421 réponses à ce sujet

[kennaugh]

Ca va être costaud, La Rochelle semble être de retour à un très bon niveau, la prépa physique de fin de saison qui visait les phases finales semble avoir payé. Maintenant, je les vois ps non plus battre Toulouse mais sait on jamais.

[ELSAZOAM]

En face il y a le melon du mollah Ugo…

Tu veux "du gars au mulot", non ?...  

[ZACH]

Toulouse est au repos depuis la finale de la coupe d'Europe.

Ils vont arriver tout frais mais est ce que le manque de rythme peut leur faire du mal en fin de match

Je mise sur LR car c’est un club pas atteint de mélonite et qui gagne ( 2Hcup et plus finales Hcup et Top14).

Quand je vois certaines équipes du Top 14, ça fait du bien  

De plus, le match vs RCT demontre que LR est prête pour Vendredi.

Bin ST reste une machine à gagner 

Allez les rochelais 

[TH69]

C'est Trainini qui arbitre et Brousset pour UBB-SF

https://www.allrugby...itres-2575.html

[Benoit_montreal]

Pas de finale pout Trainini donc. Ça devrait aller à Rainal pour sa dernière.

[Bibio]

C'est Trainini qui arbitre et Brousset pour UBB-SF

https://www.allrugby...itres-2575.html

Trainini qui infantilise les joueurs m'insupporte au plus haut point. En plus il est aux ordres...

[Ptolémée]

un match à ne pas louper 

[ELSAZOAM]

Trainini qui infantilise les joueurs m'insupporte au plus haut point. En plus il est aux ordres...

Heu... tu ne confondrais pas avec un autre des fois ?!...
Mais bon, chacun son avis !

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[l'exil]

Trainini qui infantilise les joueurs m'insupporte au plus haut point. En plus il est aux ordres...

 

Alors le fait de parler posément et d'expliquer ses décisions, voire les règles (que certains joueurs ne connaissent pas) ne me semble pas correspondre à de l'infantilisation. Perso, moi j'aime bien car il reste très clair dans ses coups de sifflet.

 

Et puis dire qu'il est aux ordres, sérieux...

[pims]

Trainini qui infantilise les joueurs m'insupporte au plus haut point. En plus il est aux ordres...

t'as l'air en forme ces derniers temps

[el landeno]

Avant les demi-finales du Top 14, Ugo Mola (Toulouse), Laurent Labit (Stade Français) et Jean-Baptiste Élissalde livrent les secrets d'une composition d'équipe Au moment de la phase finale, chaque entraîneur a rêvé de pouvoir aligner son quinze-type. Mais la réalité dépend de multiples contraintes. Avant les demi-finales du Top 14 (Toulouse - La Rochelle ce vendredi et Stade Français - Bordeaux-Bègles ce samedi), les entraîneurs Ugo Mola (Toulouse) et Laurent Labit (Stade Français) ainsi que l'ex-membre des staffs de Toulouse et Montpellier Jean-Baptiste Élissalde, donnent quelques clés.

 

 

 

« Choisir la composition d'équipe dans ces moments-là me perturbe. Ce n'est jamais agréable de sortir quelqu'un. Mais le choix est toujours fait en fonction de la performance et pour le bien de l'équipe. Jamais contre la personne. La performance reste la base. » La confidence est signée Ugo Mola, le manager du Stade Toulousain, quelques jours avant la finale de la Coupe des champions gagnée face au Leinster (22-31, a.prol.).

 

 

Le quinze-type pour une phase finale se décide-t-il très en amont ? « Tu as un squelette d'équipe dès le début de saison, explique Laurent Labit, le directeur sportif du Stade Français, déjà champion avec Castres (2013) et le Racing 92 (2016). Sauf blessure, à 80 % tu connais ton équipe. »« Ton quinze idéal, tu l'as dans ta tête, mais après le marathon du Top 14 et la lessiveuse de la Coupe d'Europe, tu ne peux jamais l'aligner à cause des blessures, se marre notre consultant Jean-Baptiste Élissalde, champion dans le staff de Toulouse (2011 et 2012) puis de Montpellier (2022). Il y a aussi les joueurs qui se révèlent comme Paul Costes à Toulouse. »

 

« Ton groupe évolue au fil de la saison, appuie Ugo Mola. Cette optique d'équipe-type, c'est trop réducteur. Amener tes mecs à ce qu'ils soient sûrs de jouer, c'est aussi faire baisser leur niveau d'énergie et d'engagement, nécessaire à la haute performance. Même s'il faut reconnaître qu'il y a certains joueurs qu'on a envie d'avoir sur le terrain. Est-ce qu'on se priverait d'un Antoine Dupont ? » La réponse est évidente. Même s'il revenait d'une blessure et n'avait pas joué depuis plusieurs semaines ? Probablement. Romain Ntamack a par exemple été titulaire après huit mois d'absence en phase finale de Coupe d'Europe cette saison.

« Tu peux prendre un risque sur un ou deux joueurs »

Jean-Baptiste Élissalde, champion dans le staff de Toulouse (2011 et 2012) puis de Montpellier (2022)

 

 

 

 

 

« C'est compliqué, tempère néanmoins le manager toulousain, triple champion de France (2019, 2021 et 2023) et double champion d'Europe (2021 et 2024). Il n'y a pas de règle, je ne m'interdis rien. Ça dépend des entraînements. On avait intégré Dorian Aldegheri (en 2021) et Pierre-Louis Barassi (2023) sur une finale après six semaines d'absence. »

« C'est un choix que l'on peut faire sur la qualité du joueur, mais aussi de l'homme, par rapport à son impact sur l'équipe, pense Laurent Labit qui prend la température auprès de ses adjoints et des leaders du groupe avant de trancher. « Tu peux prendre un risque sur un ou deux joueurs maximum, affirme Jean-Baptiste Élissalde, qui a lui-même joué avec une côte cassée pour empocher son premier Brennus avec Toulouse face à Clermont en 2008 (26-20). Dans les effectifs qui couinent, tu prends le risque. Même à 80 %, j'imagine que Ben Tameifuna (touché à l'épaule en barrage) sera sur la feuille de Bordeaux. D'autant plus que Sipili Falatea est déjà absent au poste de pilier droit si important. Fulgence Ouedraogo avait joué avec la main cassée (finale 2011 perdue par Montpellier face à Toulouse). Le risque est calculé et tous les scénarii et solutions ont été anticipés. »

D'où l'importance d'avoir un groupe mobilisé et en alerte. « Le gros du boulot est de maintenir à flot ceux qui ne joueront pas », estime Labit. Un sentiment partagé par Élissalde : « Ces joueurs hors groupe sont presque les plus importants. Il ne faut pas les démobiliser. Ils te permettent de bien t'entraîner. Sans oublier qu'un mec peut être propulsé sur le terrain en cas de blessure de dernière minute. »

Au-delà du quinze de départ, l'apport du banc, a pris un poids prépondérant ces dernières années. Les staffs ne réfléchissent plus à quinze mais à vingt-trois. « Surtout en Top 14 où le règlement te permet des changements tactiques », prévient Élissalde. « Les temps faibles se paient cash, il faut donc être en mesure d'y répondre, souligne Mola. La qualité de ton banc te le permet. Comme le fait de bien terminer un match. On bosse là-dessus depuis 2019 à la suite d'un échange avec Claude Onesta (sélectionneur de l'équipe de France de Handball de 2001 à 2016). On a compris que c'était capital. »

« L'intuition de dernière minute existe »

Ugo Mola, manager de Toulouse

 

 

 

Quid aussi du joueur, pas prévu, très en vue lors des derniers matches de la saison régulière ? « Un mec qui traverse le terrain ou qui enquille tout face aux perches te fait réfléchir et pourquoi pas changer ta vision », reconnaît Laurent Labit. « On couche une première équipe, mais elle peut évoluer, confirme Mola qui prône une décision collégiale et tranche si besoin. Sinon, ça sous-entend que tu ne donnes plus d'importance à l'émulation et aux entraînements. J'en reviens à la performance qui doit être récompensée. »

« Gagner sa place la semaine d'une demi-finale ou d'une finale, c'est très rare, pense Élissalde. L'ailier bordelais Madosh Tambwe a réalisé une grande performance en barrage face au Racing (31-17) et peut avoir marqué des points. Mais si Louis Bielle-Biarrey est à 100 % (il était remplaçant car gêné aux ischio-jambiers) et que l'entraîneur considère qu'il est meilleur que Tambwe, il démarrera. Il y a une part de flair aussi. »« L'intuition de dernière minute existe, affirme Mola. Mais elle ne fait que prendre en compte nos paramètres : la confiance que tu donnes, la confiance que le joueur apporte, la performance et l'impact sur équipe adverse. »

Vient alors enfin la question de savoir si l'adversaire a une incidence sur la composition du quinze de départ ? « C'est à la marge, souffle Laurent Labit. Tu ne changes pas ton jeu sur un match comme ça. Tu t'occupes de ta propre stratégie. » Jean-Baptiste Élissalde est pour sa part plus ouvert : « Si tu as constaté que ton adversaire est friable sur les couvertures, tu peux décider de jouer avec un cinq-huitième (un second ouvreur positionné au centre). Sur la conquête directe également, tu peux privilégier la mêlée ou la touche en mettant plutôt des joueurs terriens qu'aériens. L'adaptation stratégique au contexte existe aussi. Si le talonneur Peato Mauvaka (Toulouse) a démarré la phase finale de Coupe d'Europe où la phase de conquête est moins disputée et le déplacement privilégié à la puissance, ce n'est pas le cas en Top 14. Le staff toulousain pourrait opter pour une titularisation de Julien Marchand. »

« Ce n'est pas le moment de faire des révolutions, conclut Pierre-Henry Broncan, manager de Brive (Pro D2), finaliste avec Castres en 2022 (défaite 29-10 face à Montpellier). Tu t'appuies sur une ossature, celle qui te donne le plus de garanties. Mais il ne faut rien négliger et les attitudes de la semaine sont déterminantes. Tout est important dans le choix des joueurs, même la météo ! » Ces derniers temps, la prévoir est presque plus difficile que concocter son équipe...

 

 

[Bibio]

Le champion de France sera le vainqueur de ce match ( et je vois plutôt le ST que le SR... mais ça sera serré je pense)

 

Alors le fait de parler posément et d'expliquer ses décisions, voire les règles (que certains joueurs ne connaissent pas) ne me semble pas correspondre à de l'infantilisation. Perso, moi j'aime bien car il reste très clair dans ses coups de sifflet.

 

Et puis dire qu'il est aux ordres, sérieux...

 

Il n'y a pas que les mots, le ton est aussi important ...

[Lavande50]

Je préfèrerais que le vainqueur du Top14 soit issu de l'autre demi-finale.

[Gourine63]

Moi tout me va sauf le SF champion car ça voudrait dire que la régularité et la construction d'une équipe est moins importante que de sortir une saison de l'espace de son arrière-train après avoir nagé en eaux troubles pendant quasiment 8 ans.

J'aime pas quand l'opportunisme à la castraise domine les clubs ayant un fond de jeu et un vécu.

[Buckaroo]

Je serai personnellement pour Toulouse, et ce pour de basses raisons : c'est déjà assez dur de vivre cette période triste pour l'ASM, alors j'aimerais autant que d'autres clubs (UBB et LR) n'en profitent pas pour glaner leur premier Brennus. Si Toulouse gagne, ça fera un bouclier de plus, soit strictement aucune différence, ils en ont déjà tellement qu'ils ne les comptent plus et ne les savourent pas vraiment non plus.