[ Avant match ] ASM - CO
#91
Posté 25 novembre 2024 - 08:22
#92
Posté 25 novembre 2024 - 08:41
#93
Posté 25 novembre 2024 - 08:43
parait qu'ils voyagent mal
4 défaites pour 4 déplacements, 2 bonus défensif. C'est pas la panacée.
A noter que le CO a disputé 6 matchs à domicile sur 10 joués.
- ZACH et Requiem_W aiment ceci
#94
Posté 25 novembre 2024 - 08:54
4 défaites pour 4 déplacements, 2 bonus défensif. C'est pas la panacée.
A noter que le CO a disputé 6 matchs à domicile sur 10 joués.
Contre trois "petites équipes".
#95
Posté 25 novembre 2024 - 09:19
se méfier du CO !
la troupe derrière Mathieu Babillot est redoutable d'homogénéité
#96
Posté 25 novembre 2024 - 09:27
leurs supporters annoncent les 4 blessés de samedi probablement forfaits (le brun, Delaporte, Cope et dumorat) , ils s'inquiètent sur le poste de 10 pour samedi et ceux de 3ème ligne
on a un vieux 10 qu'on peut leur prêter s'ils veulent....
- exilé-sud-ouest aime ceci
#97
Posté 25 novembre 2024 - 10:49
#98
Posté 25 novembre 2024 - 12:28
Aujourd’hui l’asm compte 174 JIFF pour 160 attendus soit une marge de +14 a la J10.
Sur cette journée à on un bonus de +2 JIFF rapporté par Montagne dans le groupe France et donc indisponible pour son club et également par Fall en EDF Seven.
Pas con cette optimisation avec des joueurs seven et des jeunes prometteurs EDF mais pas encore titulaires
- exilé-sud-ouest, diomedea, Babé03 et 1 autre aiment ceci
#99
Posté 25 novembre 2024 - 13:13
Depuis le 4 juin dernier, Xavier Sadourny (47 ans) n'est plus seulement l'adjoint de Jeremy Davidson, le manager irlandais du Castres Olympique. Il est aussi celui qui va lui succéder à la fin de la saison. Ainsi en ont décidé les dirigeants du club tarnais, séduit par les compétences et les qualités humaines de l'entraîneur des lignes arrières. Il s'est engagé pour une durée de trois ans. Jeudi, il est revenu avec transparence et calme sur la manière dont les discussions ont été menées et ont abouti. Il a aussi évoqué sa relation avec Jeremy Davidson, assurant que rien n'avait changé.
« Comment tout cela s'est-il passé ?
Après le match de Montpellier, le lundi qui a suivi, Pierre-Yves Revol m'a fait venir à la fondation Pierre-Fabre, là où il travaille... C'est là qu'il m'a demandé si j'étais prêt à relever le défi, et ça s'est fait dans l'après-midi.
Vous avez accepté aussitôt ?
Oui, c'était rapide. Même si on en avait parlé un peu la semaine précédente avec Matthias (Rolland, le directeur général) et avec le président, mais rien de bien sérieux. Je n'étais pas candidat, je pense qu'ils ont annoncé à Jeremy, il y a six semaines, voire deux mois, qu'il ne serait pas conservé. À partir de là, ils ont reçu je pense des candidats, mais je n'ai jamais postulé.
Pourquoi n'avoir pas pris le temps de la discussion ?
J'ai accepté aussitôt. J'ai senti le truc. Un peu la même sensation que lorsque j'ai dit oui au CO quand j'ai été appelé pour devenir adjoint et signer une saison. Je connais le club, comment il fonctionne. Cela fait trois mois que je suis là, je connais le groupe, je vois comment le club a évolué, je sais encore une fois où je mets les pieds, je ne suis pas un carriériste, on me propose, je dis oui, on y va. C'est une opportunité. J'ai d'abord dit oui pour un an, et maintenant, c'est pour trois ans. Avec d'autres responsabilités, avec un groupe qui est compétiteur, qui aime travailler. Ce n'est pas une décision facile, ce n'est pas anodin, mais j'ai envie de le faire.
« J'ai trop de respect pour ce métier et ses difficultés pour qu'on se mette des bâtons dans les roues »
Xavier Sadourny
Ce sera votre première expérience, seul aux manettes, après avoir longtemps été dans l'ombre, notamment à Clermont...
Quand j'étais à Lyon, on m'a proposé en cours de saison de passer head coach, ça a duré un an et demi, j'étais un peu jeune, et passer de joueur à entraîneur en chef... Ce fut une expérience. On m'a proposé aussi de devenir numéro 1, à Clermont, quand Franck Azéma est parti. Le président de l'époque était Jean-Michel Guillon. J'ai trouvé que ce n'était pas le bon moment. Et le meilleur candidat, pour moi, était Jono Gibbes.
C'est une situation étrange et rare parce que vous allez remplacer Jeremy Davidson qui est l'actuel manager du club.
Quand j'ai dit oui au président le lundi après-midi, le mardi matin, j'ai appelé Jeremy afin de le prévenir. Le président l'avait appelé la veille, j'imagine. La veille de la reprise, on a été reçus, Jérémy et moi, par Matthias Rolland. Pour clarifier la situation car ce n'est pas une situation courante. Les postes et les rôles ne changeaient pas jusqu'à la fin de la saison.
Comment ça se passe depuis la reprise ? Est-ce que les choses ont changé ?
Ça se passe bien. Je pense que si les joueurs n'étaient pas au courant, ils ne le verraient pas. C'est Jeremy qui a le lead, qui planifie la semaine. Pour les compos, Jeremy nous demandait beaucoup notre avis depuis le début de la saison. Sur les contenus des semaines, Jeremy a le lead mais c'est très participatif depuis le début. Pas grand-chose n'a changé. Il y a évidemment des visios que je fais avec Matthias sur le recrutement, Jeremy n'y assiste pas. Ça, les joueurs ne le voient pas. J'ai un peu d'expérience, j'ai trop de respect pour ce métier et ses difficultés pour qu'on se mette des bâtons dans les roues. J'ai la chance de travailler dans un groupe sain, je n'ai pas trouvé de coquins jusqu'à présent. Je ne vois pas de coquilles.
« J'ai trop de respect pour ce métier et ses difficultés pour qu'on se mette des bâtons dans les roues »
Xavier Sadourny
Vous repartirez avec le même staff ?
Oui, dans son ensemble. On cherche quand même une autre compétence devant. Cela avance même bien même si on ne se presse pas.
Avez-vous senti Jeremy Davidson un peu affecté ?
Non, même si la situation est un peu cocasse. Encore une fois, ça se passe bien, on a une belle saison à jouer. On est des gens intelligents. J'ai beaucoup à apprendre de Jeremy et je dois encore m'enrichir auprès de lui. J'aurais pu le sentir comme ça si les dirigeants ne l'avaient pas prévenu deux mois avant. Là, ils ont reçu des candidats, je n'étais pas candidat ce n'est pas pareil.
Au départ, les dirigeants voulaient savoir si j'étais capable de travailler avec quelqu'un d'autre. Je n'ai jamais postulé... Je savais que les dirigeants étaient contents de moi, avaient des bons retours et je me préparais à travailler avec celui qui allait remplacer Jeremy. Juste avant Montpellier, on a commencé à me poser la question... Je suis un instinctif, je sens le truc et j'y vais. Je n'aurais pas senti le truc, je n'y serais pas allé. Si j'avais postulé, cela n'aurait pas été possible et on n'aurait pas pu finir la saison ensemble. Mais ce n'est pas le cas. »
Jeremy Davidson vit très certainement une période étrange... Sollicité en début de semaine, le manager de Castres n'a pas souhaité s'exprimer et réagir à l'information dévoilée sur le site L'Équipe, le 4 novembre dernier. En place depuis février 2023, il avait remplacé Pierre-Henry Broncan, il a expliqué que ce n'était pas le moment pour s'épancher, qu'il était concentré sur sa mission qui s'achèvera donc en juin prochain.
Si le technicien irlandais (50 ans) savait qu'il ne serait pas prolongé après avoir rencontré les dirigeants du club tarnais il y a plusieurs semaines, il ne connaissait pas l'identité de son successeur. Il avait entre autres entendu parler de Jean-Noël Spitzer, le manager de Vannes, mais ce dossier n'a pas abouti...
C'est donc le 4 novembre, lors d'un appel téléphonique de Pierre-Yves Revol, le président du Castres Olympique, que Jeremy Davidson qui commençait tranquillement ses vacances à Belfast a découvert le nom du coach qui le remplacerait... Selon nos informations, il aurait failli tomber de sa chaise en apprenant que Xavier Sadourny, son adjoint, le remplacerait.
Castres a choisi une certaine forme de continuité, c'est ce qu'a affirmé Pierre-Yves Revol, le président, mais aussi pris un risque, celui que le staff se fâche, que l'harmonie disparaisse. Sadourny, qui a décroché son téléphone le 5 pour discuter avec Davidson n'y croit pas : « Ça se passe bien, on a une belle saison à jouer, on est des gens intelligents, on connaît le métier, j'ai encore beaucoup à apprendre de Jeremy. J'aurais pu sentir un malaise si les dirigeants ne l'avaient pas prévenu longtemps à l'avance qu'il ne serait pas conservé. Honnêtement, ils ont reçu d'autres candidats, et après ils ont changé leur fusil d'épaule. Moi, je n'ai jamais été candidat. J'ai un peu d'expérience, j'ai beaucoup de respect pour ce métier et ses difficultés pour qu'on se mette des bâtons dans les roues. »
Le 4 novembre, Sadourny (47 ans), arrivé l'été dernier pour une durée d'un an comme adjoint de Davidson, a été convoqué par Revol, au siège de la fondation Pierre-Fabre : « Après le match de Montpellier (30-26, le 2 novembre), le lundi qui a suivi, Pierre-Yves Revol m'a fait venir... C'est là qu'il m'a demandé si j'étais prêt à relever le défi, et ça s'est fait dans l'après-midi. C'était rapide. Même si on en avait parlé un peu la semaine précédente avec Matthias (Rolland, le directeur général) et avec le président, mais rien de bien sérieux... » Il n'a pas réfléchi deux secondes, et a accepté la proposition, et le contrat de trois ans, lui, qui a passé beaucoup de temps dans l'ombre des autres, à l'exception d'une expérience de numéro 1, à Lyon, lors de la saison 2012-2013.
« La veille de la reprise, poursuit-il, on a été reçus, Jeremy et moi, par Matthias Rolland. Pour clarifier la situation, qui n'est pas courante. Il a été dit que les postes et les rôles ne changeaient pas jusqu'à la fin de la saison. » Le lendemain, au centre d'entraînement, le directeur général a pris la parole devant le groupe et le staff. « Il est venu pour nous expliquer le choix du club, rapporte Julien Dumora, l'expérimenté arrière du CO, et nous parler de la saison, comment le club voyait les choses. Jeremy a les rênes jusqu'à la fin. Le groupe et le club lui font confiance pour continuer sur le chemin qu'on a pris depuis le début. Et Jeremy et Xavier ont une bonne relation... Il n'y a pas de fracture, et de mauvaises ondes par rapport à cette annonce. On sent que tout le monde est focus, on a de belles choses à aller chercher. »
Mais comment faire abstraction de cette réalité ? Comment ne pas plus écouter le conseil de Sadourny que celui de Davidson ? Le joueur est malin, et peut se glisser, inconsciemment ou non, dans la faille. Sadourny n'a rien vu de tel et jure encore une fois que tout va très bien : « Tu peux appeler les joueurs pour leur poser la question. Je pense que si les joueurs n'étaient pas au courant, ils ne le verraient pas. C'est Jeremy qui a le lead, qui planifie la semaine. Les compos ? Jeremy nous demandait beaucoup notre avis depuis le début de la saison. Sur les contenus des semaines, Jeremy a le lead mais c'est très participatif depuis le début. Il y a évidemment des visios que je fais avec Matthias sur le recrutement, Jeremy n'y assiste pas. Mais ça, les joueurs ne le voient pas. » Premier élément de réponse en compétition ce samedi, contre La Rochelle (16 h 30).
- jm12 aime ceci
#100
Posté 25 novembre 2024 - 13:29
La victoire sera là, surtout que la victoire qu'a obtenue CASTRES devant LA ROCHELLE, a laissé des traces ( blessures ) !
#101
Posté 25 novembre 2024 - 13:31
- Requiem_W aime ceci
#102
Posté 25 novembre 2024 - 13:34
se méfier du CO !
la troupe derrière Mathieu Babillot est redoutable d'homogénéité
Quand on se fait l'UBB à la piaule, on se doit de taper le CO en suivant, enfin merde, faut pas déconner quand même. Tête haute les Jaunards, tête haute !
#103
Posté 25 novembre 2024 - 13:35
Falgoux Massa Montagne
Kremer Ceyte
Yato PGS Tixeront
Bezy Belleau
Jurand Moala Darricarrere Tauzin
Newsome
Fourcade Akhaladze Hemery Fischer Jauneau Urda Fouyssac Alaalatoa
#104
Posté 25 novembre 2024 - 15:08
8 matchs sur 10 du CO se sont joué en 7 points ou moins
+1 C 'est passé près de la victoire et même la gagne sur le gong ,car, ces mecs que l 'on aime ou pas , ne lâchent jamais à l 'image de leur Capitaine Babillot.....
Mais Urios mieux que quiconque sait tout ça et j 'espère va me préparer nos gonzes de la meilleure des façons
#105
Posté 25 novembre 2024 - 15:51
Aujourd’hui l’asm compte 174 JIFF pour 160 attendus soit une marge de +14 a la J10.
Sur cette journée à on un bonus de +2 JIFF rapporté par Montagne dans le groupe France et donc indisponible pour son club et également par Fall en EDF Seven.
Pas con cette optimisation avec des joueurs seven et des jeunes prometteurs EDF mais pas encore titulaires
Quand tu es dans les 28 (comme Montagne) c'est +1
Et par exemple si tu es dans les 28, pour 2 matchs du T6N (même sans jouer), c'est + 180K de SC pour la saison d'après (même en étant pas sur la liste des 45 prémiums)
(à conditions de pas être dans le lissage comme nous )
- ZACH aime ceci
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