73 réponses à ce sujet

[Le Marseillais]

Alors moi, c'est tout à fait par hasard 

J'avais coupé avec le rugby depuis que je n'y jouais plus.

Et un jour, on m'offre une place pour un RCT ASM.

Je me suis retrouvé par hasard au milieu des supporters jaunards.

J'ai aimé l'ambiance et la mentalité.

Du coup, je retourne les voir à Montpellier l'année de leur montée, 2003 je crois.

Et là, mon pauvre... c'est le coup de foudre.

Je suis depuis un amoureux de l'ASM et de l'Auvergne.

[xdderf63]

Moi c'est récent

Après un passé de footeux, car je passais mes week-end à aider mon père agriculteur à 60km de Clermont, et jouer au foot les samedi (jeune) puis le dimanche donc pas sur Cl-Fd pour assister aux matchs

 

Mon 1er match a été je crois le 1er match de Floch avec un doublé pour lui donc plutôt fin saison 2003-2004

Je pense que c'est grâce à C+ en diffuseur + les gros matchs de coupe d'Europe sur France 2 que j'ai accroché avec l'équipe

Sinon c'était bien sur Tournoi des 5N obligatoire depuis tout petit, même à la radio en bossant l'hiver a re-trier les patates dans le vieil étable... 

 

Depuis le décès de mon père, je reste + sur Cl-Fd et devient assidu supporter avec une présence sur la moitié des matchs à domicile principalement en pesage pour sentir les mecs (quand Julien déconne pas avec la météo)

 

 

Nota : bien joué Buckaroo ! 

[Fanchic]

Un de mes cousins plus vieux de 10 ans a commencé à jouer très jeune en 10 avant de muter a Ussel époque Picard.

Donc j'ai côtoyé un cousin qui pendant des années était vêtu de jaune et bleu.
Quelques repas en compagnie des Droidecourt, quelques matchs de jeunes comme spectateur puis un ou deux matchs a la fin des 80's au Michelin.

Trop jeune a l'époque pour être supporter. Puis j'ai commencé cadet au RCT Sancy et a vraiment apprécier le rugby. Puis étudiant a aller voir jouer Tony. Tronçon. Bory, Merceron notamment un déplacement en train a Bordeaux pour une demi contre le grand Biarritz.

[Barnabe03]

Pas destiné du tout à la base, supporter de St Etienne depuis les glorieuses années 70, le rugby pour moi c'était la retransmission du tournoi des 5 Nations que je suivais avec mon vieux.

Puis le choc avec la demi de1999, l'envie de suivre ce sport de plus près, les copains supporters jaunards, finalement c'est venu tout naturellement. Le Top14 sur Canal a facilité les choses !  L'ASM comme une évidence.

Merci Buckaroo pour ce topic 

[dj0e]

Issu d'une famille pas portée sur le rugby, ni sur le sport, j'ai découvert le rugby ado à la tv, notamment la coupe du monde 99.
J'ai joué ensuite un peu, mais des articulations fragiles ont eu raison de mes envies.
J'ai logiquement encouragé l'ASM avec les copains, et commencé à fréquenter le stade au début des années 2000, puis plus assidûment quand j'ai gagné suffisamment ma vie, au début des années 2010.
Aujourd'hui j'y vais en famille avec mon plus grand enfant

[Yosky]

Le paternel abonné dès le début des années 70, forcément quand j'ai eu 10 ans au début des années 80 j'ai commencé à l'accompagner... Difficile de s'en passer de ces fichues couleurs jaune et bleue maintenant...

[wallis]

je suivais le rugby mais de loin, cahors pour les neveux, le grand Toulouse, car c'est celui qui ramène les titres . et puis j'ai rencontré un auvergnat pur produit Michelin.  2010 vous voyait le topo . ASM/Toulouse, c'était soit je me convertissais ASM soit c'était hôtel des culs tournés . et puis ces couillons ont gagnés et la finale j'ai jamais vu autant de gens pleuraient de joie. mon premier match au stade a fini de me convaincre de supporter ces jaunards. 

le seul hic avec eux avoir le cœur bien accroché. 

[RCV06]

J ai fait ma carrière de joueur chez le rival régional, à l époque on pouvait encore parler de rivalité puisque le RCV faisait l ascenseur entre groupe A groupe B ( les deux composantes de la première division de l époque ) puis ensuite en D2.

A cette époque j étais complétement centré sur le RCV et suivait de très loin l ASM car j avais eu comme prof de sport un des anciens entraineurs de l ASM le défunt Zézé Dufau en doublette avec Maurice Aucagne, le grand père de l arrière de l USAP, qui était lui même encore joueur du RCV. Par la suite j ai également eu les deux ensemble comme entraineurs au RCV.

J ai eu l occasion de côtoyer épisodiquement  quelques joueurs de l ASM chez les jeunes, Gaby et l Anglade par exemple, mais franchement je ne suivait pas pour autant l ASM de très prés.

Ensuite je suis parti bosser a Paris, ou j ai joué encore un peu dans des clubs de banlieue.

Ce n est que plus tard après avoir complétement raccroché, et que le RCV commençait sa descente aux enfers que je me suis tout naturellement orienté vers le club leader de la région.

J ai vu pas mal de finales perdues au stade quand j étais sur Paris, par contre aucune des gagnantes, seulement a la TV.

J ai du voir moins de 10 matchs de l ASM en live,à l occasion de passage dans la région.

 

J ai fait long, je dois couver quelque chose !!

[Alex chocolatines]

Ben moi chuis pas supporter de l'ASM mais ça vous vous en doutez 

[wallis]

Ben moi chuis pas supporter de l'ASM mais ça vous vous en doutez 

 

pourtant tu causes autant que nous sur l'équipe lol

[DOUDOU63]

Salut à tous et excellente initiative de notre collège Buckaroo - Je suis tombé dans la marmite ASM en 67 lors d'un premier match au Michelin avec mon père...Lors d'un certain ASM-MONTAUBAN  c'est lui qui m'a donné la passion de ce sport, qu'il avait pratiqué à l'Armée...Le virus inoculé!!!  j'ai continué au SOC à CHAMALIERES...Depuis j'ai  le club ASM dans le sang, cela ne s'explique pas, c'est passionnel...Toujours en mémoire sur une télé en noir et blanc, ma première finale face à LA VOULTE...!!! Commentée à l'époque par un certain Christian RIVES, sauf erreur de ma part...Durant des années, direction le Michelin le dimanche après-midi, comme à l'Eglise, si j'ose dire ....Mon premier autographe celui de Michel PEBEYRE, oui je sais, ça date !!!.Et puis 2010, le Graal absolu, l'attente de tout supporter de l'ASM .....Pas envie d'en rajouter, sinon je peux y passer la nuit voire la semaine...

[Vynce]

Pas destiné du tout à la base, supporter de St Etienne depuis les glorieuses années 70, le rugby pour moi c'était la retransmission du tournoi des 5 Nations que je suivais avec mon vieux.
Puis le choc avec la demi de1999, l'envie de suivre ce sport de plus près, les copains supporters jaunards, finalement c'est venu tout naturellement. Le Top14 sur Canal a facilité les choses !  L'ASM comme une évidence.
Merci Buckaroo pour ce topic 

La demi face à Grenoble ?

Ben moi chuis pas supporter de l'ASM mais ça vous vous en doutez 

Pas encore... Ça va viendre

Comme pour Gourine. Sauf que pour lui, c'était sur une aire d'autoroute, pas au stade.

Et je n'ai pas choppé la chtouille !

[Maury]

En venant vivre à Clermont, mais le stade Aurillacois est mon clubs de cœur et jusqu ’en 1985 je soutenais toujours l’ AS Beziers de Raoul Barrière puis le Toulon de Daniel Herrero , no body is perfect .

[DOUDOU63]

J ai fait ma carrière de joueur chez le rival régional, à l époque on pouvait encore parler de rivalité puisque le RCV faisait l ascenseur entre groupe A groupe B ( les deux composantes de la première division de l époque ) puis ensuite en D2.

A cette époque j étais complétement centré sur le RCV et suivait de très loin l ASM car j avais eu comme prof de sport un des anciens entraineurs de l ASM le défunt Zézé Dufau en doublette avec Maurice Aucagne, le grand père de l arrière de l USAP, qui était lui même encore joueur du RCV. Par la suite j ai également eu les deux ensemble comme entraineurs au RCV.

J ai eu l occasion de côtoyer épisodiquement  quelques joueurs de l ASM chez les jeunes, Gaby et l Anglade par exemple, mais franchement je ne suivait pas pour autant l ASM de très prés.

Ensuite je suis parti bosser a Paris, ou j ai joué encore un peu dans des clubs de banlieue.

Ce n est que plus tard après avoir complétement raccroché, et que le RCV commençait sa descente aux enfers que je me suis tout naturellement orienté vers le club leader de la région.

J ai vu pas mal de finales perdues au stade quand j étais sur Paris, par contre aucune des gagnantes, seulement a la TV.

J ai du voir moins de 10 matchs de l ASM en live,à l occasion de passage dans la région.

 

J ai fait long, je dois couver quelque chose !!

Les finales perdues !!!! ma dernière en live celle de 99 au SDF ....Depuis j'ai plié définitivement, plus de finales à PARIS...Malgré l'ambiance, j'avais l'impression d'être le chat noir...!!

[Morphée aux Enfers]

Ma foi, voilà un sujet passionnant et intéressant et chaque réponse est une belle tranche de vie.

On peut changer de femmes (plusieurs fois même), de métier, d’amis de pays etc. mais jamais d’allégeance à un club, jamais. À fortiori quand c’est celui de ta ville natale.

Comme beaucoup ici, j’ai commencé à suivre mon père et mon grand père quand j’étais enfant. Mon premier match était une partie face à Castres lors de la saison 76/77. Je me souviens du score 36-6 en faveur de l’ASM.  J’avais l’habitude de demander à mon père quelle était la ‘’star’’ de l’équipe adverse. Je me rappelle donc sa première réponse, Gérard Cholley.

Mon premier déplacement fût la demie finale au Stadium de Toulouse face au Valence Sportif de Cester remportée 20 à 12. Ce déplacement fût bien sûr suivi de la première grosse désillusion, la finale face au grand Béziers. Jusqu’à cette fameuse 71^e minute alors que l’ASM est juste menée 12 à 9 et a le ballon dans les 22 biterrois….la suite est connue de tous les vieux supporters comme moi.

Je me souviens des nombreux déplacements lors des phases finales avec mon père, à Gerland notamment, à une époque ou les autoroutes n’existaient pratiquement pas. On dit souvent que le sport existe pour que les pères et fils puissent avoir des discussions, c’était mon cas.

Puis est venu un temps ou cet amour envers ce club était devenu toxique, une obsession. Je devenais con et agressif, notamment sur ce forum (je m’en excuse d’ailleurs). Alors, après le titre de 2017, j’ai décroché, je me suis dit que j’avais été chanceux de voir ce club au somment, que c’était un grand club finalement. Mon fils, né au Québec et qui s’intéresse au rugby m’a un jour dit qu’il ne comprenait pas mon amertume envers ce club, que lui l’avait vu être deux fois champions, faire des finales de coupe d’Europe, de souvent trôner au sommet. Il avait raison, on a été gâté. Alors je suis passé à autre chose, mis mon énergie ailleurs, la ‘’crise’’ vécue à l’orée des années 2020 m’a fait comprendre quelles étaient mes priorités, mes combats. Aussi, il y tellement d’autres belles choses dans la vie.

Voilà, néanmoins, je reste toujours un fervent supporter, très heureux quand ce club gagne mais pas triste quand il perd. Il y a juste une chose qui me chagrinerait, c’est de le voir disparaitre.

ASM FOREVER.