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(Finale) : Toulouse - Bordeaux


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194 réponses à ce sujet

Sondage : Qui sera champion de France ?

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Qui remportera la finale ?

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#61 guyom24

guyom24

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Posté 23 juin 2024 - 21:29

La seule chance de l'UBB de remporter la finale c'est de mettre de la folie permanente durant tout le match et de faire les trucs les plus chelou possible! Par exemple, je serais Bru je dirais à Penaud: " Ecoutes mon petit Damian, t'as l'habitude de faire des courses en travers de 30 mètres, ben là tu vas faire à nouveau des courses de 30 mètres, mais en arrière! sur un malentendu, ça peut marcher..", 

Une autre bonne chance de l'UBB : Nieti sera titualire...


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#62 el landeno

el landeno

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Posté 23 juin 2024 - 21:33

Mathis Castro-Ferreira et Paul Costes, pépites du Stade Toulousain : « On est comme un gamin qui découvre un trésor » Révélations de la saison toulousaine, le trois-quarts centre Paul Costes (21 ans) et le troisième-ligne Mathis Castro-Ferreira (20 ans) évoquent ensemble leurs débuts détonants chez les pros.

 
 

Ce jour-là, un lundi, Paul Costes (21 ans) et Mathis Castro-Ferreira (20 ans) se sont pointés ensemble dans la salle de presse du stade Ernest-Wallon. À peine essoufflés après l'entraînement, encore en tenue sportive, ils se sont alors livrés sans retenue, et avec un certain sens de la répartie et du chambrage, à un entretien croisé autour de leur saison canon au Stade Toulousain et, plus globalement, de l'intégration des jeunes dans un club qui doit beaucoup de sa réussite actuelle à la qualité de sa formation.

 
 

« Vous souvenez-vous de votre première rencontre ?
- Paul Costes : Ça devait être peu de temps après notre arrivée au club, en 2018. Vu que Mathis était hébergé par ma belle-tante à l'époque, on se voyait à l'occasion de repas de famille. Comme on avait un an d'écart, on ne jouait pas dans la même catégorie. Il était minime 2e année et moi cadet 1re année. Pour la petite anecdote, je me souviens que quand son équipe avait affronté mes poulains de la génération 2004 de Colomiers, mon ancien club, j'avais passé tout mon temps au bord du terrain à essayer de le faire dégoupiller, ce qui nous avait valu quelques échanges assez tumultueux.
- Mathis Castro-Ferreira : Je me souviens très bien de ça, c'était sur le terrain annexe du stade Ernest-Wallon. Paul était derrière la main courante avec ses anciens camarades, et comme c'était un derby assez intense, il cherchait par tous les moyens à me faire sortir du match. Mais il avait loupé son coup, car on avait gagné !

 

Que représentait le Stade Toulousain lorsque vous étiez gamin ?
- M. C-F. : Pour un petit de la campagne comme moi, qui a grandi à Maubourguet (Hautes-Pyrénées), c'était le club rêvé. Celui qui gagnait des titres, qui faisait beaucoup jouer ses jeunes, et que tout gamin à l'école de rugby souhaitait intégrer.
- P. C. : Moi, comme j'étais à Colomiers, je voyais plutôt le Stade Toulousain comme le gros rival. Mon objectif n'était pas d'y jouer mais de le battre. Mais plus les années ont passé, plus j'ai senti que ça serait plus intéressant pour mon développement personnel de poursuivre ma carrière à Toulouse, dans un club qui se démarquait surtout des autres par son envie d'envoyer du jeu. Quand on a commencé à trop perdre avec Colomiers, je suis donc venu au Stade.
- M. C- F. : Dès que ça a commencé à puer, tu t'es dit ''hop ! je change'', c'est ça ?
- P. C. : Ouais voilà, j'étais un peu un imposteur (rires).
- M. C- F. : Alors que moi, j'étais un vrai supporter du Stade. J'allais aux matches avec mes parents. Je prenais les posters officiels de l'équipe et je les faisais dédicacer par les joueurs avant de les afficher au-dessus de mon bureau de collégien à la maison. J'avais des photos de Thierry Dusautoir, Louis Picamoles...
- P. C. : Moi, les posters, c'était plutôt (Aurélien) Rougerie, et Fritz Lee. J'étais pour Clermont, en fait ! Mon papa (Arnaud Costes, ancien troisième-ligne international) y a joué pendant douze ans. J'ai donc vécu ma passion du rugby à travers lui, en allant voir les matches au Michelin avec mes grands-parents. Même si j'étais un citadin de Toulouse, j'ai supporté l'ASM jusqu'en cadets. Lors de la finale du Top 14 2019 (gagné par Toulouse 24-18), j'étais d'ailleurs pour Clermont, même si je jouais déjà pour le Stade.

 
 

« Au début, on n'a surtout pas envie de faire une connerie, la boulette qui pourrait laisser penser que notre intégration est prématurée »

Paul Costes

 
 
 

Passons à votre premier entraînement avec les pros. Dans quel état étiez-vous ?
- M. C- F. : Dans celui de ne surtout pas blesser une des stars de l'équipe ! On se retrouve quand même à côté de mecs comme Antoine Dupont, le meilleur joueur du monde...
- P. C. : Au début, on n'a surtout pas envie de faire une connerie, la boulette qui pourrait laisser penser que notre intégration est prématurée.
- M. C- F. : On est comme un gamin qui découvre un trésor et qui, parfois, a juste envie de se figer pour mieux regarder ce qui se passe autour de lui. C'est impressionnant. Et en même temps, il faut savoir se montrer en étant propre dans tout ce qu'on entreprend.

Comment expliquer que cela semble si facile pour un jeune d'éclore au Stade Toulousain ?
- M. C- F. : L'avantage, c'est que le système de jeu est le même partout, dans les catégories jeunes comme chez les pros. Quand on monte les échelons, on n'est jamais perdus. On a déjà les bases, on sait ce qu'il faut faire.
- P. C. : Ici, contrairement à d'autres clubs, il y a beaucoup de passerelles entre les Espoirs et les pros. Les entraîneurs des Espoirs, David Mélé et Jerome Kaino, sont présents à tous les matches et à tous les entraînements des pros. Quand le lien est aussi étroit, c'est beaucoup plus simple pour les coaches des pros d'établir des tableaux hiérarchiques avec qui peut monter, qui a le niveau, etc.

Vous avez tous les deux débuté en Top 14 par un match à l'extérieur...
- P. C. : Oui, il faut à peu près 7 ou 8 mecs pétés pour qu'on commence à jouer (rires) ! On doit attendre l'occasion, et dès qu'elle arrive, parce qu'elle arrive toujours si on s'en donne les moyens, on ne doit surtout pas la louper.
- M. C- F. : J'ai joué mon premier match à Oyonnax (9 septembre 2023, victoire 21-27). J'étais un peu stressé, parce que je n'avais pas envie de me trouer. Dans ces cas-là, la première action est très importante. Il faut être le plus précis possible. Pour moi, c'était un plaquage sur un lancement adverse. Ça s'était bien passé.
- P. C. : Sauf que tu avais pris un pet sur la carafe !
- M. C- F. : Oui, sur la dernière action. J'avais l'arcade un peu ouverte.

- P. C. : Perso, j'ai démarré remplaçant à Bayonne (29 octobre 2022, défaite 26-22). Mon grand copain Théo Ntamack était titulaire, et des joueurs comme Clément Vergé, Joel Merkler et Eto Bainivalu disputaient aussi leur premier match.

« Paul, c'est le créateur, le mec qui aime bien faire le geste fabuleux, la chistera au contact par-dessus le défenseur »

Mathis Castro-Ferreira

 
 
 

Votre première titularisation commune, vous vous en souvenez ?
- P. C. : À Pau.
- M. C. F. : Non, j'étais remplaçant.

C'était à Clermont, en février dernier (victoire 33-37).
- P. C. : Ah oui ! Un bon souvenir, en plus.
- M. C-F. : Un match où l'on s'est surpris à répondre présent dans les zones d'affrontement, à mettre de la vitesse dans le jeu. On s'était dit qu'on n'avait rien à perdre, qu'il fallait donc qu'on se lâche, qu'on joue au rugby, qu'on prenne du plaisir sur le terrain, un peu comme à Montpellier (victoire 22-29), récemment.
- P. C. : De toute façon, quand on te jette dans la gueule du loup comme ça un dimanche soir à 21 h, dans un stade Michelin rempli, face à la grosse équipe de Clermont, tu ne peux pas avoir d'autres ambitions que celle de jouer ton rugby sans te prendre la tête. C'est ce soir-là que Mathis a commencé à mettre des doublés, en plus !

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Paul Costes et Matthis Castro-Ferreira (au centre) après leur victoire face à l'Irlande en finale de la Coupe du monde U20 2023 (A. Vlotman/Gallo//Presse Sports)

Justement, comment expliquer que l'avant Castro-Ferreira ait déjà marqué 9 essais en Top 14 cette saison tandis que le trois-quarts Costes n'en a inscrit qu'un ?
- M. C- F. : Parce que Paul, c'est le créateur, le mec qui aime bien faire le geste fabuleux, la chistera au contact par-dessus le défenseur.
- P. C. : Le problème, c'est que Mathis vient nous piquer la place au centre dans la ligne. Nous, pendant ce temps, on doit faire des rucks (rires) !
- M. C- F. : Tu n'en fais pas souvent, des rucks !
- P. C. : Après, il faut être là au bon moment, et Mathis a cette vision du coup qui peut aller loin, et il a l'art de s'y incruster pour conclure.
- M. C- F. : Peut-être que j'ai un peu de chance, aussi.
- P. C. : Sauf que tu marquais déjà autant d'essais dans les catégories jeunes ! Comme t'étais gaulé comme un mec de quatre ans de plus et que tu allais très vite, c'était assez facile pour toi.
- M. C- F. : C'est vrai, on m'a souvent appelé "Le croqueur". D'ailleurs, je me souviens que tu me mettais quelques "nuquettes'' en cadets à chaque fois que je gardais un peu trop le ballon.
- P. C. : Un surnom que je vais vite remettre au goût du jour (rires) !

« On sort rarement dans l'année, mais quand on le fait, on le fait bien. Surtout en fin de saison, quand on gagne un titre »

Paul Costes

 
 
 

Vos partenaires d'entraînement vous ont-ils regardé différemment, l'été dernier, lorsque vous êtes revenus d'Afrique du Sud avec un titre de champion du monde des moins de 20 ans ?
- M. C- F. : Paul, oui, surtout après la finale qu'il nous sort contre l'Irlande (50-14) ! Il est revenu comme le Dieu du rugby français.
- P. C. : Non, pas du tout. Ici, la plupart des pros ont gagné bien plus de titres que ça. Aucun regard n'a changé sur nous, et c'est tant mieux.
- M. C- F. : On s'est d'ailleurs remis au travail dès notre retour.
- P. C. : Bon, on a quand même célébré un peu. Surtout qu'on avait aussi remporté le titre Espoirs avec le Stade juste avant de partir à la Coupe du monde.
- M. C- F. : Ouais, autant vous dire que la semaine avant de partir en Afrique du Sud avait été un peu agitée. On est arrivés là-bas avec les cheveux blonds. Comme Paul est déjà blond, il s'était fait quelques mèches roses (rires).

Qui est le plus bringueur de vous deux ?
- P. C. : C'est lui.
- M. C- F. : Un peu plus, mais je ne sors pas souvent. La saison dernière, avec les Espoirs, on allait tout le temps boire un verre le dimanche soir après les matches. Mais cette année, non.
- P. C. : En fait, on sort rarement dans l'année, mais quand on le fait, on le fait bien. Surtout en fin de saison, quand on gagne un titre. Sinon, le reste du temps, avec l'intensité des entraînements et des matches, on a plutôt intérêt à rester calme.

Mathis, quand est-ce que Paul vous a le plus impressionné ?
- M. C-F. : Pendant la Coupe du monde U20 2023, à l'hôtel, quand il faisait dégoupiller les piliers à table. J'ai chopé le plus gros fou rire de ma vie quand il a rendu fou Lino Julien, celui du Racing. Comme Lino vient des Pays-Bas, il ne comprend pas trop le second degré en français. Donc, dès que Paul a vu que c'était son point faible, il s'en est donné à coeur joie. Sinon, sur le terrain, c'était aussi pendant ce Mondial U20. Il a montré qu'il savait être un très gros défenseur, un mec qui ne s'échappait pas souvent.

Et vous Paul, quelle est la fois où Mathis vous a le plus épaté ?
- P. C. : Sûrement cette saison, à Clermont. Au-delà de son doublé, il y avait réussi une perf très impressionnante contre des mecs pourtant très expérimentés. C'est un joueur hargneux qui arrive toujours à se sortir des contacts avec facilité.

Si vous deviez chacun prendre une des qualités de l'autre, laquelle choisiriez-vous ?
- P. C. : Sa faculté à marquer des essais, évidemment.
- M. C- F. : Moi, j'hésite entre deux.
- P. C. : Ma coupe de cheveux ?
- M. C- F. : Non. Plutôt ton côté chambreur et ta faculté à sortir des passes géniales. Ce style unique qui te fait briller. »

 


#63 Bon Chasseur

Bon Chasseur

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Posté 23 juin 2024 - 22:02

 

ils l'ont déjà fait en 1996 et en 2021 

correct, j'étais resté sur la fameuse citation de Novès "le doublé, c'est impossible".

Et du coup, ça le ferait quand même chier que ça arrive encore cette année :P



#64 Y&B

Y&B

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Posté 23 juin 2024 - 23:39

Y'a pas de foot vendredi soir


Il y a TOUJOURS du foot quelque part ….

quand tu lis l'effectif pro du pack ST çà laisse pantois 
- 10 piliers
- 5 talonneurs
- 8 seconde ligne
- 11 troisième ligne 
c'est plus que quadruplé chaque poste , et tous d'un niveau élevé  :blink:


Et le tout bien sûr dans le strict respect du salary cap … :)

#65 jm12

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Posté 24 juin 2024 - 06:46

La Rochelle, a montré ce qu'il faut tenter de faire devant Toulouse pour espérer, les emmerder et surtout....ce, qu'il ne faut pas faire en mettant une très grosse pression défensive à tous niveaux sans flirter avec l 'indiscipline ce qui est le risque majeur quand tu montes l 'intensité à ce niveau !

 

C 'est dire , quelle est la difficulté proposée et je ne crois pas l 'UBB capable de tenir ce rythme 80mn d'autant que je les ai sentis baisser lors des dix dernières minutes !

 

Certes Toulouse peut se rater plus ou moins 20mn durant mais pas 80 ou 84mn..ils ont deux canonniers avec Kinghorn et Ramos au top du top et de loin, une charnière bien au dessus sans Jalibert à l 'UBB , m'ont paru pas sereins en touche et peut-être sans Bayle, et avec Tameifuna , seront-ils mieux en mêlée , et encore ...

 

Un match reste un match et à fortiori une finale" qui ne se joue pas , mais se gagne" et là l 'expérience Toulousaine fera son oeuvre !

 

Je ne pense pas une seconde qu'il y ait : photo !

 

Déjà bien pour l 'UBB de se retrouver en finale car en demi ils ont plus que frôlé la correctionnelle sans un jour "sans" de Segonds , un arbitrage plutôt favorable avec pour moi un essai de pénalité non sifflé sur la faute de Cazeaux"  cynique ", deux vidéos non demandées sur des actions plus que discutables et la frustration du Stade Français est légitime !



#66 layathollah

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Posté 24 juin 2024 - 06:47

" P. C. : Moi, les posters, c'était plutôt (Aurélien) Rougerie, et Fritz Lee. J'étais pour Clermont, en fait ! Mon papa (Arnaud Costes, ancien troisième-ligne international) y a joué pendant douze ans. J'ai donc vécu ma passion du rugby à travers lui, en allant voir les matches au Michelin avec mes grands-parents. Même si j'étais un citadin de Toulouse, j'ai supporté l'ASM jusqu'en cadets. Lors de la finale du Top 14 2019 (gagné par Toulouse 24-18), j'étais d'ailleurs pour Clermont, même si je jouais déjà pour le Stade."

😩
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#67 Buckaroo

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Posté 24 juin 2024 - 07:04

Je retiens aussi :

 

- P. C. : Ici, contrairement à d'autres clubs, il y a beaucoup de passerelles entre les Espoirs et les pros. Les entraîneurs des Espoirs, David Mélé et Jerome Kaino, sont présents à tous les matches et à tous les entraînements des pros. Quand le lien est aussi étroit, c'est beaucoup plus simple pour les coaches des pros d'établir des tableaux hiérarchiques avec qui peut monter, qui a le niveau, etc.

 

Pas sûr que ce soit le cas chez nous.


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#68 Gourine63

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Posté 24 juin 2024 - 07:26

" P. C. : Moi, les posters, c'était plutôt (Aurélien) Rougerie, et Fritz Lee. J'étais pour Clermont, en fait ! Mon papa (Arnaud Costes, ancien troisième-ligne international) y a joué pendant douze ans. J'ai donc vécu ma passion du rugby à travers lui, en allant voir les matches au Michelin avec mes grands-parents. Même si j'étais un citadin de Toulouse, j'ai supporté l'ASM jusqu'en cadets. Lors de la finale du Top 14 2019 (gagné par Toulouse 24-18), j'étais d'ailleurs pour Clermont, même si je jouais déjà pour le Stade."

😩


Il faut rapatrier ce mec le plus tôt possible, même dans 5-6 ans et blessé longue durée avec staphylocoque doré je m'en fous mais un Costes doit jouer à l'ASM !
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#69 Patator

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Posté 24 juin 2024 - 07:55

Les deux meilleures équipes de la saison qui se rencontrent en finale, c'est très bien. On devrait voir du rugby en plus. Toulouse favori bien sûr mais sait-on jamais...



#70 Bon Chasseur

Bon Chasseur

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Posté 24 juin 2024 - 08:23

La Rochelle, a montré ce qu'il faut tenter de faire devant Toulouse pour espérer, les emmerder et surtout....ce, qu'il ne faut pas faire en mettant une très grosse pression défensive à tous niveaux sans flirter avec l 'indiscipline ce qui est le risque majeur quand tu montes l 'intensité à ce niveau !

 

oui la défense c'est sûr, et ce n'est pas optionnel de toute façon sur une finale, tu dois faire le meilleur match de ta vie en défense avant toute chose (avant l'attaque).

 

Mais aussi LaR a malmené les Toulousains sur le défi physique, et notamment sur le maul qui a été un gros avantage en 1èMT, mais je ne pense pas que l'UBB puisse compter sur ce jeu là. Leur jeu c'est le Rugby de vitesse et d'évitement et ils sont en qq sorte un Toulouse bis et je ne pense pas qu'ils auront le recul et l'expérience collective pour modifier leur jeu comme ils devraient pour gagner cette finale contre Toulouse.



#71 Eria

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Posté 24 juin 2024 - 09:07

Toulouse est incontournable il feront leur doublé,mais une surprise ne serait pas désagréable...
J'espère que se sera un beau match bien arbitré...
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#72 Lima

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Posté 24 juin 2024 - 09:54

Le SF s’est tiré plusieurs balles dans le pied et ne peut s’en prendre qu’à lui même et je me demande comment il a pu perdre contre l’UBB….

Pour la finale, je ne vois pas comment le ST pourrait perdre .

UBB à un belle liste de CV en 3/4, mais ça ne fait pas gagner 

Pour moi c’est du niveau Top 4 

Face au ST en finale on aura la vérité des prix 

Le SF ils ont surtout buté sur leur manque criant de créativité dans l'utilisation du ballon. Les 20 dernières minutes ils savaient plus quoi en faire a part occuper et espérer des touches proches des lignes. Alors ok : pack très solide, occupation impressionnante, stratégie intelligente... tout au long de la saison ça suffit, mais au global, dans tous ces compartiments du jeu ils n'étaient pas assez au dessus des autres pour aller plus haut sans proposer autre chose selon moi : pas la surpuissance rochelaise devant, pas la ligne de 3/4 XXL de l'UBB non plus...

 

Pour la finale, comme la majorité, je vois Toulouse, mais je les ai trouvé en dedans contre La Rochelle, la perte de Baille et l'absence de Meafou rééquilibre un peu les choses devant, donc un 60/40 pour moi.


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#73 Bibio

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Posté 24 juin 2024 - 09:59

La Rochelle, a montré ce qu'il faut tenter de faire devant Toulouse pour espérer, les emmerder et surtout....ce, qu'il ne faut pas faire en mettant une très grosse pression défensive à tous niveaux sans flirter avec l 'indiscipline ce qui est le risque majeur quand tu montes l 'intensité à ce niveau !

 

C 'est dire , quelle est la difficulté proposée et je ne crois pas l 'UBB capable de tenir ce rythme 80mn d'autant que je les ai sentis baisser lors des dix dernières minutes !

 

Certes Toulouse peut se rater plus ou moins 20mn durant mais pas 80 ou 84mn..ils ont deux canonniers avec Kinghorn et Ramos au top du top et de loin, une charnière bien au dessus sans Jalibert à l 'UBB , m'ont paru pas sereins en touche et peut-être sans Bayle, et avec Tameifuna , seront-ils mieux en mêlée , et encore ...

 

Un match reste un match et à fortiori une finale" qui ne se joue pas , mais se gagne" et là l 'expérience Toulousaine fera son oeuvre !

 

Je ne pense pas une seconde qu'il y ait : photo !

 

Déjà bien pour l 'UBB de se retrouver en finale car en demi ils ont plus que frôlé la correctionnelle sans un jour "sans" de Segonds , un arbitrage plutôt favorable avec pour moi un essai de pénalité non sifflé sur la faute de Cazeaux"  cynique ", deux vidéos non demandées sur des actions plus que discutables et la frustration du Stade Français est légitime !

L'UBB c'est moins costaud que la Rochelle devant, et d'autant plus si Ben Tameifuna n'est pas là. De plus l'UBB a montré contre le SF que la conquête en  touche c'était pas top...Donc je vois l'UBB souffrir énormément devant,en conquête et d'autant plus que la fin de match contre le SF a montré qu'ils étaient cuits physiquement alors que le ST est lui encore plein de fraîcheur physique.

Pour moi l'équation semble impossible à résoudre pour Bru et ses troupes, et si salut il peut y avoir pour l'UBB c'est de mettre de la folie derrière avec leurs 3/4 de feu en tentant de varier le jeu un max en jouant tout à la main. Mais compte-tenu que le ST a prouvé en finale de Champions Cup contre le Leinster qu'il pouvait opposer une terrible défense de fer, j'y vois mal barré pour l'UBB!


Le SF ils ont surtout buté sur leur manque criant de créativité dans l'utilisation du ballon. Les 20 dernières minutes ils savaient plus quoi en faire a part occuper et espérer des touches proches des lignes. Alors ok : pack très solide, occupation impressionnante, stratégie intelligente... tout au long de la saison ça suffit, mais au global, dans tous ces compartiments du jeu ils n'étaient pas assez au dessus des autres pour aller plus haut sans proposer autre chose selon moi : pas la surpuissance rochelaise devant, pas la ligne de 3/4 XXL de l'UBB non plus...

 

Pour la finale, comme la majorité, je vois Toulouse, mais je les ai trouvé en dedans contre La Rochelle, la perte de Baille et l'absence de Meafou rééquilibre un peu les choses devant, donc un 60/40 pour moi.

Je te trouve trés optimiste pour l'UBB: Pour moi c'est plus du 90/10 pour le ST que du 60/40



#74 Lima

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Posté 24 juin 2024 - 10:04

Je te trouve trés optimiste pour l'UBB: Pour moi c'est plus du 90/10 pour le ST que du 60/40

 

Oui, je suis volontairement optimiste car je n'ai pas envie de voir une finale à sens unique (même si cela n'arrivera pas a mon avis). Disons 70/30 alors !

 

Néanmoins, je trouve qu'il y a vraiment des motifs d'espoirs pour l'UBB : un Lucu en feu comme en demie, une ligne de 3/4 infernale qui se trouverait sur chaque attaque, un exploit de Penaud etc. Et devant, les pertes de Baille et Meafou changent vraiment beaucoup de choses selon moi, même si de l'autre côté Big Ben va beaucoup manquer aussi s'il n'est pas remis.
 



#75 Bougnat et Breton

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Posté 24 juin 2024 - 10:34

Le vrai, le seul, l'unique arrive la saison prochaine

Quoique ce soit un poil contestable puisque Vannes n'est pas véritablement sur la façade Atlantique mais plutôt au fin fond du golfe du Morbihan :P






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