399 réponses à ce sujet

[Codorplusàvie]

 
Pas certain ! La loi n'a jamais empêcher les infractions ! La nature humaine est ainsi..........................

Tout à fait.
D'ailleurs les bagnes, dont on ne revenait que rarement, n'étaient pas plus dissuasifs.
Et à ce propos, ce merveilleux pays qu'est l'Australie sous la houlette de sa non moins merveilleuse région qu'est le Queensland vient d'adopter (quelques régions pour l'instant) l'emprisonnement des délinquants à partir de 10 ans.
En même temps ce n'est pas vraiment très grave puisque la grande majorité de ces dits délinquants sont des natifs (aborigènes).

[Eria]

Des rives de la Dore on si dore des rives de l'Allier on si baigne les pieds...

[Bad Zé]

Des rives de la Dore on si dore des rives de l'Allier on si baigne les pieds...

OK.

[Babé03]

 
Je partage à 200% ton avis (et celui de Silhouette et Bazooka).
 
Pour l'occasion replaçons juste que midi olympique et son corolaire rugbyrama, est détenu par le patron de La Dépêche : Jean-Michel Baylet. Ce personnage peu ragoutant, plusieurs fois secrétaire d'Etat et ministre, est accusé d'avoir violé une gamine. L'affaire a été classée pour prescription.(Wikipedia)
Et de "source parlementaire" il pratiquait du tourisme sexuel en Asie du sud-Est. Quand on sait l'âge moyen de la prostitution dans ces pays, c'est du bien beau aussi.
 
A partir de là, par principe tout ce qui relève de l'extra-sportif sur ces 3 torches culs, ne reçoit aucun crédit de ma part, et ne peut pas en recevoir. Et jamais je n'achèterais le midol, ni la Dépêche, question de principe. Quand à ce Jérôme Prévôt rédacteur de l'article, à votre avis il aurait vendu du beurre aux allemands ?

 
Bah en même temps tout dépend des circonstances du meurtre. Avec préméditation et intentionnel (pas accidentel), en général les peines sont jamais bien light...

Fais attention quand même pour l'Asie, ta source parlementaire n'empêche pas une plainte pour diffamation...
Triste sire visiblement le JMB...

[Bad Zé]

Fais attention quand même pour l'Asie, ta source parlementaire n'empêche pas une plainte pour diffamation...
Triste sire visiblement le JMB...

J'ai modifié le message.

[bazooka]

 

Bah en même temps tout dépend des circonstances du meurtre. Avec préméditation et intentionnel (pas accidentel), en général les peines sont jamais bien light...

 

Ben pour rester dans le ballon ovale l'assassinat de Chantal Cécillon s'est soldé par une peine de 7 ans de prison.

Avec la complicité de l'institution judiciaire qui après des années d’instruction jugeait un meurtre

Meurtre moins sévèrement puni que l'assassinat pour lequel la loi retient la préméditation.

Lors de cette soirée qui a mal tourné, Cécillon a fait 4 kilomètres pour aller chercher l'arme (un 357 magnum) à son domicile, en a refait 4 autres pour revenir sur le lieu de la soirée et exécuter de trois balles (de mémoire) sa femme.

Alors oui il est des crimes à mes yeux aussi bien plus graves moins lourdement punis sans que ça mérite pour autant un discrédit de comptoir.

 

https://boutique.tel...ue/produit.html

[el landeno]

« Cela va en calmer un paquet cette histoire » : la France du rugby sous le choc après les condamnations des anciens Grenoblois Le verdict qui condamne Loïck Jammes, Denis Coulson et Rory Grice à de la réclusion criminelle fait beaucoup parler et réfléchir dans le monde du rugby tricolore...

 

Denis Coulson, Loïck Jammes et Rory Grice ont été condamnés, vendredi soir, par la cour d'assises de Gironde à 14 et 12 ans de réclusion criminelle. Ce verdict dans l'affaire des anciens joueurs de Grenoble fait déjà beaucoup parler et réfléchir dans le milieu du rugby, qui, d'une certaine manière, se sent visé et montré du doigt. Coupables d'avoir violé en réunion Marie (le prénom a été modifié), en 2017, dans un hôtel de Mérignac, ils ont passé leur première nuit en cellule, à la maison d'arrêt de Gradignan.

 

 

Chris Farell et Dylan Hayes, les deux autres accusés, sont eux sortis libres. Pour rappel, ils comparaissaient pour ne pas avoir su empêcher la commission du crime, en l'occurrence, le viol. Libres, donc, mais coupables aux yeux de la justice : le premier à quatre ans d'emprisonnement avec un sursis de deux ans, il devra porter selon toute vraisemblance un bracelet électronique. Le second a écopé de deux ans avec sursis. Quelques minutes après la publication de la décision, cet entraîneur d'un club professionnel nous adressait ce message : « Cela va en calmer un paquet cette histoire, j'espère en tout cas... » Un dirigeant d'un centre de formation a souhaité qu'on lui envoie plusieurs articles sur le sujet et d'autres dérives afin de l'évoquer avec ses jeunes.

« Je crois qu'il faut comprendre et entendre ce message adressé par la justice, il faut qu'on soit des adultes, qu'on se comporte comme des adultes »

Dougal Bendjaballah, président d'Oyonnax

 

 

 

À Nevers, vendredi soir, pour une rencontre de Pro D2, un autre acteur du milieu décrivait l'ambiance à la sortie des vestiaires : « Après le match, tout le monde ne parlait que de ça. Ce sont des mecs qui évoluent au même niveau, qui jouent régulièrement. C'est hallucinant. Et les gens se disaient que ces cinq joueurs avaient peut-être payé pour l'ensemble des dérives du rugby, et que si ce procès avait eu lieu plus tôt ils auraient pris moins. » C'est ce qui se dit en effet... La justice aurait souhaité, en prononçant ce verdict, envoyer un message et punir le rugby pour l'ensemble de ses basses oeuvres. Difficile d'étayer à ce jour cet avis. La cour d'assises a surtout condamné trois hommes pour viol en réunion et reconnu le statut de victime à Marie.

lire aussiProcès des anciens Grenoblois : 14 ans de prison ferme pour Denis Coulson et Loïck Jammes, 12 ans pour Rory Grice

 

 

Dougal Bendjaballah, le président d'Oyonnax, où évoluent Rory Grice et Chris Farrell, ne parle pas comme cela, et ne veut pas se laisser influencer par cette petite musique lancinante. Mais il pense que ce qui s'est passé à Bordeaux vendredi soir va faire bouger les lignes, et influer sur le comportement des hommes, et des rugbymen : « Même si lorsque j'ai été entendu lors de ce procès par la présidente, j'ai expliqué que je ne pouvais pas surveiller, après chaque match, ce que les joueurs font, ce qu'ils boivent, où ils sortent... Je crois qu'il faut comprendre et entendre ce message adressé par la justice, il faut qu'on soit des adultes, qu'on se comporte comme des adultes, que nos consciences s'éveillent et (comprennent) qu'on ne peut pas faire n'importe quoi, qu'on ne peut pas mettre une main aux fesses d'une jeune femme dans la rue... »

Ou ramener une fille complètement ivre à l'hôtel, après une rencontre, et donc dans l'incapacité d'avoir le discernement nécessaire pour exprimer un consentement. Quand le verdict est tombé, les joueurs d'Oyonnax étaient sur le terrain et affrontaient Soyaux-Angoulême. « À l'issue de la rencontre, poursuit le président, mes joueurs étaient affectés. » Dans les vestiaires, beaucoup de joueurs ont fondu en larmes... « Rory et Chris, qui sont sous contrat jusqu'en 2025 et 2026 sont parfaitement intégrés, ajoute le président. Depuis qu'ils sont chez nous, ils s'investissent dans la fondation, aident les jeunes. »

« Face à la gravité de cette affaire, nous souhaitons d'abord exprimer nos sincères pensées pour la plaignante et réaffirmer notre engagement contre toute forme de violence »

Le club d'Aix-en-Provence par voie de communiqué

 

 

 

Que va-t-il faire? Les garder, les licencier, il ne sait pas encore. Lundi, un comité de direction et d'éthique se réunira. « On va attendre, réfléchir, questionner les hommes et les femmes du club, je pense notamment à notre préparatrice mentale, Marie-Laure Brunet, l'ancienne biathlète. Samedi après-midi, au moment de l'échange téléphonique, il ne s'était pas encore entretenu avec Chris Farrell et avec l'épouse de Rory Grice. « Je leur ai envoyé un message. »

lire aussi« Un signal très fort envoyé aux hommes de ce pays, au monde du rugby et aux femmes aussi » : Denis Coulson, Loïck Jammes et Rory Grice en prison, le récit d'un verdict historique

Du côté d'Aix-en-Provence, les dirigeants se sont contentés d'un communiqué, publié vendredi soir... « Face à la gravité de cette affaire, nous souhaitons d'abord exprimer nos sincères pensées pour la plaignante et réaffirmer notre engagement contre toute forme de violence. Le club respecte évidemment la possibilité d'appel dans ce dossier. Conformément à nos valeurs et à nos responsabilités, nous nous réservons le droit de prendre des décisions complémentaires en fonction des développements judiciaires à venir. » Denis Philipon, le président, n'a pas répondu à nos sollicitations. Maurico Reggiardo, le manager, a décroché, mais il nous a fait savoir qu'il ne dirait rien. « C'est trop frais... »

 

[Arverne03]

 

Ben pour rester dans le ballon ovale l'assassinat de Chantal Cécillon s'est soldé par une peine de 7 ans de prison.

Avec la complicité de l'institution judiciaire qui après des années d’instruction jugeait un meurtre

Meurtre moins sévèrement puni que l'assassinat pour lequel la loi retient la préméditation.

Lors de cette soirée qui a mal tourné, Cécillon a fait 4 kilomètres pour aller chercher l'arme (un 357 magnum) à son domicile, en a refait 4 autres pour revenir sur le lieu de la soirée et exécuter de trois balles (de mémoire) sa femme.

Alors oui il est des crimes à mes yeux aussi bien plus graves moins lourdement punis sans que ça mérite pour autant un discrédit de comptoir.

 

https://boutique.tel...ue/produit.html

 

Oui tu as raison, mais l'époque a changé et l'évolution des mœurs encore plus ! La protection faite aux femmes est beaucoup plus importante qu'à cette époque. Plus rien de comparable, bien que...........

[Baba Yaga]

Elle commence à être pénible la petite musique qui consiste à dire qu'ils payent pour les autres, que le verdict est dur.

Qui d'autre dans le rugby est passé aux assises pour une tournante avec une fille ivre morte ?

C'est gravissime comme truc ! Avec les deux circonstances aggravantes de l'alcoolémie de la fille et la réunion, ils risquaient 20 ans ! Ils ont pris un peu plus de la moitié...

Donc y'a absolument rien de sévère là-dedans...

Ou alors certains se sont un peu trop habitués à ce que l'impunité soit totale dans ces affaires sordides...

[Schell]

Ouhla, en direct du bar PMU, remettez la même pour le jeune homme s'il vous plaît.

C'est un peu raccord avec son pseudo 

[el landeno]

Violences conjugales : le club de Béziers dans la tourmente Après Taleta Tupuola, un autre joueur biterrois, Hans Nkinsi, est jugé ce lundi pour « violences habituelles sur conjointe ». Le comportement du manager de l'ASBH, Pierre Caillet, interpelle.

 

 

Le club de Béziers (Pro D2) traverse une période très mouvementée. Racheté par un fonds d'investissement irlandais le 7 novembre, l'ASBH doit gérer les problèmes judiciaires de deux de ses joueurs alors qu'un troisième, Samuel Marques, a été accusé d'avoir insulté une hôtesse et de lui avoir jeté un verre au visage lors de la Nuit du rugby, le 23 septembre. Après Taleta Tupuola, condamné le 13 novembre à quatorze mois de prison avec sursis pour violences conjugales, c'est au tour de Hans Nkinsi de passer devant le Tribunal correctionnel de Béziers cet après-midi.

 

 

Comme nous l'avions révélé sur notre site le jour même, sa dernière compagne a porté plainte contre lui le 24 octobre pour des faits de violences habituelles. Selon nos informations, Nkinsi a contesté devant les enquêteurs ce dont l'accuse sa compagne. Finalement mis à pied à la demande du maire de Béziers, Robert Ménard, l'ancien joueur de Castres est en situation de récidive. Le 11 avril 2023, il a été condamné pour « violences habituelles sur conjointe » à dix mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel d'Aix-en-Provence. La mère de son fils, dont il est séparé depuis janvier 2022, avait porté plainte contre lui.

lire aussiVisé par une plainte pour violences conjugales, Hans Nkinsi sera jugé le 16 décembre

Très proche de ses joueurs, Pierre Caillet, le manager de l'ASBH, a beaucoup soutenu Hans Nkinsi au cours des dernières semaines. Lors des différents contacts que nous avons eus avec le technicien au cours de notre enquête (*), il nous a affimé que la jeune femme s'arrangeait avec la vérité, ce que rien n'est venu étayer jusqu'à présent.

* Enquête réalisée dans le cadre d'un documentaire de L'Équipe Enquête qui sera diffusé en janvier sur La chaîne L'Équipe.

 

 

Les divers témoignages, que nous avons obtenus ou que nous avons pu consulter, interrogent toutefois sur le rôle de l'entraîneur dans ces affaires. Le 13 novembre dernier, lors du procès de Taleta Tupuola, son implication a en effet été mise en avant par le procureur de la République lors de ses réquisitions.

« On a tendance à considérer qu'à milieu particulier, règles particulières. C'est le cas dans ce dossier. La victime a déposé plainte le 9 octobre pour des faits qui sont du 5. Et elle n'a pas été amenée aux urgences par les pompiers. Elle a été amenée aux urgences par l'entraîneur. C'est l'entraîneur du club qui l'amène aux urgences. C'est l'entraîneur du club qui, aux urgences, va lui dire qu'elle "ne se respecte pas" parce qu'elle donne son nom. Quand elle dépose plainte devant les policiers, elle dit qu'on ne voulait pas qu'elle donne son vrai nom. »

« Pierre s'est énervé (...) Il voulait qu'on respecte l'anonymat de mon nom »

Shawna Tupuola au sujet de Pierre Caillet

 

 

 

Pierre Caillet a-t-il cherché à étouffer l'affaire ? Face aux enquêteurs, Shawna Tupuola a prononcé ces mots : « À l'hôpital, Pierre s'est énervé en disant : "T'as aucun respect." Pierre voulait que l'on respecte l'anonymat de mon nom. » Shawna Tupuola souffrait alors d'une plaie de quinze centimètres au cuir chevelu.

Dans la nuit du 4 au 5 octobre, Taleta Tupuola a violemment agressé son épouse au retour d'une soirée avec des coéquipiers. « Quand je bois, je ne peux plus m'arrêter », a-t-il raconté à la barre.

Au tribunal, le président et le procureur ont relaté les faits de manière très précise. Le joueur ne les a pas contestés. Une fois la soirée terminée, il a pris le volant de son véhicule, sa femme à ses côtés, leur petit garçon de 3 ans à l'arrière. Sur le chemin, il percute quatre bornes en plastique. Le couple se dispute. À leur arrivée à leur domicile, Shawna Tupuola monte coucher son fils à l'étage. Son époux les suit.

lire aussiDérives dans le rugby : l'origine du mal

« Maintenant, je vais défoncer ta mère », aurait-il dit à son enfant, selon les propos rapportés à l'audience. Quelques secondes plus tard, il attrape son épouse par le cou, lui saisit les cheveux. Elle tombe, dévale les escaliers. Alors que la jeune femme se trouve allongée au sol, il lui assène un violent coup de pied au visage, elle se protège avec son bras, le supplie d'arrêter. Il lui adresse un deuxième coup de pied. En haut des escaliers, le petit garçon assiste à la scène en silence. À la barre, le joueur est apparu contrit. Il a le « coeur brisé », dit-il, depuis qu'il sait que son fils a tout vu.

« Je n'ai jamais cherché à cacher les violences conjugales »

Pierre Caillet

 

 

 

Après avoir été frappée, Shawna Tupuola est parvenue à contacter Cameron Dodson, un autre joueur de Béziers, et sa compagne. En route pour l'hôpital, Shawna a téléphoné à Tim Nanai Williams et Otunuku Pauta, deux autres joueurs du club, pour leur demander d'aller s'occuper de son fils. À leur arrivée, Taleta Tupuola dort. Le petit garçon également. Ils contactent leur entraîneur, Pierre Caillet.

lire aussiBéziers réintègre Taleta Tupuola, condamné pour violences conjugales

C'est à ce moment-là de la nuit que les versions divergent. Dans ses témoignages, la femme de Cameron Dodson a affirmé que Pierre Caillet leur a alors demandé de ne pas se rendre à l'hôpital et qu'il allait contacter le médecin du club. Ensanglantée, Shawna Tupuola a accepté de se rendre au domicile de l'entraîneur.

 

Pierre Caillet, l'entraîneur de Béziers. (A.Dimou/Icon Sport)

Mais à leur arrivée, une dispute éclate entre ce dernier et la femme de Cameron Dodson. Cette dernière lui aurait dit qu'elle allait appeler la police s'il ne les laissait pas aller à l'hôpital. L'entraîneur a alors accompagné Shawna Tupuola aux urgences, où il lui reprochera, selon le témoignage de celle-ci, de donner son identité.

Pierre Caillet, qui avait utilisé Taleta Tupuola face à Grenoble treize jours après les faits, quand l'affaire n'était pas encore connue de tous, dément fermement avoir voulu étouffer l'affaire : « Le procureur a dit n'importe quoi. Et je lui demanderai personnellement qu'il me fasse des excuses. Moi, on ne me salit pas. » Il déroule sa version : « Quatre heures du matin, je reçois cinq appels, je décroche, ils me disent : "Coach, il y a eu un problème." Je demande : "C'est quoi le problème ?"

- Oui, il y a eu une bagarre, Leka (le surnom de Tupuola)... Beaucoup de sang...

- Avec qui ?

- Sa femme.
Je dis : "Alors qu'est-ce qu'il se passe ? Elle est où ?"

Ils me répondent : "On va l'amener parce qu'on ne sait pas quoi faire". Cinq minutes après, ça frappait à la porte. Donc, arrêtez. »

Agacé, il ajoute : « La déposition de la femme de Cameron Dodson, elle ne vaut rien. Elle est rentrée chez moi, hystérique. Mais bon... Ça m'apprendra à vouloir aider. »

Concernant les déclarations de Shawna Tupuola, il ajoute : « Ça me déçoit de sa part. Quand tu l'amènes à l'hôpital, que tu lui sors ses papiers, sa carte Vitale. Je ne vois pas comment je peux cacher son nom. » « Je n'ai jamais cherché à cacher les violences conjugales, conclut-il. Aujourd'hui, je protège tout simplement un homme. Un homme qui a fait une erreur. Et qui a déjà double peine. Il perd sa femme, il perd son enfant. Donc qu'est-ce qu'on fait ? On lui crache dessus encore ? »

 

 

[Buckaroo]

"Agacé, il ajoute : « La déposition de la femme de Cameron Dodson, elle ne vaut rien. Elle est rentrée chez moi, hystérique. Mais bon... Ça m'apprendra à vouloir aider."

 

"Aujourd'hui, je protège tout simplement un homme. Un homme qui a fait une erreur. Et qui a déjà double peine. Il perd sa femme, il perd son enfant. Donc qu'est-ce qu'on fait ? On lui crache dessus encore ?"

 

Ah ces femmes ! Toujours à vouloir ruiner la vie de pauvres hommes innocents avec leurs mensonges et leur hystérie...

[Bougnat et Breton]

 

"Agacé, il ajoute : « La déposition de la femme de Cameron Dodson, elle ne vaut rien. Elle est rentrée chez moi, hystérique. Mais bon... Ça m'apprendra à vouloir aider."

 

"Aujourd'hui, je protège tout simplement un homme. Un homme qui a fait une erreur. Et qui a déjà double peine. Il perd sa femme, il perd son enfant. Donc qu'est-ce qu'on fait ? On lui crache dessus encore ?"

 

Ah ces femmes ! Toujours à vouloir ruiner la vie de pauvres hommes innocents avec leurs mensonges et leur hystérie...

 

Et puis bon, c'est bien des histoires pour pas grand chose, parce que des pains dans la gueule j'en ai pris mal (cependant moins que j'en ai donné) et cela ne m'empêche pas d'être beau comme une statue Grecque

[Ptolémée]

on est sur un terrain glissant ..

[Buckaroo]

Et puis bon, c'est bien des histoires pour pas grand chose, parce que des pains dans la gueule j'en ai pris mal (cependant moins que j'en ai donné) et cela ne m'empêche pas d'être beau comme une statue Grecque

Une statue grecque sur laquelle se sont sédimentées au fil du temps plusieurs couches minérales successives, notamment au niveau des hanches et du ventre, n'est-il pas ?