Aller au contenu


Photo

Pipi à Mendoza - Affaires Jaminet & Jegou/Auradou


  • Veuillez vous connecter pour répondre
1170 réponses à ce sujet

#301 Alex chocolatines

Alex chocolatines

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 24 620 messages
  • Genre:Homme
  • Mon club:

Posté 05 août 2024 - 19:59

Vu qu'il mettait ca sur le compte de l'alcool, je pense que ta premiere idee est la bonne.

Ne dit on pas "in vino véritas" ? L'alcool désinhibe, c'est souvent le vrai visage du gars ou de la nana qui ressort .

 

Imaginons Parigot bourré (bon c'est pas possible il picole pas, mais imaginons) :  "Le premier Lorenzetti que je croise, j'y met une balayette dans l'cul" .  :w00t:


  • Vynce et Eria aiment ceci

#302 Binche63

Binche63

    Equipe de France

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 7 747 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Chamalière
  • Mon club:

Posté 05 août 2024 - 20:13

Je sais que tu maitrises le volet judiciaire du fofo, mais leur version elle me semble déjà claire : "on n'a rien fait de mal, elle était consentante"  :ermm:



Juste pris une vidéo et la diffuser ;)

#303 Rugby ?

Rugby ?

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 17 922 messages
  • Genre:Homme
  • Mon club:

Posté 06 août 2024 - 09:54

Évidemment qu’ils doivent s’arrêter.

Le noeux du problème est de déterminer qu’il y a eu reprise de consentement et non remord a posteriori.

Comme le dit BB, dans ces situations, il n’y a pas de témoins 

On peut penser que des coups violents justifient une reprise du consentement.

Reste à prouver l'origine des coups.

Là, les traces biologiques devraient permettre de trancher. La question est : Est ce qu'il en restait quand la plainte a été déposée 8 h après et qu'ensuite les examens ont eu lieu ?
 



#304 Binche63

Binche63

    Equipe de France

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 7 747 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Chamalière
  • Mon club:

Posté 06 août 2024 - 12:26

On peut penser que des coups violents justifient une reprise du consentement.
Reste à prouver l'origine des coups.
Là, les traces biologiques devraient permettre de trancher. La question est : Est ce qu'il en restait quand la plainte a été déposée 8 h après et qu'ensuite les examens ont eu lieu ?
 



Dans tous les cas avec la diffusion de la vidéo tu es hors jeux.

#305 Alex chocolatines

Alex chocolatines

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 24 620 messages
  • Genre:Homme
  • Mon club:

Posté 06 août 2024 - 16:23

Dans tous les cas avec la diffusion de la vidéo tu es hors jeux.

Mais d'où ça sort la vidéo ? rien lu sur ce sujet... Ils ont fait une vidéo de leurs ébats ?  :ermm:



#306 l'ours des tavernes

l'ours des tavernes

    Joueur de Pro D2

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 2 894 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:saint gervais d'auvergne
  • Mon club:

Posté 06 août 2024 - 16:25

Mais d'où ça sort la vidéo ? rien lu sur ce sujet... Ils ont fait une vidéo de leurs ébats ?  :ermm:

apparemment sur snapchat

 

du coup c'est par principe, plus compliqué de recuperais les images.



#307 RCV06

RCV06

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 53 865 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Mandelieu la Napoule
  • Mon club:

Posté 06 août 2024 - 17:02

Mais d'où ça sort la vidéo ? rien lu sur ce sujet... Ils ont fait une vidéo de leurs ébats ?  :ermm:

Ils auraient demander l arbitrage vidéo au bunker B)



#308 Eria

Eria

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 17 932 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Clermont ferrand
  • Mon club:

Posté 06 août 2024 - 17:27

"Le contrat liant le joueur au RCT est substantiellement modifié"

 

En clair le RCT saute sur l'occasion pour réduire son salaire ou enlever quelques clauses. Les fameuses valeurs du rugby hein...

Non! ils ne peuvent pas toucher le salaire , par contre leur contrat concernant la moralité du joueur n'était peut être rajusté , le salaire et l'extra sportif se sont deux choses bien différentes et c'est lui qui gagnerai ,par contre s'il ne joue plus année sabbatique, blessure, congés ou autres absences  ...

Je pense qui sera mis en congés sans solde évidement ,c'est but de la sentence FFR et aménagement pour s'entrainer...



#309 Eria

Eria

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 17 932 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Clermont ferrand
  • Mon club:

Posté 06 août 2024 - 17:39

Mais d'où ça sort la vidéo ? rien lu sur ce sujet... Ils ont fait une vidéo de leurs ébats ?  :ermm:

ça va être compliqué pour la défense d'expliquer la sobriété mentale de ces deux gus gus, ça sort du cadre d'une bonne touze bien torride entre amis consentant ,et la moralité de jeunes gamins qui voulait apprendre ,les valeurs du rugby français va en prendre un petit coup par les mirettes, ils peuvent se reconvertir dans le cinéma d'art et d'essai ,le rugby c'est cuit pou eux ...



#310 el landeno

el landeno

    Champion d'Europe

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 6 353 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:dax
  • Mon club:

Posté 07 août 2024 - 06:12

Affaire Auradou-Jegou : la plaignante entendue par le procureur La femme qui affirme avoir été victime d'un « viol avec violence en réunion » par Hugo Auradou et Oscar Jegou a été entendue ce mardi par le procureur afin d'apporter des précisions sur sa déposition. Les joueurs, toujours en détention à domicile à Mendoza, seront quant à eux entendus jeudi.

 

Le choc des versions se poursuit à Mendoza, à l'ouest de l'Argentine, alors que les avocats sortaient de l'audience où la plaignante a été entendue ce mardi par Dario Nora, le procureur chargé de l'enquête. Tandis que l'avocate de la victime présumée, Me Natacha Romano, évoquait un récit « sans fissures », « indiscutable », « très clair et très concret », l'avocat des joueurs, Me Rafael Cuneo Libarona assurait lui : « aujourd'hui, l'innocence des deux joueurs a été démontrée », sans vouloir donner plus de détails.

 
 

« Le rôle de la défense est de minimiser les faits et de relativiser les propos de la victime. (...) mais aujourd'hui, je peux affirmer, encore plus, que les faits se sont déroulés comme les décrit ma cliente », rétorquait l'autre avocat de la plaignante, Me Mauricio Cardello, au sortir du Parquet.

Depuis la détention des deux Français le 8 juillet dernier, après le premier test-match de l'équipe de France face aux Pumas à Mendoza (le 6 juillet), les deux parties s'opposent sur la question du consentement de la plaignante. Si personne ne nie les relations sexuelles, les joueurs, au travers de leurs avocats, maintiennent que ces dernières étaient consenties et se sont déroulées sans violence. Une version qui semble être battue en brèche par la quinzaine de blessures ou marques observées quelques heures après les faits par la légiste sur le corps de la victime présumée après son dépôt de plainte, le 7 juillet.

« Il y a eu un viol terrible, grossier, aggravé par des coups, de la maltraitance et la participation de deux personnes »

Le père de la victime

 
 
 
 
 

L'instruction avance rapidement. Plusieurs témoins ont été entendus par le procureur et des actes de preuve ont été produits. Outre le récit de la plaignante, qui a été « éprouvant » puisqu' « elle a dû à nouveau tout raconter depuis le début », expliquait son avocate, un témoignage et des messages vocaux de WhatsApp étaient notamment au coeur de l'audience de ce mardi.

Ces messages, envoyés dans la foulée des faits par la plaignante à l'une des amies présente ce soir-là, semblaient faire planer le doute sur le non-consentement de la plaignante. Ses avocats s'en défendent. « Elle les a écoutés [lors de l'audience, ndlr] un par un et a pu donner des explications sur chacun d'entre eux avec beaucoup de tranquillité », a assuré Natacha Romano en sortant de l'audience.

Consultée par L'Équipe à ce propos, elle insiste sur le fait que : « nous avons nous-mêmes sollicité le témoignage de son amie, qui mentionne ces messages et nous avons proposé qu'ils soient transcrits » afin d'être versés au dossier. Pour l'avocate, « dans ce genre d'affaires, le mieux est de ne cacher aucune caractéristique de la situation ». « La victime elle-même affirme être montée dans le taxi et être allée à l'hôtel (des joueurs, ndlr). Sur ce point, il n'y a pas débat. Le débat est sur ce qu'il se passe une fois qu'elle entre dans la chambre », précise Me Romano. Elle insiste sur la notion de consentement : « ''non'' c'est ''non'' à partir de la minute où quelqu'un dit ''non''. Il (le refus, ndlr) ne doit pas forcément être exprimé dans le couloir de l'hôtel, en y entrant ou dans la boîte de nuit ».

C'est ce non-consentement avancé par la plaignante que l'audience de mardi matin a tenté d'éclaircir. Une audience qui a duré plus de trois heures, avec une pause, au cours de laquelle cette dernière a répondu aux questions du procureur et des avocats de la défense. Sans pouvoir entrer dans la salle, des membres de sa famille l'ont accompagnée dans ce moment. Son frère, avocat, a pour sa part pu être présent lors de l'audience, d'après l'avocate.

Juste avant, à l'extérieur du pôle judiciaire de la ville, le père de la plaignante, visiblement affecté, a qualifié d'« aberration » le doute qui plane sur les faits. « Il y a eu un viol terrible, grossier, aggravé par des coups, de la maltraitance et la participation de deux personnes », a-t-il assuré.

À quelques mètres de lui, interdites d'entrée par les policiers présents, une quinzaine de femmes affichent une banderole affirmant « Non, c'est non ». Elles font partie de l'antenne locale du collectif « Ni una menos » (pas une de moins), qui dénonce les féminicides et les violences sexuelles et sexistes en Argentine. « Nous sommes là pour rappeler que lorsqu'une femme dit non, c'est non », explique Araceli Pelegrina, membre du collectif, qui affirme que « ce n'est pas un hasard que nous soyons à l'extérieur alors que le frère du ministre de la justice, Cuneo Libarona, qui n'est pas d'ici, est à l'intérieur ».

Comme de nombreuses personnes à Mendoza, outre la dimension internationale de l'affaire, elle est convaincue que le lien de parenté entre l'avocat des joueurs et l'actuel ministre de la justice du gouvernement de Javier Milei y est pour beaucoup dans la décision de la mise en résidence surveillée et la célérité avec laquelle se déroule l'instruction. Hasard du calendrier, avec la ministre de la sécurité et le ministre de la défense, le fameux frère était à Mendoza la veille pour y lancer la réforme du code de procédure pénale qu'il met en oeuvre dans le pays.


  • ZACH aime ceci

#311 rugbyasm77

rugbyasm77

    Champion d'Europe

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 5 490 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Bruxelles
  • Mon club:

Posté 07 août 2024 - 10:16

Nouvel article du midol concernant l'affaire :

Cest ce mardi 6 août que la plaignante à lorigine des accusations de "viol aggravé" qui visent les joueurs du XV de France Oscar Jegou et Hugo Auradou, en Argentine, était entendue par la justice de Mendoza. Une audition en longueur, plus de deux heures, qui lui aura laissé le temps de reprendre en détail le récit quelle a fait de la nuit du 6 au 7 juillet 2024 au Diplomatic hôtel de Mendoza. Mais aussi de répondre aux avocats de la défense des deux Français et les contradictions quils opposent, parlant notamment de relations consenties, pointant des conversations a posteriori où elle disait simplement trouver Oscar Jegou "mignon" ou sétonnant quelle nait pas souhaité remettre son téléphone à la police

Me Romano (avocate de la plaignante) : "Le récit de ma cliente ne présente aucune fissure"
Que retenir de cette audition ? Si aucun élément concret na fuité en provenance du procureur, les avocats des deux parties ont en revanche eu loccasion de la commenter et détayer leur argumentaire, à la sortie du tribunal, presque six heures après y être entrés. Natacha Romano (avocate de la plaignante) en première, puis Rafael Cuneo Libarona ensuite (avocat dOscar Jegou et Hugo Auradou). Une passe darmes riche en enseignements.

La première à sexprimer devant la presse fut donc Natacha Romano, avocate de la plaignante. "Ma cliente, qui est aussi la victime, est toujours restée en contrôle. Les questions de la défense, elles, ont été très brèves, du fait que le récit de ma cliente ne présente aucune fissure." Questionnée sur les éventuelles évolutions des déclarations de la plaignante, lavocate a simplement évoqué "quil sagissait surtout de clarifications nécessaires. La partie de la défense a quant à elle essayé dapporter quelques contradictions, mais notre récit est resté clair et concret."

Des messages audios par Whatsapp qui sèment le trouble
Il y a quelques jours est toutefois apparu, dans lenquête, que des messages audios envoyés via le service de messagerie Whatsapp avaient été échangés entre la plaignante et une amie. Des échanges au cours desquels elle lui disait quelle avait effectivement été avec Oscar Jegou cette nuit-là et quelle le trouvait "mignon". Ces messages ne mentionnaient toutefois à aucun moment des faits dabus sexuels. Cest pourtant cette amie qui lui aurait conseillé de porter plainte auprès du tribunal de Mendoza.

Après un mois denquête, ces échanges jettent le trouble sur les premières déclarations de la plaignante. Interrogée à ce sujet à sa sortie du tribunal, lavocate Natacha Romano a dabord confirmé lexistence de ces messages. Avant de compléter : "Ils lui ont fait écouter ces audios, un moment de re-victimisation très dur pour elle. Mais elle a pu les expliquer un par un, avec beaucoup de calme. [] Malgré tout, elle est très fatiguée et très angoissée. Elle est sous traitement psychologique et psychiatrique permanent. Quatre professionnels lassistent."

La plaignante a-t-elle refusé de remettre son téléphone à la police ?
Autre information importante fournie par lavocat de la défense, et toujours concernant la téléphonie : selon Rafael Cuneo Libarona, la plaignante naurait pas remis son téléphone à lexpert mandaté par la police de Mendoza. "Elle ne veut pas le donner, sous prétexte quelle y a ses communications. Cest un élément de plus en notre faveur", a déclaré Libarona à ce sujet.

Vers une nouvelle demande de remise en liberté ?
Alors quOscar Jegou et Hugo Auradou sont toujours assignés à résidence et sous contrôle judiciaire dans une villa de Mendoza, ils seront entendus à leur tour par la justice Argentine ce jeudi 8 août. Ils pourront alors présenter leur version des faits, laquelle, selon les dires de leurs avocats Me Cuneo Libarona (en Argentine) et Me Vey (en France), est bien éloignée des accusations : "Pour le moment, rien ne permet de présager de leur culpabilité".

Mais une autre échéance proche pourrait leur redonner espoir : toujours selon Natacha Romano, la défense va avoir loccasion de formuler une nouvelle demande de remise en liberté des deux joueurs. Le bureau du procureur de Mendoza devra alors trancher pour savoir sil maintient Jegou et Auradou en détention provisoire sous le régime du contrôle judiciaire, ou sil les autorise à quitter le territoire argentin. "La défense demandera certainement la libération, mais cela ne signifie pas quils ne continueront pas à être inculpés", rétorque encore Natacha Romano. Avant de sy opposer. "La chose raisonnable à faire, compte tenu du risque de fuite, est quils restent dans notre pays."

Lire aussi : Une association féministe appelle à manifester pour soutenir la plaignante
Sils venaient effectivement à être soulagés de leur contrôle judiciaire et quils pouvaient rentrer en France, la nouvelle serait un coup de tonnerre dans cette affaire et une nouvelle "victoire" importante pour les deux jeunes Français.

Rafael Cuneo Libarona (avocat des joueurs) : "La plaignante a modifié son récit"
Ces faits, lavocat argentin dOscar Jegou et Hugo Auradou sen sont évidemment servis, lui aussi au terme de cette journée daudition et devant la presse argentine qui lattendait. Sur un ton particulièrement énergique et offensif, parlant en second après sa consur de laccusation, Rafael Cuneo Libarona a également livré une analyse clairement opposée de la situation. "Aujourdhui, linnocence des deux rugbymen a été prouvée", a-t-il lâché demblée. Avant de développer, notamment sur des versions différentes quauraient utilisées la plaignante et "des contradictions notables dans son récit". "Lorsque le bureau du procureur a constaté ces contradictions entre sa première déclaration et cette dernière, la plaignante a modifié son récit."

Lire aussi : Quel avenir contractuel pour les joueurs dans leur club, la Rochelle et Pau ?
Toujours confiant dans ses déclarations et son attitude, Rafael Cuneo a finalement conclu son intervention devant la presse en se projetant sur la journée de jeudi qui sannonce à nouveau décisive, puisque ce seront à Oscar Jegou et Hugo Auradou dêtre entendus par la justice argentine.

"Les accusés vont répondre à toutes les questions qui leur seront posées par laccusation, la plaignante et nous-mêmes, leurs défenseurs. Ils nont rien à cacher. Dailleurs, noubliez pas que ce sont eux qui ont demandé à être entendus, il y a dix jours. Ils devaient témoigner aujourdhui (mardi), mais nous avons laissé la place à la plaignante parce que nous ne voulions pas lui laisser loccasion de donner encore une nouvelle version des faits. [] Pour le public français, jespère quils seront bientôt en France, que la France saura, que le rugby français saura que leur honneur nest pas entaché. Jespère quils joueront au rugby le plus tôt possible. Jai confiance en leur innocence et jen suis absolument convaincu."
  • ZACH aime ceci

#312 frednirom

frednirom

    le Var est dans le fruit.

  • Modérateurs
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 37 538 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:paris 18
  • Mon club:

Posté 07 août 2024 - 10:39

Ils sont coupables puisqu'une assos féministe s'en mêle , ça ne fait aucun doute.



#313 RCV06

RCV06

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 53 865 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Mandelieu la Napoule
  • Mon club:

Posté 07 août 2024 - 10:47

Ils sont coupables puisqu'une assos féministe s'en mêle , ça ne fait aucun doute.

Est ce que Caroline de Hass a donné son avis



#314 bouseu03

bouseu03

    Joueur de promotion

  • Membres
  • PipPipPipPipPip
  • 562 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Moulins

Posté 07 août 2024 - 11:28

95% des articles de presse sur cette affaire ne servent à rien à part faire dire à l'accusation : ma cliente a confirmé et démontré le viol et à la défense : mes clients sont innocents et on l'a démontré à l'audience.

En gros, on en sait pas plus tant que les juges n'ont pas statués. Le reste c'est du blabla.

Envoyé de mon SM-A536B en utilisant Tapatalk
  • steph aime ceci

#315 steph

steph

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 24 293 messages
  • Genre:Homme
  • Mon club:

Posté 07 août 2024 - 11:33

Elle peut très bien avoir répondu à sa copine qui lui demandait pourquoi elle avait suivi Auradou "parce que je le trouvais mignon", ce qui suffit à son avocat pour en conclure qu'elle était donc consentante pour ce qui a suivi. On est en plein dans l'intox médiatique, c'est d'ailleurs ce qui me rend les avocats pénalistes si sympathiques...
  • Toorop aime ceci




1 utilisateur(s) li(sen)t ce sujet

0 members, 1 guests, 0 anonymous users