C'était ptêtre du sucre en poudre.
entre les deux je sais pas lequel est pire.
Posté 10 septembre 2024 - 18:37
C'était ptêtre du sucre en poudre.
entre les deux je sais pas lequel est pire.
Posté 12 septembre 2024 - 17:42
Les propos de la procureure sont édifiants à l’encontre de la plaignante.
Jegou-Auradou : comment la procureure en charge de l'affaire a défendu son enquête
https://www.lequipe....enquete/1507303
Orieta Daniela Chaler, cheffe de l'unité de poursuite des crimes contre l'intégrité sexuelle, à Mendoza, a vivement réagi face aux accusations de partialité émises à son encontre par la plaignante.
C'est elle qui s'était prononcée en faveur d'un retour en France d'Hugo Auradou et d'Oscar Jégou ; elle qui avait fait part de ses « doutes » sur l'enquête et le déroulé des faits ; elle, encore, qui dans un réquisitoire, avait évoqué des faits possiblement « réinterprétés » au fil des jours par la plaignante. C'est peu dire qu'Orieta Daniela Chaler, la procureure cheffe de l'unité de poursuite des crimes contre l'intégrité sexuelle de Mendoza, en Argentine, a peu goûté la demande de récusation déposée contre elle par O., la femme qui a porté plainte pour viol contre les deux rugbymen français.
Cette demande de récusation, qui a finalement été rejetée, la magistrate y a répondu, point par point, dans un document que L'Équipe a pu consulter. La procureure y assure ne jamais avoir perdu son « objectivité » et se défend : cette demande de récusation n'a été déposée qu'en raison de divergences que les avocats de la partie civile ont exprimées vis-à-vis des décisions qu'elle a été amenée à prendre. Pour la magistrate, la plaignante « ignore » des éléments qui vont à l'encontre de son récit ou les interprète « de manière fantaisiste afin de continuer à soutenir une plainte qui n'a aucun support probatoire ».
Une détention devenue « arbitraire », selon le ministère public
Posté 12 septembre 2024 - 18:52
L'argumentaire de la procureure semble bien étayé et il parait bien difficile de remettre son intégrité en doute .
Preuve supplémentaire s'il en fallait que les affaires "d'agressions sexuelles" c'est toujours bien compliqué à instruire et que dans ce domaine (comme en bien d'autres) il est important d'attendre l'évolution d'une enquête avant d'émettre des avis tranchés.
Posté 12 septembre 2024 - 18:55
« Sud Ouest » a eu accès à l’intégralité des audios échangés entre la plaignante et une amie, dans l’affaire Jegou-Auradou. Ils sont l’objet de nombreuses interprétations. Mais que disent-ils vraiment ?
C’est une pièce maîtresse du dossier d’instruction, au cœur de tous les débats depuis qu’une partie a été dévoilée par les médias argentins le 9 août, trois jours avant la décision de remise en liberté d’Hugo Auradou et Oscar Jegou. 31 messages vocaux échangés par la plaignante et une de ses amies le lendemain des faits. Du côté de la plaignante, on y voit la preuve d’un abus sexuel. Du côté de la défense, un élément à décharge, ce sur quoi semble s’accorder le parquet. « Sud Ouest » a eu accès à la conversation en intégralité.
Le premier est envoyé par la plaignante, le 7 juillet, à 17 h 11. « Merci de ton soutien pour tout. J’ai rencontré un rugbyman français très grand, très sympa ! » Elle a quitté 9 heures plus tôt l’hôtel Diplomatic où elle a suivi Hugo Auradou après une rencontre en discothèque. Quelques minutes après leur arrivée dans la chambre, Oscar Jegou, coéquipier d’Hugo Auradou, les a rejoints.
Dans ce premier audio, elle ajoute : « Il m’a cassé la gueule… il m’a cassé la gueule… il m’a attrapée, il m’a attrapée par la joue et il m’a laissé des bleus sur le visage… ahh… sur la mâchoire, sur les fesses, des griffures sur le dos, non non non tu ne sais pas… le petit gamin. »
À huis closQue s’est-il passé dans la chambre ? D’après les déclarations des deux rugbymen et de la plaignante, auxquelles « Sud Ouest a eu accès », si tous reconnaissent des relations sexuelles, les versions de ce même huis clos sont antagonistes. « Je tiens à dire que je n’ai jamais été violent ni violé cette fille, au contraire le plaisir était partagé dans le rapport sexuel et tout était consensuel », avance Oscar Jegou. « Lorsque nous étions dans la salle de bains et qu’elle avait sa main sur le lavabo et moi sur le tatouage dans son dos, j’ai touché la femme de plusieurs façons, mais jamais avec violence », explique Hugo Auradou. Elle raconte qu’elle était « dans le lit » et qu’« il (ndlr, Hugo Auradou) a uriné sur le lit, de la tête aux pieds ou aux genoux ». Il s’en défend. « Je me suis endormi et à un moment donné, je me suis réveillé parce que je me suis fait pipi dessus. »
La plaignante lors d’une interview enregistrée à Mendoza, en Argentine, le 5 septembre.Dans sa déposition, Jean-Baptiste Gros, joueur du XV de France entendu comme témoin, raconte dans une déposition dont « Sud Ouest » a eu connaissance, avoir vu une vidéo filmée par les joueurs et diffusée sur Snapchat, montrant la plaignante faire une fellation à Hugo Auradou. « À aucun moment elle n’a été forcée à faire quoi que ce soit », dit-il. De son côté, la plaignante affirme avoir été « traitée comme un morceau de viande », « attrapée par les cheveux », « étranglée ».
« Tout a une limite, tu n’es pas un objet. Tu comprends ? »
17 h 55, la plaignante : « […] Il m’a défoncée […], le mec hyper adorable, il avait une grosse b... incroyable le brun mais j’ai dû prendre du Diclofenac (ndlr, un anti-inflammatoire) parce qu’il m’a défoncée ». Réponse de l’amie « […] Fais attention avec ça parce que c’est aussi une façon de prendre soin de toi. Peu importe si tu le prends comme un jeu ou non. Mais comment peux-tu avoir un bleu au visage ? »
Après d’autres échanges et des envois de photo, l’amie ajoute : « Tout a une limite, tu n’es pas un objet. Tu comprends ? Tu n’es pas une poupée gonflable […]. Le mec t’a battue, tu comprends ? Je comprends que c’était super bon, je n’en doute pas mais je te le dis parce que je t’aime. »
À 17 h 58, après plusieurs échanges, la plaignante verbalise son envie de porter plainte. A-t-elle été influencée par son amie ? Sur ce point, cette dernière déclare que la plaignante « ne comprenait pas ce qu’elle disait. Quand j’ai su toute la situation, j’ai été choquée et j’ai dit qu’elle devait porter plainte pour abus sexuel. »
Durant son audition, la plaignante a expliqué avoir « honte d’écouter ses propres audios, parce que je ne me reconnais pas. » Quant à l’influence de son amie, « elle me fait voir, me rendre compte des faits pour que j’aille porter plainte ». Un état de sidération qui s’ajoute à « l’effet d’analgésiques et de pilules d’Alprazolam (un anxiolytique, NDLR) et de l’alcool », a-t-elle expliqué à « Diario Uno », le 6 septembre.
Dans sa consultation écrite, fournie pour appuyer la levée de l’assignation à résidence, Dario Nora, procureur de Mendoza, s’appuie largement sur l’analyse de ces audios. Il pointe « une série de contradictions et un récit incohérent » entre la plainte initiale, déposée au lendemain des faits, les audios et certaines vidéos dont l’analyse des images de vidéosurveillance.
La question est de savoir si les joueurs pouvaient avoir conscience d’un éventuel non-consentement pendant les 3 heures dans la chambreEnquête en cours
Plus loin, il poursuit, à propos du changement de ton au fil de la conversation audio et de l’influence supposée de l’amie : « Ce sont des éléments qui, à mon avis, affaiblissent la crédibilité du récit des faits allégués. Ils génèrent un état de doute sur le fait qu’ils aient eu lieu de la manière dont elle les décrit, c’est-à-dire sans avoir donné un consentement valable et sans que les accusés sachent qu’ils réalisaient un acte sexuel sans ce consentement. »
Mais l’enquête n’est pas terminée. D’un point de vue pénal, la question est de savoir si les joueurs pouvaient avoir conscience d’un éventuel non-consentement pendant les 3 heures dans la chambre. Mais cette affaire soulève aussi des questions sociétales. Interrogé par « Le Parisien » le 21 août à propos des troisièmes mi-temps, Florian Grill a affirmé : « Il y aura un avant et un après » cette tournée en Argentine.
« Sud Ouest » a eu accès à l’intégralité des audios échangés entre la plaignante et une amie, dans l’affaire Jegou-Auradou. Ils sont l’objet de nombreuses interprétations. Mais que disent-ils vraiment ?
C’est une pièce maîtresse du dossier d’instruction, au cœur de tous les débats depuis qu’une partie a été dévoilée par les médias argentins le 9 août, trois jours avant la décision de remise en liberté d’Hugo Auradou et Oscar Jegou. 31 messages vocaux échangés par la plaignante et une de ses amies le lendemain des faits. Du côté de la plaignante, on y voit la preuve d’un abus sexuel. Du côté de la défense, un élément à décharge, ce sur quoi semble s’accorder le parquet. « Sud Ouest » a eu accès à la conversation en intégralité.
Le premier est envoyé par la plaignante, le 7 juillet, à 17 h 11. « Merci de ton soutien pour tout. J’ai rencontré un rugbyman français très grand, très sympa ! » Elle a quitté 9 heures plus tôt l’hôtel Diplomatic où elle a suivi Hugo Auradou après une rencontre en discothèque. Quelques minutes après leur arrivée dans la chambre, Oscar Jegou, coéquipier d’Hugo Auradou, les a rejoints.
Dans ce premier audio, elle ajoute : « Il m’a cassé la gueule… il m’a cassé la gueule… il m’a attrapée, il m’a attrapée par la joue et il m’a laissé des bleus sur le visage… ahh… sur la mâchoire, sur les fesses, des griffures sur le dos, non non non tu ne sais pas… le petit gamin. »
À huis closQue s’est-il passé dans la chambre ? D’après les déclarations des deux rugbymen et de la plaignante, auxquelles « Sud Ouest a eu accès », si tous reconnaissent des relations sexuelles, les versions de ce même huis clos sont antagonistes. « Je tiens à dire que je n’ai jamais été violent ni violé cette fille, au contraire le plaisir était partagé dans le rapport sexuel et tout était consensuel », avance Oscar Jegou. « Lorsque nous étions dans la salle de bains et qu’elle avait sa main sur le lavabo et moi sur le tatouage dans son dos, j’ai touché la femme de plusieurs façons, mais jamais avec violence », explique Hugo Auradou. Elle raconte qu’elle était « dans le lit » et qu’« il (ndlr, Hugo Auradou) a uriné sur le lit, de la tête aux pieds ou aux genoux ». Il s’en défend. « Je me suis endormi et à un moment donné, je me suis réveillé parce que je me suis fait pipi dessus. »
La plaignante lors d’une interview enregistrée à Mendoza, en Argentine, le 5 septembre.Dans sa déposition, Jean-Baptiste Gros, joueur du XV de France entendu comme témoin, raconte dans une déposition dont « Sud Ouest » a eu connaissance, avoir vu une vidéo filmée par les joueurs et diffusée sur Snapchat, montrant la plaignante faire une fellation à Hugo Auradou. « À aucun moment elle n’a été forcée à faire quoi que ce soit », dit-il. De son côté, la plaignante affirme avoir été « traitée comme un morceau de viande », « attrapée par les cheveux », « étranglée ».
« Tout a une limite, tu n’es pas un objet. Tu comprends ? »
17 h 55, la plaignante : « […] Il m’a défoncée […], le mec hyper adorable, il avait une grosse b... incroyable le brun mais j’ai dû prendre du Diclofenac (ndlr, un anti-inflammatoire) parce qu’il m’a défoncée ». Réponse de l’amie « […] Fais attention avec ça parce que c’est aussi une façon de prendre soin de toi. Peu importe si tu le prends comme un jeu ou non. Mais comment peux-tu avoir un bleu au visage ? »
Après d’autres échanges et des envois de photo, l’amie ajoute : « Tout a une limite, tu n’es pas un objet. Tu comprends ? Tu n’es pas une poupée gonflable […]. Le mec t’a battue, tu comprends ? Je comprends que c’était super bon, je n’en doute pas mais je te le dis parce que je t’aime. »
À 17 h 58, après plusieurs échanges, la plaignante verbalise son envie de porter plainte. A-t-elle été influencée par son amie ? Sur ce point, cette dernière déclare que la plaignante « ne comprenait pas ce qu’elle disait. Quand j’ai su toute la situation, j’ai été choquée et j’ai dit qu’elle devait porter plainte pour abus sexuel. »
Durant son audition, la plaignante a expliqué avoir « honte d’écouter ses propres audios, parce que je ne me reconnais pas. » Quant à l’influence de son amie, « elle me fait voir, me rendre compte des faits pour que j’aille porter plainte ». Un état de sidération qui s’ajoute à « l’effet d’analgésiques et de pilules d’Alprazolam (un anxiolytique, NDLR) et de l’alcool », a-t-elle expliqué à « Diario Uno », le 6 septembre.
Dans sa consultation écrite, fournie pour appuyer la levée de l’assignation à résidence, Dario Nora, procureur de Mendoza, s’appuie largement sur l’analyse de ces audios. Il pointe « une série de contradictions et un récit incohérent » entre la plainte initiale, déposée au lendemain des faits, les audios et certaines vidéos dont l’analyse des images de vidéosurveillance.
La question est de savoir si les joueurs pouvaient avoir conscience d’un éventuel non-consentement pendant les 3 heures dans la chambreEnquête en cours
Plus loin, il poursuit, à propos du changement de ton au fil de la conversation audio et de l’influence supposée de l’amie : « Ce sont des éléments qui, à mon avis, affaiblissent la crédibilité du récit des faits allégués. Ils génèrent un état de doute sur le fait qu’ils aient eu lieu de la manière dont elle les décrit, c’est-à-dire sans avoir donné un consentement valable et sans que les accusés sachent qu’ils réalisaient un acte sexuel sans ce consentement. »
Mais l’enquête n’est pas terminée. D’un point de vue pénal, la question est de savoir si les joueurs pouvaient avoir conscience d’un éventuel non-consentement pendant les 3 heures dans la chambre. Mais cette affaire soulève aussi des questions sociétales. Interrogé par « Le Parisien » le 21 août à propos des troisièmes mi-temps, Florian Grill a affirmé : « Il y aura un avant et un après » cette tournée en Argentine.
Posté 12 septembre 2024 - 21:13
Il s’en défend. « Je me suis endormi et à un moment donné, je me suis réveillé parce que je me suis fait pipi dessus. »
Dans sa déposition, Jean-Baptiste Gros, joueur du XV de France entendu comme témoin, raconte dans une déposition dont « Sud Ouest » a eu connaissance, avoir vu une vidéo filmée par les joueurs et diffusée sur Snapchat, montrant la plaignante faire une fellation à Hugo Auradou. « À aucun moment elle n’a été forcée à faire quoi que ce soit », dit-il. De son côté, la plaignante affirme avoir été « traitée comme un morceau de viande », « attrapée par les cheveux », « étranglée ».
Du coup on a la reponse a la question maintenant placee dans le titre du sujet
Curieux aussi de voir s'il y aura la moindre consequence pour cette video, vraisemblablement prise et partagee sans le consentement de l'interessee (?), ou si ca sera gentiment oublie.
Posté 12 septembre 2024 - 21:23
Il s’en défend. « Je me suis endormi et à un moment donné, je me suis réveillé parce que je me suis fait pipi dessus. »
la reconstitution va valoir son pesant de cacahuètes
quant au procès : Accusé Auradou, levez la patte droite et dites je le jure
Posté 13 septembre 2024 - 07:13
Du coup on a la reponse a la question maintenant placee dans le titre du sujet
Curieux aussi de voir s'il y aura la moindre consequence pour cette video, vraisemblablement prise et partagee sans le consentement de l'interessee (?), ou si ca sera gentiment oublie.
Je suppose que ce sont deux délits pénaux différents: le viol, et la diffusion de la video.
Est ce qu'il y a eu deux instructions distinctes ?
Posté 13 septembre 2024 - 07:24
mais qui se pisse dessus en dormant à 22 ans ?
on ouvre un nouveau topic ?
Posté 13 septembre 2024 - 08:00
mais qui se pisse dessus en dormant à 22 ans ?
on ouvre un nouveau topic ?
Posté 13 septembre 2024 - 08:44
Posté 13 septembre 2024 - 08:55
Je suppose que ce sont deux délits pénaux différents: le viol, et la diffusion de la video.
Est ce qu'il y a eu deux instructions distinctes ?
Si je raisonne en droit français, oui, ce sont des délits pénaux différents .
L'instruction peut-être commune si la saisine du juge d'instruction est rédigée en ce sens , par contre la judiciarisation si elle alieu ne sera pas la même puisque l'un (le viol) est passible des assises et l'autre non.
Posté 13 septembre 2024 - 09:12
Ils bénéficieront peut être d'un non lieu, mais cette affaire est très loin d'être glorieuse...
Posté 13 septembre 2024 - 09:26
Il ya des femmes procureurs ? En Argentine qui plus est?!
C est n importe quoi cette affaire.
Posté 13 septembre 2024 - 10:10
n'empêche depuis le début de l'affaire, on a vu un grand nb d'images de ces deux et bien vêtus à chaque fois, j'espère vraiment qu'ils sont sponsorisés, Jegou je le vois bien apparaître un de ces quatre dans le catalogue La Redoute version argentine La Rédutiña.
Posté 13 septembre 2024 - 11:30
n'empêche depuis le début de l'affaire, on a vu un grand nb d'images de ces deux et bien vêtus à chaque fois, j'espère vraiment qu'ils sont sponsorisés, Jegou je le vois bien apparaître un de ces quatre dans le catalogue La Redoute version argentine La Rédutiña.
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