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Les dérives du rugby


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243 réponses à ce sujet

#46 Milian

Milian

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Posté 03 septembre 2024 - 21:19

Apres c'était pas le genre de rôle que pouvait avoir Ibanez quand il était encore avec Galthié en EDF ?
Un rôle plus proche des joueurs pour pouvoir jauger de leur état mental et quelqu'un avec qui on dialogue plus facilement ?
Chez nous, c'était pas celui qui s'occupait des joueurs étrangers pour leur intégration ? (j'ai oublié son nom).
J'ai l'impression que ce genre de rôle existe plus ou moins selon les endroits.
Apres ça reste avant tout remettre de l'humain dans le management, clairement un joueur de 20 ans qui vit une rupture amoureuse par exemple, forcément ça va impacter ses performances sur le terrain. Il faut qu'il ai un cadre où il peut en parler et qu'il y ai de la compréhension.



#47 Silhouette

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Posté 03 septembre 2024 - 21:36

Apres c'était pas le genre de rôle que pouvait avoir Ibanez quand il était encore avec Galthié en EDF ?
Un rôle plus proche des joueurs pour pouvoir jauger de leur état mental et quelqu'un avec qui on dialogue plus facilement ?
Chez nous, c'était pas celui qui s'occupait des joueurs étrangers pour leur intégration ? (j'ai oublié son nom).
J'ai l'impression que ce genre de rôle existe plus ou moins selon les endroits.
Apres ça reste avant tout remettre de l'humain dans le management, clairement un joueur de 20 ans qui vit une rupture amoureuse par exemple, forcément ça va impacter ses performances sur le terrain. Il faut qu'il ai un cadre où il peut en parler et qu'il y ai de la compréhension.

Neil McIlroy je crois ?  Mais dans l'ensemble oui, c'est le genre de travail de fond qui est important mais difficile a quantifier et dont les resultats ne sont pas forcement toujours visibles (eviter des problemes par exemple, c'est dur a mesurer), donc l'investissement d'un club / d'une selection est sans doute pas mal liee a la conviction (ou non) d'un ou de quelques dirigeants, et ca doit pas mal bouger d'un dirigeant a un autre.



#48 bazooka

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Posté 04 septembre 2024 - 06:45

J’ai toujours kiffé Willemse, je trouve que c’est un super joueur que j’aimerais bien avoir chez nous.
Je découvre son propos et le trouve d’une grande justesse, le côté humain qu’il dégage à travers celui ci lui confère une dimension qui l’honore. Manifestement, l’homme gagne à être connu.
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#49 steph

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Posté 04 septembre 2024 - 07:04

J’ai toujours kiffé Willemse, je trouve que c’est un super joueur que j’aimerais bien avoir chez nous.
Je découvre son propos et le trouve d’une grande justesse, le côté humain qu’il dégage à travers celui ci lui confère une dimension qui l’honore. Manifestement, l’homme gagne à être connu.


Idem. J'avais vu un reportage sur lui, en famille, et le contraste était saisissant avec tellement d'autres joueurs tant il dégageait une maturité et un recul entre la vie de sportif, et... la vraie vie.

#50 el landeno

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Posté 08 septembre 2024 - 20:41

je vous recommande ces reflexions

 

https://coteouvert.b...umiere.html?m=1



#51 el landeno

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Posté 11 septembre 2024 - 18:13

Top 14/Pro D2. Cocaïne : quand le rugby dépasse la ligne blanche
  Lecture 3
compresse-08092024-xl4-0636.jpg?v=172607À l’image de l’UBB et du Racing, certains clubs songent à procéder à des dépistages. © Crédit photo : XAVIER LEOTY/Sud Ouest
Publié le 11/09/2024 à 18h26.
Mis à jour le 11/09/2024 à 18h38.
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La décision de certains clubs de procéder à des tests de dépistage pour prévenir la consommation de cocaïne souligne l’ampleur de sa diffusion dans le monde du rugby. La FFR réfléchit elle aussi à l’instauration d’un tel type de contrôle en équipe de France

Une ligne blanche qui fait causer… Rien de très original dans le petit monde du rugby. Sauf que celle-ci ne délimite pas les contours d’un terrain. Elle peut être discrètement appliquée sur le bord d’une petite table ou d’un lavabo lors des soirées d’après-match… Avant d’être « snifée ».

Ce n’est pas une surprise, le rugby n’a pas échappé à la « démocratisation » de la cocaïne. « La drogue dans les soirées, c’est un fléau », a ainsi reconnu le demi de mêlée de l’UBB Maxime Lucu la semaine dernière : « On est un sport où on est confronté à ça dans les troisièmes mi-temps. »

Le phénomène n’est pas nouveau. « J’en ai même vu en prendre avant de rentrer sur le terrain ! », relate un ancien joueur, devenu entraîneur, ayant évolué dans l’élite à la fin des années 90 : « Ça ne date pas d’aujourd’hui. » Vrai. Mais la substance, qui n’est recherchée qu’en marge des matchs et qui disparaît de l’organisme au bout de 36 à 48 heures, est désormais banalisée dans les soirées des joueurs professionnels. Individus à fort pouvoir d’achat, mise sous pression physique et mentale, culture de la fête (de l’excès ?)… Le cocktail est détonant.

« On ne peut pas dire que la cocaïne a pignon sur rue dans les clubs », observe un acteur très implanté dans l’univers rugby : « Mais tout le monde sait qu’elle est très présente. Et la rumeur dit qu’elle l’est particulièrement dans certains clubs… » Dont certains huppés.

« Froid dans le dos »

Le constat est inquiétant. Il résonne pourtant comme un doux euphémisme au regard des estimations, certes partielles et confidentielles, de Provale, le syndicat des joueurs : « Tout le monde dit, c’est sociétal, mais il y a un vrai problème d’addiction. On n’imagine pas ses proportions dans le monde pro ! » Pour Mathieu Giudicelli, directeur général du syndicat, le phénomène fait effectivement « froid dans le dos » : « Mais à l’image de ce qui se passe dans la société », insiste-t-il encore une fois. Vraiment ?

De l’affaire Pieter de Villiers en 2003, en passant à celle qui a conduit à l’interpellation du Néo-Zélandais Ali Williams en 2017, jusqu’à la suspension d’Oscar Jegou - déjà - en 2023, plusieurs précédents ont percuté le rugby par le passé. Mais la problématique vient de se réinviter dans le champ médiatique sous l’effet d’un double levier.

D’abord la dramatique tournée du XV de France en Argentine lors de laquelle - sans que la consommation de produits stupéfiants ne soit établie - les dérapages nocturnes à Mendoza ont conduit à l’exclusion de Melvyn Jaminet ainsi qu’à la mise en examen « pour viol aggravé en réunion » (une demande de non-lieu a été déposée) du Palois Hugo Auradou et du Rochelais Oscar Jegou.

« Fléau »

Puis la décision du président de l’UBB Laurent Marti d’instaurer un dépistage à cette substance : « On a l’impression de découvrir que la cocaïne existe ! Il y a un fléau qui existe, on n’en veut pas dans notre sport. » « On veut éviter qu’un comportement isolé jette le discrédit sur l’ensemble du club, prolonge le manager bordelais Yannick Bru. On ne veut pas fuir la réalité du regard : si c’est avant tout un problème de société, il touche aussi la part des jeunes - des moins jeunes - qui jouent au rugby. »

 

La démarche des responsables de l’UBB a été diversement commentée. « Les mecs tombent de leur chaise sur la cocaïne… Franchement, ils avaient des miroirs en bois et des télés en carton », a ironisé Ugo Mola, manager du Stade Toulousain : « Il y a ceux qui en ont parlé ouvertement, il y a ceux qui ont essayé d’agir. Et ce n’est pas qu’en réprimandant et en punissant. Je pense que c’est en informant, en discutant et en partageant. »

Ce que les Bordelais envisagent n’a pourtant rien de révolutionnaire. Des clubs de Pro D2 tels que Nevers et Montauban auraient déjà orchestré des dépistages. Et les dirigeants du Racing 92 les ont déjà instaurés depuis la saison dernière : des tests urinaires et sanguins sont pratiqués après tirage au sort tous les 15 jours, les échantillons sont ensuite transmis à un laboratoire indépendant.

« Quand tu es pro, tu as des avantages, mais aussi des devoirs », justifie Laurent Travers, le directeur général du club francilien : « C’est nocif pour un joueur de haut niveau, ça peut avoir des incidences cardiaques. À partir de là, on fait attention. »

« Il faut une décision collégiale entre la Ligue et la FFR pour qu’on soit tous sur le même cadre »
Bientôt des dépistages en Bleu ?

Une préoccupation que partage Joël Rey, entraîneur des avants de l’Aviron Bayonnais et, accessoirement, père de Lucas, le talonneur de la Section Paloise : « En tant que père, ça m’inquiète. Je ne connais pas les implications en termes de santé lorsqu’on pratique un sport de haut niveau. »

Pourquoi, dès lors, ne pas généraliser les dépistages ? Parce que ces derniers doivent être « bordés » par rapport au droit du travail. Président de Provale, Malik Hamadache se dit favorable à toute démarche visant à préserver « la santé physique et mentale des joueurs ». Mais il avance un impératif : « Je pense qu’il faut une décision collégiale entre la Ligue et la FFR pour qu’on soit tous sur le même cadre. »

N’étant pas l’employeur des joueurs, la Ligue ne se dit pas compétente sur ce dossier. C’est l’UCPR, le syndicat des clubs professionnels, qui le pilote. « On a sollicité un cabinet d’avocats », rapporte Jean-Patrick Boucheron, le directeur général de l’organisme : « À première vue, c’est quelque chose qui semble possible et qui pourrait être mis en place avec l’accord des représentations de salariés au sein du comité d’entreprise. »

Des tests, d’accord. Mais pour quelle finalité ? Des sanctions sont possibles pour Jean-Patrick Boucheron : « Le principe général, c’est que le salarié très particulier qu’est le sportif, a pour finalité de faire ses meilleurs efforts à l’entraînement pour postuler à l’effectif qui joue le match le week-end. Dans ce cadre-là, ça sous-entend une certaine hygiène de vie. »

A LIRE AUSSI

Une logique qui pourrait bientôt trouver une déclinaison dans le cadre du XV de France. La Fédération réfléchit elle aussi à mener des dépistages à la cocaïne à Marcoussis. Et cela dès la prochaine tournée de novembre. Une nouvelle ligne blanche.

 
 

Rugby et cocaïne : « Il y a un vrai problème dans le rugby » pour la présidente de l’AFLD
  Lecture 2
beatrice-bourgeois-afld-dopage-2.jpg?v=1Béatrice Bourgeois, présidente de l’Agence française de lutte contre le dopage. © Crédit photo : « Sud Ouest »
Publié le 11/09/2024 à 18h29.
Mis à jour le 11/09/2024 à 18h35.
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Présidente de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD), Béatrice Bourgeois constate l’ampleur de la circulation de la cocaïne et justifie l’absence de contrôle en dehors du simple cadre des compétitions

Dans quelle catégorie apparaît la cocaïne aux yeux de l’AFLD ?

Elle fait partie des substances non spécifiées, c’est-à-dire celles qui donnent lieu aux suspensions de principe les plus importantes : quatre ans. Dans la liste internationale des substances interdites, il y a les substances qui le sont en compétition et hors compétition et celles qui ne le sont que pendant les compétitions. La cocaïne fait partie de cette deuxième catégorie.

« Aucune étude scientifique n’a démontré d’impact sur la performance d’une prise de cocaïne en dehors de la compétition »

N’est-ce pas justement cela qui engendre un problème ?

Les types d’interdiction sont définis au niveau international. On peut effectivement discuter de ce type d’interdiction, qu’elle soit partielle ou totale. Le plus important, quoi qu’on en pense, c’est que tous les joueurs, quelle que soit leur nationalité, ont les mêmes champs d’interdiction. Les rugbymen français ne sont pas traités différemment des autres. Plus largement, la cocaïne n’est interdite qu’en compétition eu égard à ses effets stimulants et explosifs. Ils ont été caractérisés comme très positifs dans le court terme. Aucune étude scientifique n’a démontré d’impact sur la performance d’une prise de cocaïne en dehors de la compétition.

 

L’AFLD n’a donc pas vocation à juguler le phénomène par ses contrôles ?

Ce que je peux vous confirmer, c’est qu’on voit tout à fait qu’il y a un vrai problème dans le rugby s’agissant de la cocaïne. Qu’il se joue à 7, à XIII ou à XV. On le voit d’ailleurs de plus en plus. En 2023, nous avons eu sept cas positifs à la cocaïne : cinq étaient issus du rugby. En 2024, à date, il y a quatre cas : les quatre viennent du rugby. Ça questionne. L’AFLD ne peut cependant agir que dans un cadre légal prévu par le code du sport et l’Agence mondiale antidopage. On ne peut pas diligenter de contrôles, ou de sanctions, en dehors de la période de compétition. En revanche, on entend bien ce qu’a dit Florian Grill (NDLR, le président de la FFR) lorsqu’il a pris la parole sur ce sujet : c’était un appel à l’aide. On souhaite être plus présent dans la dimension de santé publique. En termes de prévention et d’éducation, on peut cibler le rugby et démontrer tous les risques qu’implique la prise de cocaïne.

Les acteurs du rugby répètent que le phénomène qui touche le rugby n’est que le miroir de ce qui se passe dans la société. Qu’en pensez-vous ?

Qu’il y ait une consommation de cocaïne plus fréquente dans la société, c’est sans doute le cas. Mais les cas que nous avons enregistrés relativisent cette manière de voir les choses.

La grille des sanctions est encore régulièrement interrogée. En définitive, à l’issue de son contrôle positif en 2023, Oscar Jegou a été suspendu plus longtemps par son club (3 mois) que par l’AFLD (1 mois). N’est-ce pas incohérent ?

La grille des sanctions est définie au niveau mondial. Je le répète, la sanction pour la cocaïne, c’est quatre ans ! C’est ce qu’on applique de manière majoritaire. Il y a effectivement dans le code mondial et le code du sport français un régime spécifique qui permet de diminuer énormément ce quantum pour le passer à trois mois lorsque deux conditions cumulatives sont réunies : quand on a la preuve que la cocaïne a été prise en dehors de la compétition, c’est-à-dire au plus tard la veille avant 23 h 59, et qu’il n’y a aucun lien avec la performance sportive. On peut effectivement passer à un mois lorsque le sportif est engagé dans un protocole médical pour sortir d’un phénomène d’addiction. Ce sujet est régulièrement questionné au niveau mondial.

A LIRE AUSSI

La conséquence, c’est qu’un mauvais geste peut être sanctionné plus lourdement qu’un test positif à la cocaïne…

Je comprends cette question. Mais c’est très difficile de faire une comparaison entre ces deux sujets. Ce sont des régimes différents.

 
 

Top 14/Pro D2 : « Ne parler que de cocaïne, c’est faire du sensationnalisme »
  Lecture 1
dambin-3.jpg?v=1726072243Pression, stress, blessure… Le quotidien d’un rugbyman peut se transformer en terreau pour les addictions. © Crédit photo : Émilie Drouinaud/SO
Par D. K.-G.
Publié le 11/09/2024 à 18h30.
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La question de la consommation de produits stupéfiants, et plus largement des addictions, ne peut être décorrélée de celle de la santé mentale

Deux problématiques, un même sujet. Si la Ligue nationale de rugby consent à prendre la mesure des problèmes liés à la consommation de cocaïne, elle les aborde plus largement sous le prisme des addictions en tout genre et de la santé mentale des joueurs. Une manière de fuir la question centrale ? Un progrès estime au contraire le centre international Gaël Fickou : « Il y a une énorme évolution depuis 10 à 12 ans : il n’y a plus de tabou. […] Un joueur de haut niveau a énormément de pression. »

Accession à un contrat pro ou à une prolongation, obtention d’une place sur le terrain, devoir de performance, enchaînement des matchs, risque de blessure, convalescence, exposition sur les réseaux sociaux, préparation de l’après carrière… La vie d’un rugbyman professionnel a des aspects éreintants. Et ils ne sont pas sans conséquence sur les excès en termes de consommation d’alcool, de drogue, de jeu ou même de sexe.

Jean-Baptiste Lartigot est le responsable sportif du centre de formation de l’Aviron Bayonnais. Mais il a également été éducateur spécialisé au sein d’une association traitant les addictions : « Ne parler que de la cocaïne, c’est faire du sensationnalisme. J’aimerais qu’on parle plus de la santé mentale du sportif. »

« Mieux déceler, mieux prévenir »

C’est ce qui a été fait lors de la causerie de rentrée de la LNR. « On sait ce qu’est la vie d’un sportif de haut niveau : c’est beaucoup d’engagement, d’émotions, de joie, mais aussi de la pression, des moments de doute, de stress, de blessures… Autant de facteurs qui peuvent affecter l’équilibre psychologique des joueurs, mais des staffs aussi », a listé Emmanuel Eschalier, directeur général de la Ligue : « Nous avons lancé, il y a un an déjà, un plan sur la santé mentale et la prévention des addictions avec un objectif très clair : mieux déceler, mieux prévenir, pour mieux prendre en charge des situations à risque ou de trouble. 

Des actions de prévention sont déclinées. Et elles s’adressent autant aux professionnels qu’aux espoirs. « La posture du jeune est compliquée », observe Jean-Baptiste Lartigot : « Le problème doit être pris de manière globale. Dans un centre de formation, on doit avoir plusieurs points de vigilance. Il n’est pas seulement de savoir s’il prend de la cocaïne, c’est aussi quel est l’environnement du jeune, quel est son contexte social et rugbystique. »

Les actions lancées vont-elles dans le bon sens ? Jean-Baptiste Lartigot se contente d’affirmer : « Le pire, ce sont les non-dits : il ne faut pas que le club se pose en sanctuaire. »



#52 Codorplusàvie

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Posté 11 septembre 2024 - 18:27

Les clubs vont mettre en place un control/test le mercredi ou jeudi et hop tout le monde il est propre, tout le monde il est beau.
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#53 Arverne03

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Posté 22 septembre 2024 - 07:00

Déclaration du président de la fédération au sujet des dérives :

 

"J'ai été dans l'action sur tous ces événements de l'été. J'ai été dans l'action immédiatement. J'ai essayé de gérer avec dignité et avec un devoir de transparence, que ce soit sur les événements Jaminet, que ce soit sur les événements de Mendoza ou que ce soit sur le drame de Mehdi. (...) C'est mettre en place des procédures qui n'existaient pas avant. C'est-à-dire que préalablement, dans l'organisation des tournées du rugby français, il y avait un principe communément admis depuis des années qui était l'autonomisation et la responsabilisation. Ça ne marche pas. Ça ne marche pas! Et il y avait tout sauf un système de sanctions. C'est-à-dire que demain, il faudrait qu'il y ait des sanctions financières pour les joueurs comme pour les staffs, des sanctions sportives qui peuvent aller d'exclusion temporaire ou définitive des équipes de France. On se doit de gérer les choses avec beaucoup plus de fermeté, beaucoup plus de rigueur aussi. C'est bien ce qu'on a l'intention de faire, en coordination avec l'ensemble des clubs parce que la problématique existe aussi dans les clubs, on ne va pas se raconter d'histoire",



#54 zone et beu

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Posté 23 septembre 2024 - 16:00

Dérive du rugby ou de la société en général 

 

"Dos griffé au symbole de la croix gammée" : un jeune rugbyman dénonce des actes de racisme et de nazisme dans son club - Saint-Péray (07130) (lamontagne.fr)



#55 Barnabe03

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Posté 23 septembre 2024 - 16:19

 

A ton avis ???  :crying:  :crying:  :crying:



#56 Silhouette

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Posté 23 septembre 2024 - 16:33

SI c'est avere, ca craint quand meme pas mal..  :unsure:



#57 Buckaroo

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Posté 23 septembre 2024 - 16:35

Je note que le "journaliste" a visiblement fait son travail n'importe comment, alors qu'il ne fait que reprendre l'article du Midol. Ainsi :

 

Midol : "Sur des groupes de messageries, des images d’un dos lardé de griffures au symbole de la croix gammée ont été partagées (la photo a pu être consultée par le Dauphiné Libéré) ou encore des sondages "contre ou pour les Arabes ?" avec deux "contre" comme réponses."

 

La Montagne : Certains propos vont même jusqu'à l'apologie du nazisme. Des messages comme "un dos griffé au symbole de la croix gammée" ou "pour ou contre les Arabes ?" ont été rédigés, toujours selon nos confrères.

 

Déjà qu'ils ne savent plus écrire, alors si en plus ils ne savent pas lire...

 

---

 

Quant au fond, difficile de se faire une idée. Les propos ou blagues rapportés, en soi, ne prouvent rien du tout. À titre d'exemple, j'ai probablement fait bien. bien pire. La différence vient plutôt de qui fait la blague, et de si c'en est vraiment une pour celui qui la fait, et pour celui qui est à l'autre bout.



#58 Silhouette

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Posté 23 septembre 2024 - 16:38

Je note que le "journaliste" a visiblement fait son travail n'importe comment, alors qu'il ne fait que reprendre l'article du Midol. Ainsi :

 

Midol : "Sur des groupes de messageries, des images d’un dos lardé de griffures au symbole de la croix gammée ont été partagées (la photo a pu être consultée par le Dauphiné Libéré) ou encore des sondages "contre ou pour les Arabes ?" avec deux "contre" comme réponses."

 

La Montagne : Certains propos vont même jusqu'à l'apologie du nazisme. Des messages comme "un dos griffé au symbole de la croix gammée" ou "pour ou contre les Arabes ?" ont été rédigés, toujours selon nos confrères.

 

Déjà qu'ils ne savent plus écrire, alors si en plus ils ne savent pas lire...

Je me demandais justement si ca avait ete genere IA et mal relu ? Je ne vois pas de signature sur l'article de La Montagne, et c'est dans la rubrique "Faits Divers" donc plutot une breve generee rapidement. Mais bon la c'est plus "les derives du rugby" et plus "les derives des medias"



#59 Buckaroo

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Posté 23 septembre 2024 - 16:40

Je me demandais justement si ca avait ete genere IA et mal relu ? Je ne vois pas de signature sur l'article de La Montagne, et c'est dans la rubrique "Faits Divers" donc plutot une breve generee rapidement. Mais bon la c'est plus "les derives du rugby" et plus "les derives des medias"

J'allais te demander (je n'y connais strictement rien). Le même article est publié sur plusieurs autres journaux, mais je crois qu'il s'agit peut-être de différentes moutures du même quotidien régional.



#60 Alex chocolatines

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Posté 23 septembre 2024 - 16:49

J'allais te demander (je n'y connais strictement rien). Le même article est publié sur plusieurs autres journaux, mais je crois qu'il s'agit peut-être de différentes moutures du même quotidien régional.

Bref si c'est de la fake news, c'est aussi grave que si c'est une vraie info  :ermm:






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