Jegou oui, mais Auradou je comprends toujours pas ce qu il fait la !
Par contre Jelonch grosse rentrée
on sait qui a la plus grosse ?
Posted Yesterday, 23:32 PM
Jegou oui, mais Auradou je comprends toujours pas ce qu il fait la !
Par contre Jelonch grosse rentrée
on sait qui a la plus grosse ?
Posted Yesterday, 23:33 PM
on sait qui a la plus grosse ?
Faut demander a la dame Argentine
Posted Yesterday, 23:34 PM
Géant Thomas Ramos
Posted Yesterday, 23:35 PM
Géant Thomas Ramos
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Posted Yesterday, 23:37 PM
Jegou oui, mais Auradou je comprends toujours pas ce qu il fait la !
Par contre Jelonch grosse rentrée
Jelonch j’ai quand même l’impression qu’il joue comme s’il faisait 20kg de muscle en plus!! Des fois j’ai peur pour lui.
Posted Yesterday, 23:37 PM
Pas à son meilleur niveau sur ce match.
Géant pour l'ensemble de son oeuvre 2025
Posted Yesterday, 23:41 PM
Jelonch j’ai quand même l’impression qu’il joue comme s’il faisait 20kg de muscle en plus!! Des fois j’ai peur pour lui.
un peu Kamikaze parfois
Posted Yesterday, 23:42 PM
Le banc encore payant ..
Posted Yesterday, 23:48 PM
Jegou oui, mais Auradou je comprends toujours pas ce qu il fait la !
Par contre Jelonch grosse rentrée
Posted Today, 00:02 AM
Posted Today, 01:58 AM
Faut demander a la dame Argentine
elle sait aussi qui pisse le plus loin ?
Posted Today, 08:25 AM
Et alors, il a quel goût le croissant du dimanche matin ? C'est le meilleur du monde ? Calmons-nous, il était encore au congélateur il y a dix minutes. C'est le nouvel effet quinze de France, version 2025, ou l'invention du coup de chaud-froid-chaud. Pour tout dire, on avait imaginé cette dernière soirée de Tournoi plus démonstrative.
En tout cas avec moins de genoux qui tremblent et de fils qui se touchent. Il faudra encore mettre ça sur le compte du tempérament latin, la défaite en moins. Nous qui pensions qu'il s'agissait de la même invention que le french flair, mi-malveillante, parce que made in England, mi-romantique, parce que c'est tout de même moins embarrassant que de se dire qu'on a encore été rattrapé par la trouille.
Nul, ce n'est évidemment pas le terme qui convient pour qualifier la prestation française du soir. Elle fut plutôt déconcertante et sur bien des aspects : de la discipline en berne (deux cartons jaunes et six pénalités concédées), à la défense, à nouveau inquiétante, entre la grande liberté d'action laissée à Finn Russell, qui n'est pourtant pas un inconnu, ces tentatives d'interceptions presque kamikazes qui ouvraient des espaces indécents ou ces 19 plaquages manqués ! Il y eut aussi cette difficulté à remettre la main sur le ballon, passé les vingt premières minutes de la rencontre, alors qu'il n'y avait jusque-là pas eu photo.
Car, oui, tout avait très bien commencé : des collisions de démolition, des mauls montés sur chenilles, les Bleus, qui ont rompu depuis bien longtemps avec leurs pudeurs dans le jeu d'avants, avaient choisi la manière forte. Bon, on en reparlera quand il faudra prendre les Sudafs, au hasard en novembre prochain, mais aujourd'hui il faut reconnaître au pack tricolore son avantage de puissance sur tous les autres. Alors pourquoi s'en priver quand son adversaire du soir présente un profil bien plus léger ? La stratégie, payante, sanctionnait rapidement la défense écossaise de deux pénalités (4e, 26e) et d'un essai magnifique (18e) par Yoram Moefana.
Le centre de l'UBB se présentait au soutien parfait de Gaël Fickou qui venait de percer le premier rideau après un retour intérieur malin de Thomas Ramos en position de dix. De quoi se constituer un matelas confortable de dix points (13-3) après vingt minutes et puis le coup de la panne.
La perte du fil de ce match et ses sautes de concentration resteront des mystères : comme Louis Bielle-Biarrey passant au travers d'un ballon haut qui déclenchait un incendie terrible dans son camp jusqu'à l'intervention du pompier Grégory Alldritt (20e). Ou alors cette poussette pas franchement indispensable de Ramos sur Ben White qui conduisait Peato Mauvaka à un geste encore moins nécessaire et son passage par le bunker (24e). Le talonneur écopait d'un jaune pas bien méchant d'un point de vue purement chauvin, mais avec d'autres conséquences puisque Rory Darge et ses hommes trouvaient alors le moyen de revenir au score tranquillement avant la pause et de globalement prendre en main le reste de la rencontre.
Une domination réelle mais parfaitement stérile malgré des efforts monstres. Et bien entendu, au bout d'un moment, ça devient écoeurant. Parce que quand ces Bleus ne vous détruisent pas, ils vous punissent contre la logique en marche, à l'image de ce retour de mi-temps et de l'essai de Bielle-Biarrey (44e). Derrière un ballon échappé par les attaquants au chardon sur les trente mètres français, Ntamack ramassait la munition, sprintait, levait la tête et trouvait son ailier supersonique à son intérieur (23-13). Le temps d'aplatir deux essais de plus (57e, 62e) et le panneau d'affichage donnait un vertige flatteur mais irréversible en faveur de Français qui n'avaient plus qu'à attendre le coup de sifflet et ainsi consolider leur nouvelle réputation d'équipe injouable.
Parce qu'après quatre démonstrations d'autorité et 31 essais inscrits, le concert de louanges venus des cinq coins de l'Europe qui accompagne les Tricolores depuis Dublin (27-43) va redoubler d'intensité. Il n'y a guère que les Anglais pour discrètement bomber le torse, conscients qu'ils ont eux-mêmes échappé à la correctionnelle. Cette défaite de la deuxième journée (26-25), à Twickenham, fut suffisamment vexante pour initier la suite des événements, du galop romain (24-73) au succès de ce samedi soir. Il y a surtout dans ce sacre les signes d'adhésion d'un groupe, régénéré seulement à la marge, à un projet de jeu plus ambitieux, l'impulsion d'un nouveau management qui, d'un oeil à peine extérieur, apparaît endurcit mais a porté ses fruits.
On ne sait pas si Louane, venue tester son tube dans le ciel du Stade de France à la mi-temps, a plus ou moins de chance de remporter l'Eurovision que la France un titre de championne du monde. On lui souhaite un autre destin que celui jusqu'ici d'éternel deuxième. On sait, en revanche, que cette génération valide un nouveau titre, qu'elle réinstalle le quinze de France dans les sphères qui sont les siennes.
Posted Today, 08:43 AM
Posted Today, 08:52 AM
Je comprends toujours pas comment Mauvaka a échappé au rouge
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