentalement. « J'ai fini avec des crampes, les deux mollets m'ont lâché, en souriait après coup le capitaine Lenni Nouchi, sorti dans les dernières minutes. Mentalement, je n'ai même pas réussi à célébrer. On le fera ce soir, promis ! »

 

Souverain en début de match (3-14 au quart d'heure de jeu), le MHR a ensuite encaissé un 15-0 qui lui a laissé le temps de craindre le pire, puisqu'il a fallu attendre les deux dernières pénalités de son ouvreur (62e et 77e) pour qu'il concrétise enfin ses entrées dans le camp grenoblois.

 

 

« J'ai vécu ce match calmement », assurait le manager Collazo, les yeux rougis. « Je pense que c'est un menteur », s'est marré son arrière Julien Tisseron, qui avait encore les mains tremblantes en quittant la salle dévolue aux conférences de presse. « C'est un peu lunaire comme sentiment, a résumé le Basque. Un truc très particulier que je n'ai pas envie de revivre. »

« On en a un peu marre de ces valses, il faut qu'on crée quelque chose de serein et de stable »

Julien Tisseron, arrière du MHR

 

 

 

Difficile à chaud pour les joueurs et leur staff de pointer les erreurs à ne plus commettre pour s'éviter de telles frayeurs. « Il y a eu tellement de facteurs », a simplement constaté Tisseron. Un début de saison catastrophique (huit défaites sur les neuf premières journées) et une rechute brutale à partir de la fin mars en font partie si l'on prend seulement en compte le plan comptable.

Le club a aussi payé une instabilité chronique, d'autant plus étonnante qu'il avait décroché son premier bouclier de Brennus il y a deux ans. Beaucoup d'hommes ont changé depuis, Collazo et son staff, débarqués en urgence en novembre, sauvant les meubles au bout d'une saison éreintante.

lire aussiPatrice Collazo, manager de Montpellier : « On est fiers »

Le souci, c'est que le mouvement n'est sûrement pas fini. Après des semaines d'agitation en interne, la majorité centrée autour du management et de la politique sportive de Bernard Laporte, que va décider le président Mohed Altrad dans les heures à venir ? Selon les dernières tendances, son directeur pourrait prendre la présidence du club, ce qui ne serait pas sans conséquence, selon nos informations, sur la partie administrative du club et le vestiaire.

Quid du manager Patrice Collazo et son staff ? Là aussi, mystère, même si la tendance d'un maintien est moins favorable que pour Laporte. « La suite, je ne sais pas, a reconnu Collazo. Mais est-ce que c'est important la suite pour moi ? Quand on est arrivés (en novembre), on nous a donné un objectif, le maintien. On l'a fait. Le plus important, c'était de cocher cette case-là et je vous (les journalistes) laisserai écrire les histoires. Aussi étonnant que ça puisse paraître, j'ai déjà préparé la pré-saison. J'espère que ce match à Grenoble était le premier de la saison prochaine. » Sera-t-il là pour le deuxième ? « On a besoin de stabilité, on veut que ça commence l'année prochaine, a commenté Tisseron. On a un peu marre de ces valses, il faut qu'on crée quelque chose de serein et de stable. » Tout l'inverse de ce qu'il s'est passé cette saison, en somme.

[el landeno]

Pour Grenoble, le coeur n'a pas suffi pour monter en Top 14 Comme l'an dernier, le FC Grenoble s'est tristement arrêté aux portes du Top 14 malgré une saison marquée par un groupe solidaire face aux difficultés économiques du club.

 

 

Les uns après les autres, à chaque arrêt de jeu d'une fin de match étouffante, les Grenoblois restent de longues secondes au sol, les muscles perclus de crampes, avant de repartir, poussés par une ambiance électrique, pour encore une course, encore un ruck, encore un plaquage. « On a dû tirer sur un effectif amoindri ces dernières semaines, soupire l'entraîneur des avants, Patrick Pézery, alors la performance est encore plus valorisante. »

 

 

Pourtant, au bout d'une saison interminable démarrée dans l'incertitude, avec six points en moins au compteur à cause de problèmes financiers - « On nous a dit qu'on avait une chance sur deux d'être au chômage », se souvient le pilier Régis Montagne -, puis encore deux autres retirés en décembre (*), le FC Grenoble, qualifié et défait en finale de Pro D2 la semaine dernière contre Vannes (16-9), s'est incliné de deux petits points lors du match d'accession contre Montpellier (18-20), ogre blessé du Top 14.

(*) Le club avait écopé d'une nouvelle pénalité de six points avant d'en récupérer quatre après appel fin janvier.

C'est la deuxième année de suite que ça leur arrive (19-33 contre Perpignan en 2023) et, sur la pelouse, alors que près de 20 000 personnes les acclament, il y a sur leur visage un mélange de déception et de fierté. « On a répondu présents dans tous les secteurs, c'est frustrant car on perd sur notre manque d'efficacité, estime Montagne, mais malgré nos deux défaites, on peut être fiers de notre saison. »

 

 

« On termine la tête haute, c'est ce souvenir qu'on se laissera »

Steeve Blanc-Mappaz, capitaine du FCG

 

 

 

Il parle de la fatigue, oubliée grâce au coeur et à l'envie ; il évoque ce groupe de potes qui vont prendre des chemins séparés la saison prochaine.

Les joueurs, c'est humain, se raccrochent à ce qu'il y a de beau dans leur saison pour laisser encore un peu la déception à distance. Le capitaine Steeve Blanc-Mappaz, leader exemplaire qui, pendant des mois, les a poussés « à transformer chaque obstacle en challenge », parle de l'amour qu'il ressent pour ce groupe, « qui a su rebasculer cette semaine malgré la déception de la finale perdue contre Vannes ».

3

Avec la victoire de Montpellier, le bilan est désormais de trois partout entre les équipes de Top 14 et de Pro D2 en barrage d'accession. Le MHR et Perpignan, à deux reprises, ont « égalisé » depuis 2022 après les victoires de Grenoble, Brive et Biarritz en 2018, 2019 et 2021.

Il refoule ses larmes pour évoquer son dernier match au Stade des Alpes, lui qu'on pousse à partir « parce qu'on m'a mis dans la case "trop vieux" (33 ans) et ça me gonfle ». Il dit encore qu'il voulait laisser le club là où il l'avait trouvé en arrivant en 2018, c'est-à-dire en Top 14. « Grenoble, c'était une équipe pour moi, proche des montagnes (il est originaire d'Albertville), et je voudrais retenir l'aventure humaine qu'on a vécue cette saison. On termine la tête haute, c'est ce souvenir qu'on se laissera les uns aux autres. C'était important pour moi. »

lire aussiSteeve Blanc-Mappaz après Grenoble-Montpellier : « On les a fait douter, cela n'a pas suffi »

Bien sûr, cela n'est certainement pas suffisant pour le club et, la saison prochaine, Grenoble repartira en Pro D2 (normalement, la Ligue a donné son feu vert et il n'y aura pas de points retirés) dans un contexte économique toujours fragile, comme si le parcours de ce groupe n'avait pas existé.

« C'est ce qui est difficile à avaler, conclut Pézery. Les joueurs ont cravaché toute la saison, contre vents et marées, ils ont surmonté huit points de pénalité mais la réalité, c'est qu'on vient d'aligner deux défaites et, au final, on repart avec rien. Rien du tout. Quand on surmonte toutes ces difficultés, l'idée c'est de se payer et, on peut tourner ça dans tous les sens, parler de fierté, de belles choses, ce n'est pas le cas. »

[Bibio]

Quand tu lis les propos de Collazo après leur "victoire" contre Grenoble, tu comprends tout:

 

« On est fiers. Ça fera chier un peu de monde mais on est fiers de la manière. Ce qui nous a manqué toute l'année, ces money-times qui nous échappent, on est allé le chercher ce soir (dimanche soir). Ce groupe deviendra une équipe après ce match. Ça nous a tellement fui toute la saison, on s'est tellement délité sur les dernières minutes que je suis fier qu'on ait trouvé les ressources pour aller chercher un truc. Félicitations aux mecs car personne ne mettait une pièce sur nous. On a manqué les occasions en première période, de patience dans les zones de marque et on a laissé Grenoble revenir. On perd l'occupation, on n'a pas su sortir de chez nous. On savait que tout allait compter à la fin mais il fallait aller chercher le truc, car on ne nous l'a pas donné.

Les joueurs n'ont pas eu envie de perdre. Tout était réuni pour que Montpellier chute mais finalement, on s'en est sorti. Je pense que c'est le point de départ d'un nouveau truc et on construira à partir de ce match-là. Les vieux démons ont failli ressortir mais au final ils ne sont pas revenus. Le dernier match est souvent la synthèse de votre saison et ça a souvent été le cas. Mais il fallait en avoir pour renverser la tendance. Et ils l'ont fait. Chapeau à eux. "

 

Après des propos tels que ceux-ci, il chie pas la honte le Collazo. J'exècre ce type!...

[steph]

Lui, je ne comprends même pas qu'il continue à trouver du boulot en top14... Enfin, là, normalement, ça devrait commencer à devenir chaud.

[Benoit_montreal]

Je le vois bien remplacer Urios la saison prochaine