891 réponses à ce sujet

[Y&B]

le fait c'est que Toulouse a remporté le Brennus en 2019. Le reste...

Ben oui, mais tu nous demandes une finale qui se joue sur l’arbitrage, on est plusieurs à te répondre (et avec des arguments) et à la fin tu bottes en touche …

[isitolo31]

C'est pas faux, mais ce qu'il dit est la pure vérité malheureusement. Cette finale a été apportée sur un plateau au ST, c'est un fait.

Le lendemain première page de LM, l'action est claire comme de l'eau de roche... Après, on prend un essai de 70 mètres derrière, c'était pas une conséquence obligée de la perte de cette touche... Et cette touche, qu'est-ce qu'on va la jouer ! Tu la gardes et tu fais passer le temps ! Non, tu la joues et tu perds la gonfle. Alors oui, faute majuscule qui aurait dû être sifflée mais putain que l'on a été encore une fois débile sur ce coup !

Je sais bien qu'on est sur votre forum mais en 17 ans d'inscription j'ai dû lire que l'arbitre avait avantage Toulouse à 99 % quand dans le même temps bous vous n'avez jamais gagné un match grâce à l'arbitre... Ça peut paraître caricatural mais je ne suis pas loin de la vérité.

[Eria]

en même Toulouse c'est une très belle ville ou il fait bon vivre, le rugby y est roi ,les supporters sont super chauvin comme chez nous, le stade toulousain recrute bien , la formation est au top ,il y a du fric et une armoire à trophées prête a exploser ,on est tous un peu jaloux du stade toulousain et on l'aime bien aussi ,  à Clermont on manque de tout  a part le fric et infrastructures , et vous avez un mérite énorme le grand Mola vous en avez fait un super entraineur ,rien pour ça ,oui ça mérite le respect...

 

l'arbitre il fait comme nous, il ne voit pas les scories tellement le jeu est beau , rapide et efficace , il est comme nous il bade , comme le disait Noves... 

 

 et pour nous avoir piqué penaud et refilé Urios ,l'UBB doit perdre c'est tout...

 

aller Toulouse!!

[zeguest]

Je sais bien qu'on est sur votre forum mais en 17 ans d'inscription j'ai dû lire que l'arbitre avait avantage Toulouse à 99 % quand dans le même temps bous vous n'avez jamais gagné un match grâce à l'arbitre... Ça peut paraître caricatural mais je ne suis pas loin de la vérité.

Et pourtant les statistiques que tu donnes sont vraies 😉

[RCV06]

Je sais bien qu'on est sur votre forum mais en 17 ans d'inscription j'ai dû lire que l'arbitre avait avantage Toulouse à 99 % quand dans le même temps bous vous n'avez jamais gagné un match grâce à l'arbitre... Ça peut paraître caricatural mais je ne suis pas loin de la vérité.

Ça ne changera jamais, vous êtes de vilains de winners et au pays des losers c'est un tare rédhibitoire.

[zeguest]

Je sais bien qu'on est sur votre forum mais en 17 ans d'inscription j'ai dû lire que l'arbitre avait avantage Toulouse à 99 % quand dans le même temps bous vous n'avez jamais gagné un match grâce à l'arbitre... Ça peut paraître caricatural mais je ne suis pas loin de la vérité.

Et pourtant les statistiques que tu donnes sont vraies 😉

[Bon Chasseur]

Ben oui, mais tu nous demandes une finale qui se joue sur l’arbitrage, on est plusieurs à te répondre (et avec des arguments) et à la fin tu bottes en touche …

relis le commentaire que je citais, c'est le mot "fait", rien d'autre,

je lis vos réponses, pas de pb là dessus.

[el landeno]

Le jour où... avec François Cros : « Ma fille m'a aidé à rebondir » après l'échec à la Coupe du monde Avant de disputer vendredi une nouvelle finale de Top 14, le flanker toulousain François Cros revient sur les moments forts de sa carrière. Notamment sur l'échec de la dernière Coupe du monde, dont il a su se relever grâce à la naissance de sa fille Lili.

 

 

 

Au Stade Toulousain, il fait partie de ces joueurs qui ne déçoivent jamais. De ces leaders de jeu et de vestiaire qui performent, rassurent et entretiennent cette fameuse culture de la gagne qui contribue tant à remplir l'armoire à trophées du club.

 

 

À 30 balais, François Cros a déjà vécu tellement d'aventures en rouge et noir que cette nouvelle finale de Top 14 qui se profile, vendredi face à l'UBB, a peu de chances de l'émouvoir. En revanche, elle risque fort de décupler sa rage de vaincre, comme à chaque fois.

lire aussiFrançois Cros, l'assurance tous risques du Stade Toulousain

Le jour où...

 

« ... vous remportez votre premier bouclier de Brennus.

En 2019 (15 juin), contre Clermont (24-18). Une année incroyable pour moi, parce que c'est aussi celle de ma première sélection en équipe de France (17 août contre l'Écosse) et celle de la validation de mon diplôme de pédicure-podologue. Je me souviens d'une finale hyper âpre, hyper tendue, avec un gros combat. Au coup de sifflet final, je n'avais plus aucune force, je m'étais juste effondré au sol de joie et de fatigue.

Le jour où...

...vous apprenez que vous n'êtes pas retenu dans les 31 qui partiront
au Japon disputer la Coupe du monde 2019.

Jacques Brunel (le sélectionneur de l'époque) m'avait appelé deux ou trois heures avant l'annonce officielle de la liste. J'étais déçu parce que j'y avais cru, les signaux étaient plutôt positifs. J'avais joué deux matches de prépa sur trois (contre l'Écosse et l'Italie), et ça s'était plutôt bien passé pour moi. Une Coupe du monde est une aventure qu'on vit très rarement. La frustration était donc grande, mais je m'en suis servi pour atteindre l'objectif de jouer celle d'après, en 2023.

« Je ne me souviens pas de tous mes plaquages réussis. En revanche, je me souviens de tous ceux que j'ai ratés ! »

 

 

 

Le jour où...

...vous marquez l'essai le plus important de votre carrière.

Ça va être assez rapide, parce que je n'en ai pas planté beaucoup (rires) ! Je dirais donc le premier et le seul en équipe de France pour l'instant : contre l'Angleterre, en 2022(19 mars, victoire 25-13), lors du dernier match du Tournoi des Six Nations. Même si ce n'est pas le plus beau, c'est sûrement le plus important, parce qu'il a contribué à nous faire gagner le Grand Chelem cette année-là.

Je me souviens de l'action, juste avant la mi-temps. Romain (Ntamack) arrive à breaker et se fait arrêter à un mètre de la ligne. Je fais alors le choix de tenter ma chance, de ramasser le ballon pour franchir la ligne. C'était à double tranchant, soit je marquais et c'était top, soit je me ratais et je tuais l'action de l'équipe. En jouant ce ballon, j'étais obligé de conclure, en fait (rires) !

François Cros, en bref

30 ans, troisième-ligne. Taille : 1,90 m. Poids : 108 kg. Club : Toulouse
2021 : le 22 mai, il remporte la Coupe des champions avec le Stade Toulousain en battant en finale La Rochelle (22-17) à Twickenham.

Le jour où...

...vous avez fait "waouh" en regardant vos stats.

Il n'y en a pas vraiment. Plutôt que de chercher du positif dans mes stats, je regarde plutôt les secteurs qui n'ont pas été performants et qui restent à améliorer. C'est plutôt comme ça que je fonctionne. Je ne me souviens pas de tous mes plaquages réussis. En revanche, je me souviens de tous ceux que j'ai ratés !

lire aussiLa défense redoutable du Stade Toulousain décryptée par son spécialiste Laurent Thuéry

Le jour où...

...votre vie a vraiment changé.

Celui de la naissance de ma fille (Lili), en septembre 2022. La découverte de la paternité est quelque chose d'assez incroyable dans la vie d'un homme. Perso, ça m'a beaucoup aidé à rebondir après l'échec de la dernière Coupe du monde. Quand tu as une petite merveille à la maison qui demande beaucoup de toi, tu n'as pas le temps de t'apitoyer sur ton sort. Avec mon épouse (Jennifer), on a la chance d'avoir une petite qui nous comble de bonheur, qui est pleine de vie, en bonne santé.

On est hyper heureux de pouvoir vivre ça et de lui faire vivre aussi des bons moments. À moins d'un an, elle était présente au Stade de France le jour où on a remporté notre dernier bouclier de Brennus (2023). Elle était là aussi pour le quart de finale de la Coupe du monde. Elle ne s'en souviendra sûrement pas quand elle sera plus grande, mais on aura des photos pour lui prouver qu'elle était là.

 

François Cros est également formateur en podologie. (L. Hahn/L'Équipe)

Le jour où...

...vous avez donné votre premier cours à l'IFPP (Institut de formation en pédicurie et podologie).

Je ne me souviens pas du jour exact. J'avais un statut de vacataire et je donnais un coup de main aux nouveaux étudiants en formation. En fait, des patients viennent à l'école, comme dans un cabinet médical classique, et ce sont les étudiants qui font les consultations avec l'aide de formateurs comme moi à leur côté. Nous, on est là pour valider la consultation et la prise en charge.

Pour moi, c'était l'idéal pour maintenir mon niveau d'activité en podologie. Je ne voulais pas tout arrêter après l'obtention du diplôme, parce que ce sont des métiers où l'on a besoin d'exercer pour rester compétent. Aujourd'hui, j'y vais beaucoup moins, parce qu'avec ma petite fille, c'est plus difficile de trouver des créneaux.

« Le plus dur a été de retrouver un enjeu sportif à la hauteur de l'événement qu'on venait de vivre »

À propos de la défaite en quarts de finale de la dernière Coupe du monde

 

 

 

Le jour où...

...vous perdez contre l'Afrique du Sud en quarts de finale de la Coupe du monde 2023.

Forcément très déçu, parce que c'est un match où on avait la possibilité de mieux faire. On perd d'un point (28-29), et mourir à un point, c'est cruel. C'était l'événement d'une vie, quelque chose qu'on ne revivra jamais à domicile. Il y avait des grosses attentes derrière nous, et ç'a été compliqué de voir la tristesse de nos supporters, de ne pas avoir réussi à leur donner ce qu'ils espéraient.

J'ai mis du temps à digérer cette défaite. Le plus dur a été de retrouver un enjeu sportif à la hauteur de l'événement qu'on venait de vivre. J'ai eu du mal à rallumer le moteur en Top 14, où l'enjeu était bien moindre à ce moment-là. C'est la Coupe des champions qui m'a relancé. Avec sa phase de poules ultra-courte, où chaque match peut être décisif, elle m'a fait un bien fou.

Le jour où...

...vous raccrocherez les crampons.

Ça sera quand mon corps me dira stop. Je suis sous contrat jusqu'en 2027. J'espère disputer aussi la Coupe du monde en Australie cette année-là. C'est un objectif de carrière, quelque chose qui me tient à coeur. J'aurai alors 33 ans, on fera le point à ce moment-là. Quand on a la chance de faire le sport qu'on aime à ce niveau-là, c'est forcément compliqué le jour où il faut s'arrêter. »

 

François Cros le 2 juin lors de la Toulouse-La Rochelle (31-31). (R. Perrocheau/L'Équipe)

Bain de foule à Ernest-Wallon

C'est mercredi, dans l'après-midi, après l'entraînement du jour, que le Stade Toulousain ralliera Marseille pour y disputer vendredi la finale du Top 14 face à l'UBB (21 h 05). Les Rouge et Noir, qui ont donné rendez-vous à leurs supporters sur le parvis d'Ernest-Wallon à 14 h 30, s'offriront un bain de foule au milieu des fans avant de monter dans le bus. Ils s'entraîneront une dernière fois jeudi après-midi sur la pelouse du stade Orange Vélodrome, juste avant l'annonce officielle de la compo d'équipe (18 heures). À noter qu'un écran géant sera installé sur la place toulousaine du Capitole, vendredi soir, pour permettre aux supporters qui n'auront pas pu se rendre à Marseille de suivre la finale ensemble.

 

 

[frednirom]

AlleeeeeezZZZZZZ Bordeaux.

Que Penaud leur fasse l'amour salement. 

[grospaquet33]

AlleeeeeezZZZZZZ Bordeaux.

Que Penaud leur fasse l'amour salement. 

meme proprement ca me va!

[Ptolémée]

on peut toujours rêver ..

[Y&B]

Je n’aime pas trop l’UBB ( prisme ASM indécrottable ) mais voir Mola faire la gueule m’en donnerait presque une demie molle

[zebdomes]

Je sais bien qu'on est sur votre forum mais en 17 ans d'inscription j'ai dû lire que l'arbitre avait avantage Toulouse à 99 % quand dans le même temps bous vous n'avez jamais gagné un match grâce à l'arbitre... Ça peut paraître caricatural mais je ne suis pas loin de la vérité.

L'EAT n'est pas une légende mais je n'ai jamais contesté, sans remonter aux calendes grecques, les victoires toulousaines face à l'ASM de 2001, 2008 ou encore plus récemment celle face au SR qui tient du miracle mais un miracle qui est tout au crédit du ST. Par contre, il faut être malhonnête pour ne pas remettre en cause l'arbitrage de cette finale de 2019, en particulier en mêlée.

 

Evidemment que les supporters ont toujours tendance à identifier plus facilement les fautes des adversaires plutôt que celles de son équipe mais quand tu dis qu'ici nous considérons ne jamais avoir gagné un match grâce à l'arbitre, très honnêtement, c'est du foutage du gueule ! Beaucoup te diront ici que l'essai de Zirak en 2010 est très juste, d'autres te diront que l'arbitrage du barrage face au Racing n'a pas été non plus quelque chose de très net (et hurleront à juste raison au vol organisé en 2016) et qu'au final, le titre de 2010 était comme un cadeau accordé pour toutes les douleurs à travers lesquelles nous étions passés dans les saisons précédentes. Parce que pour une phase finale où ça a rigolé pour nous, combien de situations où les décisions arbitrables nous ont enterrés ? Cette dernière touche face au SF en 2007, le braquage violent de l'USAP en 2009 (qui n'a probablement pas été pour rien sur l'arbitrage de l'ASM en 2010 tellement cela a choqué le petit monde du rugby français), la demie de challenge face aux Sharks tout récemment, la demie de 2016 face au Racing, un quart de HCUP face à ce même Racing où les deux arbitres voient comme tout le monde un en-avant de Carter mais ne se comprennent pas et laissent faire et sans parler non plus de la finale de HCUP 2013 qui ne passera certainement jamais...

 

Des situations comme ça, on en a des caisses ! Je ne parle pas des matchs de championnat où l'on dit que les erreurs s'équilibrent. Je parle de matchs couperets qu'une décision erronée peut faire basculer. Bien sûr qu'il y a des erreurs d'arbitrage qui nous ont été favorables à un moment ou un autre, mais des erreurs qui ont fait basculer un match ? Très très peu, sincèrement. Alors excuse nous si un énième épisode de ce type de situation a un peu de mal à passer...

Je n’aime pas trop l’UBB ( prisme ASM indécrottable ) mais voir Mola faire la gueule m’en donnerait presque une demie molle

Honnêtement, à part un fait de jeu qui pourrait déstabiliser Toulouse comme un CR par exemple assez tôt dans le match (ce que je ne souhaite évidemment pas), je ne vois pas comment l'UBB peut empêcher Toulouse de gagner. Et honnêtement, je me fous un peu du résultat du match, j'espère juste que cela ne se jouera pas sur une erreur d'arbitrage, on a eu notre dose en demie...

[Eria]

l'arbitrage c'est très important , et au sifflet c'est un homme il peut aussi se tromper malgré ses assesseurs...

 

c'est bien pour cela qu'un match peut être beau si les deux équipes se livre complètement et si l'arbitre est bon ,les erreurs il y en aura toujours faudra voire les choses dans leur globalités...

[Y&B]

L'EAT n'est pas une légende mais je n'ai jamais contesté, sans remonter aux calendes grecques, les victoires toulousaines face à l'ASM de 2001, 2008 ou encore plus récemment celle face au SR qui tient du miracle mais un miracle qui est tout au crédit du ST. Par contre, il faut être malhonnête pour ne pas remettre en cause l'arbitrage de cette finale de 2019, en particulier en mêlée.
 
Evidemment que les supporters ont toujours tendance à identifier plus facilement les fautes des adversaires plutôt que celles de son équipe mais quand tu dis qu'ici nous considérons ne jamais avoir gagné un match grâce à l'arbitre, très honnêtement, c'est du foutage du gueule ! Beaucoup te diront ici que l'essai de Zirak en 2010 est très juste, d'autres te diront que l'arbitrage du barrage face au Racing n'a pas été non plus quelque chose de très net (et hurleront à juste raison au vol organisé en 2016) et qu'au final, le titre de 2010 était comme un cadeau accordé pour toutes les douleurs à travers lesquelles nous étions passés dans les saisons précédentes. Parce que pour une phase finale où ça a rigolé pour nous, combien de situations où les décisions arbitrables nous ont enterrés ? Cette dernière touche face au SF en 2007, le braquage violent de l'USAP en 2009 (qui n'a probablement pas été pour rien sur l'arbitrage de l'ASM en 2010 tellement cela a choqué le petit monde du rugby français), la demie de challenge face aux Sharks tout récemment, la demie de 2016 face au Racing, un quart de HCUP face à ce même Racing où les deux arbitres voient comme tout le monde un en-avant de Carter mais ne se comprennent pas et laissent faire et sans parler non plus de la finale de HCUP 2013 qui ne passera certainement jamais...
 
Des situations comme ça, on en a des caisses ! Je ne parle pas des matchs de championnat où l'on dit que les erreurs s'équilibrent. Je parle de matchs couperets qu'une décision erronée peut faire basculer. Bien sûr qu'il y a des erreurs d'arbitrage qui nous ont été favorables à un moment ou un autre, mais des erreurs qui ont fait basculer un match ? Très très peu, sincèrement. Alors excuse nous si un énième épisode de ce type de situation a un peu de mal à passer...
Honnêtement, à part un fait de jeu qui pourrait déstabiliser Toulouse comme un CR par exemple assez tôt dans le match (ce que je ne souhaite évidemment pas), je ne vois pas comment l'UBB peut empêcher Toulouse de gagner. Et honnêtement, je me fous un peu du résultat du match, j'espère juste que cela ne se jouera pas sur une erreur d'arbitrage, on a eu notre dose en demie...

Merci.
Je me sens moins seuls avec mes vieux tourments assémistes