375 réponses à ce sujet

[jm12]

Tu as totalement raison.

Le principe de ces team building est de sortir du cadre de référence pour favoriser l’expression des personnalités.

De fait, des personnalités se révèlent à eux même, au groupe et aux managers.

Ça crée du lien car, ce qui est ludique, ce qui fait sortir de sa zone de confort tirent le collectif vers le haut 

Je l’ai expérimenté pendant 30 ans de carrière 

+1   Voilà ! Tu l'as mieux  exprimé que moi !

[ZACH]

Finalement les tenants de la fête du slip avaient tout bon.

C’est l’objectif qui n’était pas bon 

[Babé03]

Malgré son expérience internationale, le Samoan Michael Ala’alatoa est en phase d’apprentissage depuis son arrivée à Clermont, cet été. Le pilier droit découvre un monde nouveau.

Un nouveau club, un nouveau pays, de nouveaux coéquipiers, un nouveau rugby et aussi une nouvelle langue. À 33 ans, Michael Ala’alatoa va devoir tout (ou presque) réapprendre.

Le pilier droit, capitaine des Samoas, arrivé cet été en provenance du Leinster, a bien conscience de débarquer dans un nouveau monde qu’il va devoir apprivoiser au cours des prochaines semaines.

« Certes, mais c’est également rafraîchissant de repartir sur des bases nouvelles », convient l’intéressé, même s’il a conscience que cela passera par quelques moments délicats. « Cela fait du bien de se remettre en question et de sortir de sa zone de confort ».

Ainsi, vendredi dernier, à Issoire, contre Toulon, Michael Ala’alatoa a été pénalisé un peu naïvement sur la dernière mêlée fermée du match. « Welcome in France », sourit Christophe Urios. Une faute qui a coûté trois points et la victoire.

"Il va devoir s’adapter à la mêlée française"

« Il va falloir que j’apprenne, reconnaît le Samoan. Ici, on ne joue pas du tout les mêlées comme au Royaume-Uni ou dans l’hémisphère sud ».

« C’est sûr qu’il va devoir s’adapter à la mêlée française. Ce n’est pas encore le cas », reconnaît le coach clermontois prêt à lui accorder le temps nécessaire dans ce secteur mais aussi dans les autres domaines.

« Il est encore un peu bloqué par la langue et toutes ces nouveautés, indique le coach. Mais on sent que c’est un mec appelé à être important dans notre effectif. Il va nous apporter de l’expérience et du calme », insiste Christophe Urios.

Vingt-sept minutes de jeu en première période à Nevers ; trente et une minutes en fin de match vendredi à Issoire face au RCT : Michael Ala’alatoa a encore beaucoup de choses à découvrir dans le rugby français et le Top 14 en particulier. D’autant qu’il vient de passer trois saisons à Dublin, au Leinster (72 matchs dont 37 comme titulaire). Ce qui se fait de mieux en Europe ces dernières saisons avec Toulouse, même s’il n’était pas forcément titulaire dans les matchs importants, notamment en Champions Cup.

"J'ai hâte que le championnat commence"

Là aussi, il va devoir intégrer de nouveaux lancements mais aussi de nouveaux principes de jeu. « Le rugby pratiqué au Leinster est très structuré. La patience est de mise. Ici, il y a le french flair et des off loads et les factors X sont plus importants. Je suis impatient de découvrir ce rugby. Les méthodes d’entraînements sont également différentes. Mais cela fait du bien de changer et de ne plus faire ce que je faisais ces dernières saisons ».

Dans cette phase de découverte et d’apprentissage, il va pouvoir s’appuyer sur Fritz Lee. Ensemble, ils ont porté les maillots des Iles Samoa, notamment lors de la dernière Coupe du monde.

« C’est un gars bien », appuie Michael Ala’alatoa. Nous avons fait une bonne préparation durant ces six dernières semaines. Et j’ai hâte moi aussi que le championnat commence ». 

[Buckaroo]

Où l'on apprend que Dublin est au Royaume-Uni...

[Silhouette]

Intéressant aussi d'être dans cette situation, et de ne pas avoir d'entraîneur de la melee. Je pense que ça doit vachement l'aider ..

[InASMWeTrust]

"Là aussi, il va devoir intégrer de nouveaux lancements mais aussi de nouveaux principes de jeu." 

Je pense que côté combinaison des avants dans le jeu, il sera moins sollicité sur les combis à apprendre qu'au Leinster. 

[layathollah]

"Il va nous apporter de lexpérience et du calme"
L'image de sa rentrée contre la Rochelle en 2023 me vient en tête.

[cetotomatos]

"Là aussi, il va devoir intégrer de nouveaux lancements mais aussi de nouveaux principes de jeu." 
Je pense que côté combinaison des avants dans le jeu, il sera moins sollicité sur les combis à apprendre qu'au Leinster. 

Passez des gammes au bordel en fait.

[zeguest]

Comme il arrivait à jouer au Leinster avec ses 150 lancements et schémas de jeu, il devrait peut être parvenir à intégrer le plan de jeu de l ASM.

[Jean Paul Belmondo]

Intéressant aussi d'être dans cette situation, et de ne pas avoir d'entraîneur de la melee. Je pense que ça doit vachement l'aider ..

 

Pas d'entraineur dédié à la mêlée ça veut pas dire que tu bosses pas la mélée .. Urios ou Lairle peuvent le prendre en charge sans souci.

 

ça représente au max  2 séances d'une heure dans la semaine.

[InASMWeTrust]

L'entraînement, ça sert à rien. Tu as des couilles ou tu n'en a pas. Le reste d'est du bla-bla. 

[Silhouette]

 
Pas d'entraineur dédié à la mêlée ça veut pas dire que tu bosses pas la mélée .. Urios ou Lairle peuvent le prendre en charge sans souci.
 
ça représente au max  2 séances d'une heure dans la semaine.

Ça pour moi c'est si tout se passe bien et que tu as juste a répète des gammes (et comme dit au dessus, c'est du temps passe a ne pas faire autre chose pour ces coachs). Mais quand on a un vrai boulot de fond a faire, que ce soit pour des recrues pas habituées au Top14, ou des espoirs, un entraîneur dédié a la melee (ou melee plus touche, soyons fous) me paraît pas une idée délirante ..

[ELSAZOAM]

 

"Au Leinster, les mêlées duraient 5 secondes, ici c'est 20" : le dur apprentissage de Michael Ala'alatoa (ASM Clermont)

 

Le pilier droit samoan de l'ASM a dû beaucoup travailler pour s'adapter au mieux aux mêlées du Top 14, très différentes de ce qu'il a connu avant, en Irlande notamment. © Enzo Boudol-Hanggeli

 

L’expérimenté pilier samoan pourrait connaître sa première titularisation avec l'ASM, samedi (14 h 30), à Perpignan. Le néo-Clermontois a pris du temps avant de s’acclimater avec les mêlées françaises. Très différentes de ce qu’il a connu au Leinster. Explications.

Michael Ala’alatoa figurait au début de l’été comme la figure de proue du recrutement de l’ASM Clermont. Pilier droit du Leinster depuis 2021, international et capitaine samoan, le joueur âgé de 33 ans possède en effet un sacré CV (72 matchs avec la province irlandaise dont 24 en Champions Cup, 76 rencontres en Super Rugby et 20 sélections au total, dont 8 en Coupe du monde).

 

Mais voilà, le Top 14 n’est pas le championnat le plus exigeant de la planète rugby pour rien. Surtout devant, où le combat est acharné chaque week-end. Et pour pouvoir être le plus compétitif possible, Michael Ala’alatoa a dû cravacher comme un damné à l’entraînement afin d'être prêt et efficace sur le terrain. Et notamment sur le secteur clé de la mêlée.

 

« Il doit s’adapter au Top 14 et aux formes de jeu que requiert cette compétition, explique l’entraîneur des avants, Julien Laïrle. Il s’adapte aux entraînements et tout particulièrement dans le secteur de la mêlée. Il y a un travail de fond qui est effectué avec lui. Il est très professionnel et je peux vous dire qu’il est investi à 200 %. »

 

C’est que l’exercice nécessite, en effet, un temps d’adaptation. On pourrait croire que toutes les mêlées du monde se ressemblent, c’est un peu plus complexe que cela. Et tout particulièrement pour un pilier droit qui doit pousser avec les deux épaules. Dans l’United Rugby Championship, les repères n’étant pas tout à fait similaires. 

 

« Ici, les mêlées sont très jouées et très disputées, réfléchit le technicien. Dans l’United Rugby Championship, c’est quand même moins le cas. Les ballons ressortent notamment bien plus rapidement. Elles sont aussi probablement moins trichées (sic). On sait tous qu’en Top 14, la conquête est l’un des fondements du jeu. »

 

Un travail accentué sur les pas

Un travail de sape qui a été difficile pour Michael Ala’alatoa, joueur pourtant ô combien expérimenté. « Avec le Leinster, nous voulions être tout de suite dominants et rapidement aller de l’avant. Ils aiment jouer rapidement après les mêlées. Donc le ballon restait 5 secondes tout au plus et il disparaissait. Ici, en Top 14, les mêlées durent environ 20 secondes. »

 

Il lui a donc fallu totalement repenser sa position ainsi que le travail des appuis. « J’ai effectué beaucoup de travail en dehors des séances, en un contre un avec un entraîneur des avants. En dehors de la position, il fallait aussi modifier comment utiliser mes pieds. Ne pas faire des grands pas mais plutôt des petits. »

 

Michael Ala’alatoa aura certainement l’occasion de mettre en pratique ses gammes, samedi (14 h 30), à Perpignan. Un test grandeur nature et une véritable épreuve qu’il n’a pas encore connus dans sa riche carrière. 

 

Arnaud Clergue (LM - 26/09/24)

 

[xdderf63]

Conclusion : Slimani, il sert plus à rien au Leinster ?