412 réponses à ce sujet

[bazooka]

Je ne trouve pas que l'article relatif au jugement joue une "petite musique", sauf à vouloir l'entendre vraiment.

Dès son premier paragraphe il annonce les peines sans jugement de valeur écartant ainsi toute subjectivité.

Le seul moment où l'article en question rapporte une appréciation des peines prononcées c'est en citant des familiers de la chose judiciaire.

(Les réquisitions de l’avocat général, la veille, avaient été sévères, selon les observateurs avisés.)

Comme quoi dans un message, il y a un émetteur et un récepteur...

Un cyber constate (sans le moindre avis sur la lourdeur de la sentence) par ailleurs que des faits plus graves sont moins lourdement sanctionnés, c'est factuel, affaire Cécillon par exemple.

Lui et le journaliste se retrouvent accoudés à un zinc voire à une cuvette de chiotte où quelques vomis auraient aussi toute leur place.

La peine est ce qu'elle est. Elle est le résultat des actes odieux commis et aussi du contexte actuel, ça aussi se sont des faits.

14 ans sur une peine encourue de 20 ans c'est un peu plus des deux tiers, 7 pour une peine encourue de 30 c'est un peu moins du quart.

[Bougnat et Breton]

Une statue grecque sur laquelle se sont sédimentées au fil du temps plusieurs couches minérales successives, notamment au niveau des hanches et du ventre, n'est-il pas ?

Comme disait Churchill , quand on est statufié on regarde les pigeons d'un autre oeil !!

[InASMWeTrust]

Elle commence à être pénible la petite musique qui consiste à dire qu'ils payent pour les autres, que le verdict est dur.

Qui d'autre dans le rugby est passé aux assises pour une tournante avec une fille ivre morte ?

C'est gravissime comme truc ! Avec les deux circonstances aggravantes de l'alcoolémie de la fille et la réunion, ils risquaient 20 ans ! Ils ont pris un peu plus de la moitié...

Donc y'a absolument rien de sévère là-dedans...

Ou alors certains se sont un peu trop habitués à ce que l'impunité soit totale dans ces affaires sordides...

D'accord, mais comment juger avec nos valeurs les membres d'une tribu qui a encore un comportement du Paléolithique : guerre, manger, boire, voler femmes de l'autre tribu ? 

[Ptolémée]

D'accord, mais comment juger avec nos valeurs les membres d'une tribu qui a encore un comportement du Paléolithique : guerre, manger, boire, voler femmes de l'autre tribu ? 

 

c'est une image j'ai bien compris , reste que c'est un peu exagéré 

[Silhouette]

D'accord, mais comment juger avec nos valeurs les membres d'une tribu qui a encore un comportement du Paléolithique : guerre, manger, boire, voler femmes de l'autre tribu ? 

Comme dit l'entraîneur : "ça m'apprendra a vouloir aider" :-/

[cocotte 63]

je sais bien que ce n'est qu'un article de presse, sur Caillet et Béziers... m'enfin ça me fout bien la gerbe de le lire ! c'est de mal en pis...     

[Gourine63]

D'accord, mais comment juger avec nos valeurs les membres d'une tribu qui a encore un comportement du Paléolithique : guerre, manger, boire, voler femmes de l'autre tribu ? 

Vous avez un souci avec les gens du voyage ?!

[Silhouette]

Je ne trouve pas que l'article relatif au jugement joue une "petite musique", sauf à vouloir l'entendre vraiment.

Dès son premier paragraphe il annonce les peines sans jugement de valeur écartant ainsi toute subjectivité.

Le seul moment où l'article en question rapporte une appréciation des peines prononcées c'est en citant des familiers de la chose judiciaire.

(Les réquisitions de l’avocat général, la veille, avaient été sévères, selon les observateurs avisés.)

Comme quoi dans un message, il y a un émetteur et un récepteur...

J'en trouve quelques autres des moments comme ca en l'occurrence:

"Quoi qu’on pense du dossier, la scène était terrible. Le glaive de la justice se matérialisait là, sous nos yeux, leur vie était en train de basculer."

"Ils étaient en train d’être rattrapés par un destin inimaginable."

"on sentait le coup de massue venir. Le contexte a sans doute joué"

"hommes prisonniers de leurs pulsions."

" On vit alors à quelques mètres de nous, des scènes terribles"

 

D'accord avec toi que, par definition, tout message a un emetteur et un recepteur. Mais je trouve que cet article, il faut vraiment pas "vouloir l'entendre vraiment" pour noter qu'a aucun moment ou presque il n'y a mention de la victime, qu'il n'y a aucune mention de la responsabilite des accuses, et au contraire quand on mentionne les accuses c'est toujours en decrivant des gens qui subissent les evenements ("rattrapes par un destin", "prisonniers de leur pulsion", etc etc).

 

Apres c'est un seul article, et c'est loin d'etre le plus grave dans toute ces affaires. Mais comme Baba Yaga, et sans discuter de la severite des peines, j'avoue que le ton m'a frappe.  

[bazooka]

Je suis d'accord avec toi mais je ne vois pas là la petite musique.
Ce que décrit le journaliste ne conteste en rien la sentence ni l'extrême gravité des faits.
Il décrit la réalité du moment en pointant au passage d'autres souffrances (ce qui semble déranger...) bien réelles elles aussi et pas moins légitimes.
Je ne vois rien d'outrancier dans cet article, le sujet n'est pas l'audience. Il donne au passage les éléments abjectes d'une vidéo, cite les divers objets qui ont servis au viol.
Les propos qui me gavent vraiment sont ceux de la défense qui crie au scandale après avoir utilisé tant de subterfuges durant l'instruction, ils sont les premiers artisans de cette ligne d'arrivée là au détriment de leurs clients et savent que trop bien la responsabilité qui est la leur, sauf qu'eux ne vont pas au trou.
Et plus que tout encore qu'une gamine soit contrainte d'attendre plus de 7 ans pour être reconnue victime, ça oui c’est la merde.

[Alex chocolatines]

Vous avez un souci avec les gens du voyage ?!

Un jour un Corse m'a dit : " pour bien élever une femme, c'est pas compliqué, gland et châtaignes " 

 

 

 

 

 

Attention, ceci est une vanne hein   

[Silhouette]

Je suis d'accord avec toi mais je ne vois pas là la petite musique.
Ce que décrit le journaliste ne conteste en rien la sentence ni l'extrême gravité des faits.
Il décrit la réalité du moment en pointant au passage d'autres souffrances (ce qui semble déranger...) bien réelles elles aussi et pas moins légitimes.
Je ne vois rien d outrancier dans cet article, le sujet n'est pas l'audience. Il donne au passage les éléments abjectes d une vidéo, cite les divers objets qui ont servis au viol.
Les propos qui me gavent vraiment sont ceux de la défense qui crie au scandale après avoir utilisé tant de subterfuges durant l'instruction, ils sont les premiers artisans de cette ligne d'arrivée là au détriment de leurs clients et savent que trop bien la responsabilité qui est la leur, sauf qu eux ne vont pas au trou.
Et plus que tout encore qu une gamine soit contrainte d'attendre plus de 7 ans pour être reconnue victime, ça oui cest la merde.

Oui je vois ce que tu veux dire, je pense que le choix editorial de se focaliser sur les accuses reste contestable, mais les souffrances sont effectivement reelles. Et aussi d'accord avec toi sur les propos de la defense, qui je pense n'arrangent rien a l'impression generale (meme s'ils ne sont pas du fait du journaliste). 

 

Et enfin, 100% d'accord sur ta derniere phrase, et c'est bien plus important que l'article.

[Baba Yaga]

Je ne trouve pas que l'article relatif au jugement joue une "petite musique", sauf à vouloir l'entendre vraiment.

Dès son premier paragraphe il annonce les peines sans jugement de valeur écartant ainsi toute subjectivité.

Le seul moment où l'article en question rapporte une appréciation des peines prononcées c'est en citant des familiers de la chose judiciaire.

(Les réquisitions de l’avocat général, la veille, avaient été sévères, selon les observateurs avisés.)

Comme quoi dans un message, il y a un émetteur et un récepteur...

Un cyber constate (sans le moindre avis sur la lourdeur de la sentence) par ailleurs que des faits plus graves sont moins lourdement sanctionnés, c'est factuel, affaire Cécillon par exemple.

Lui et le journaliste se retrouvent accoudés à un zinc voire à une cuvette de chiotte où quelques vomis auraient aussi toute leur place.

La peine est ce qu'elle est. Elle est le résultat des actes odieux commis et aussi du contexte actuel, ça aussi se sont des faits.

14 ans sur une peine encourue de 20 ans c'est un peu plus des deux tiers, 7 pour une peine encourue de 30 c'est un peu moins du quart.

Il y a aussi l'article de l'Equipe posté par Landeno, il y a les posts, les commentaires qu'on lit ça et là sur les sites, les réseaux.

La petite musique, c'est tout ça, c'est pas que l'idiot utile du Midol.

[el landeno]

Hans Nkinsi (Béziers) condamné à 18 mois de prison dont 6 ferme pour violences conjugales

 

Hans Nkinsi sous le maillot de Béziers la saison dernière. (Sylvain Thomas/Presse Sports)

Accusé de faits de violences habituelles en situation de récidive légale sur son ancienne compagne, Hans Nkinsi, le deuxième-ligne de Béziers, a été condamné ce lundi à dix-huit mois de prison, dont six ferme.

Sébastien Tarragopublié le 16 décembre 2024 à 20h50

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Hans Nkinsi, le deuxième-ligne de Béziers (Pro D2), a été condamné ce lundi après-midi à 18 mois de prison, dont six mois ferme, pour des faits de violences habituelles en situation de récidive légale sur son ancienne compagne. La juge a également demandé la révocation de son sursis à hauteur de six mois. Soit 12 mois ferme au total. Il pourra bénéficier d'un aménagement de sa peine. Il est sorti libre et a dix jours pour faire appel.

 

 

Soutenu lors de son procès, qui s'est tenu au tribunal correctionnel de Béziers, par deux de ses coéquipiers ainsi que par Pierre Caillet, le manager de l'ASBH, le joueur a été reconnu coupable au terme d'une audience extrêmement tendue entre les avocats de chacune des parties. À la sortie de l'audience, un moment de tension a également eu lieu entre les différentes parties.

Dans ses réquisitions, la procureure de la République avait demandé une peine de 14 mois de prison dont 12 mois avec sursis et avait demandé de révoquer son sursis à hauteur de 4 mois.

Des aveux a minima

Au cours du procès, le parquet a également souhaité insister sur un point : si Nkinsi n'a pas été poursuivi pour les faits de viols dénoncés par la plaignante au début de la procédure, c'est parce qu'il n'y avait pas de preuves possibles pour les attester.

À la barre, la plaignante s'est exprimée avec beaucoup d'émotion. Le joueur, lui, n'a reconnu les faits que de manière très parcellaire : « elle me poussait à bout », a-t-il notamment déclaré en évoquant une relation toxique. Il a ensuite reconnu une gifle : « Au cours d'une dispute, elle a commencé à me cracher au visage, elle m'a giflé et a insulté ma mère qui est décédée. En voulant la calmer et la repousser, j'ai ma main qui a malencontreusement touché son visage. » Nkinsi a également accusé son ancienne compagne d'avoir voulu lui nuire pour se venger de ses infidélités.

 

 

Le 11 avril 2023, Nkinsi avait déjà été condamné à dix mois de prison avec sursis pour des violences habituelles sur la mère de ses enfants.

 

 

[Buckaroo]

Ça commence à faire beaucoup, là, non ?

[bazooka]

Il y a aussi l'article de l'Equipe posté par Landeno, il y a les posts, les commentaires qu'on lit ça et là sur les sites, les réseaux.

La petite musique, c'est tout ça, c'est pas que l'idiot utile du Midol.

Pirouette cacahuète, après les articles de presse, l'imbécile (pas étonnant avec un pseudo pareil...) de comptoir, l'arriéré du paléolithique, les autres sites que l'on ne fréquente pas à défaut de don d'ubiquité.

Heureusement il existe en ce lieu des intelligences supérieures dont les lumières ne sauraient être atténuée par de vulgaires sous hommes.

Voilà donc l'idiot utile, quelle condescendance pour une simple nuance "d'opinion".

La première fois que j'ai découvert cette expression d'idiots utiles, c'était pour un colloque sur la laïcité en 2016, les intervenants étaient brillants... L'un d'eux, en conclusion avait eu de mémoire une formulation du genre, l’idiot utile a ses propres idiots utiles élevés au carré, avec lesquels il a fondé une société d'admiration mutuelle.