
France/Ecosse : Six Nations 2025
#76
Posté hier, 08:47
#77
Posté hier, 08:49
Quelle est l'utilité d'un banc 7/1 contre les écossais, c'est pas devant qu'on va souffrir avec en gros ce qui se fait de plus faible dans ce tournoi ?
autant je suis pas fan du 7+1 autant l'Ecosse n'est en rien faible devant!
De plus pluie voire flocons sont probables.
#78
Posté hier, 08:57
Quelle est l'utilité d'un banc 7/1 contre les écossais, c'est pas devant qu'on va souffrir avec en gros ce qui se fait de plus faible dans ce tournoi ?
L'idée c'est plutot de faire soufrir voire exploser les Ecossais devant ...
#79
Posté hier, 09:05
Cela dit en l'absence de cornemuse on peut toujours prendre un chat sous le bras. Il suffit ensuite de prendre sa queue entre les dents et de mordre à intervalle réguliers. Vous obtiendrez ainsi un son très proche de celui des fameux "bagpipes" qui épatera tous vos amis écossais !
- ELSAZOAM, jiesse et Eastern Outpost aiment ceci
#80
Posté hier, 11:00
Quelle est l'utilité d'un banc 7/1 contre les écossais, c'est pas devant qu'on va souffrir avec en gros ce qui se fait de plus faible dans ce tournoi ?
je dirais qu'en plus de l'avantage physique évident, c'est un avantage mental. On sent que depuis le 7-1 le pack des Bleus est plus serin et à même de rendre une copie vraiment satisfaisante. On sent que ça marche psychologiquement car autant on le répète "les avants peuvent se donner à 100% car ils savent qu'ils vont être tous remplacés et vite vers la 50è" autant c'est véridique sur le terrain. Ca donne une partie décomplexée du pack. Le truc que j'aimerais voir par contre c'est une utilisation réelle du 7-1, donc tous les avants qui déboulent à la 50è, en même temps, sans besoin d'un Jegou au centre ou quoi. Vraiment tout le pack remplacé, moins Cros (par ex). Et à l'avenir, le banc comportera des Tatafu, voire Tuilagi de retour... et là ça va vraiment claquer.
#81
Posté hier, 11:14
Cela dit en l'absence de cornemuse on peut toujours prendre un chat sous le bras. Il suffit ensuite de prendre sa queue entre les dents et de mordre à intervalle réguliers. Vous obtiendrez ainsi un son très proche de celui des fameux "bagpipes" qui épatera tous vos amis écossais !
Ce matou, il s'est encore gouré de train...
- Parigot_Paris, el landeno et samsara aiment ceci
#82
Posté hier, 15:44
Quelle est l'utilité d'un banc 7/1 contre les écossais, c'est pas devant qu'on va souffrir avec en gros ce qui se fait de plus faible dans ce tournoi ?
Je suis toujours pas fan.
Mais Jeggou a fait ses preuves au centre (contre une équipe dominée) c'est presque un 6-2 en fait. Flament fera surement presque tout le match, Cros tout le match.
#83
Posté hier, 15:57
Le truc que j'aimerais voir par contre c'est une utilisation réelle du 7-1, donc tous les avants qui déboulent à la 50è, en même temps, sans besoin d'un Jegou au centre ou quoi. Vraiment tout le pack remplacé, moins Cros (par ex). Et à l'avenir, le banc comportera des Tatafu, voire Tuilagi de retour... et là ça va vraiment claquer.
C'est impossible, il faut garder 1 ou 2 avants qui rentrent après la 50eme en cas de blessure.
#84
Posté hier, 17:33

En pleine période Covid, devant des tribunes vides, le XV de France doit l'emporter par vingt et un points d'écart pour terminer à la première place du Tournoi devant le pays de Galles. À vouloir absolument décrocher un bonus offensif les Tricolores, qui mènent 23-20, tentent l'impossible devant leur en-but alors que le match est terminé. Pris au sol, l'arrière Brice Dulin est pénalisé, le ballon revient aux Écossais qui pilonnent alors la défense française et, cinq minutes après la fin du temps réglementaire, à la conclusion de vingt temps de jeu, inscrivent un essai signé de leur ailier Duhan van der Merwe qui leur permet de l'emporter (23-27) sur le fil.

Déjà vaincus par les Gallois au Stade de France, les Tricolores s'inclinent de nouveau, contre l'Écosse cette fois-ci (22-36). Thomas Castaignède et Philippe Carbonneau blessés en cours de match, la charnière française est remplacée par le duo Christophe Laussucq-David Aucagne. Les Écossais marquent cinq essais et la France termine à la dernière place du dernier Tournoi des 5 Nations, ce qui n'est pas arrivé depuis 1969. Quant à l'Écosse, elle remporte le Tournoi tout en établissant un nouveau record de points inscrits contre la France.

Pour la première fois depuis 1973 et le retour du Tournoi des 5 Nations au Parc des Princes, le XV du Chardon s'impose alors que la troupe du capitaine Saint-André menait (21-16) à huit minutes de la fin. « Aujourd'hui, nous devons être des héros », avait lancé à ses coéquipiers l'arrière et capitaine écossais Gavin Hastings dans le vestiaire juste avant ce match. Ils le furent. Le trois-quarts centre Townsend - aujourd'hui entraîneur de l'Écosse - libère d'une passe croisée son partenaire Hastings qui perce sur cinquante mètres et plante entre les poteaux l'essai de la victoire (21-23), qu'il transforme lui-même.

Réorganisé dans la précipitation suite au forfait sur blessure du troisième-ligne Jean Salut avant le coup d'envoi, ce 11 janvier à Colombes, le paquet d'avants français parvient néanmoins à alimenter une ligne de trois-quarts (Villepreux, Bonal, Lux, Maso, Campaes) emmenée par une charnière Gachassin-Bérot tournée vers l'offensive. Hélas, les attaques tricolores manquent de tranchant, et l'indiscipline finit de plomber la prestation d'une équipe de France incapable de transpercer la défense écossaise (3-6).

Que le flanker rochelais Oscar Jegou entre au poste de trois-quarts centre pour remplacer Pierre-Louis Barassi, commotionné, n'est pas une première : ce 14 janvier, le troisième-ligne aile toulousain Jean Salut glisse au centre pour compenser l'absence de Jo Maso, victime d'une entorse du genou en fin de première période. À cette époque, les remplacements n'étaient pas autorisés. Malgré deux essais signés Bernard Duprat et Christian Carrère, la France ne pourra empêcher l'Écosse, qui avait inscrit deux buts de pénalité et un drop-goal, de l'emporter (8-9).

Sur un terrain durci par le vent glacial (-10 degrés) qui balaye la plaine de Colombes ce 12 janvier, le pack tricolore - au sein duquel évolue pour la dernière fois Alfred Roques, 38 ans, surnommé « le pépé du Quercy » - subit l'implacable loi écossaise dans les phases de conquête et de combat. En tête (6-0) à la pause, les Français du capitaine Pierre Lacroix laissent filer ce match et la fière ligne d'attaque landaise composée des frères Boniface, de Christian Darrouy et de Pierre Albaladejo s'avérera incapable d'inscrire le moindre essai (6-11).
#85
Posté hier, 23:25
Cela dit en l'absence de cornemuse on peut toujours prendre un chat sous le bras. Il suffit ensuite de prendre sa queue entre les dents et de mordre à intervalle réguliers. Vous obtiendrez ainsi un son très proche de celui des fameux "bagpipes" qui épatera tous vos amis écossais !
On dirait une fiche bricolage du Professeur Choron...
#86
Posté aujourd'hui, 07:28
La soirée de samedi face à l'Écosse (21 heures), à l'enjeu sportif déjà conséquent, pourrait aussi être placée sous le signe des records. Gaël Fickou fêtera ainsi sa 50e sélection dans le Tournoi, égalant le record national de Philippe Sella dans la compétition. Et plusieurs de ses compères pourraient aussi marquer l'histoire.
Le Toulousain a de bonnes chances de battre dès samedi soir un record de poids, celui du plus grand nombre de points marqués avec l'équipe de France. Il n'est plus qu'à six unités du leader national Frédéric Michalak, soit deux pénalités. Or, Thomas Ramos (29 ans) tourne à une moyenne de dix points inscrits par sélection, et même à plus de 12 points sur ce Tournoi.
Son parcours en équipe nationale a pourtant d'abord été hésitant. L'arrière ou ouvreur au caractère bien trempé n'a disputé son premier match avec les Bleus qu'en 2019, alors qu'il avait 23 ans. Et ce n'est qu'à partir de la saison 2022-2023 qu'il est devenu un titulaire en équipe de France, et son buteur attitré. « Il a un chemin particulier, a estimé Fabien Galthié jeudi. Ses sélections, ses performances et peut-être ce record de points marqués, il les doit à lui-même essentiellement et à ses partenaires. »
Ces trois dernières années, Ramos a rattrapé le temps perdu, inscrivant par exemple 189 points avec les Bleus sur la seule année 2023, celle de la Coupe du monde. Et si son total de 430 points marqués en sélection reste modeste à l'échelle internationale, il le met déjà en position d'entrer dans l'histoire des Bleus.
2. T. Ramos, 430
3. C. Lamaison, 380
4. D. Yachvili, 373
5. M. Parra, 370
Pour un as du contre-pied comme lui, battre le record d'essais marqués en équipe de France au cours d'un Tournoi où il a été chahuté comme rarement représenterait un drôle de clin d'oeil. Mécontent de son implication défensive lors de la défaite des Bleus à Twickenham (26-25, le 8 février), le staff bleu avait décidé de se passer de lui pour le déplacement en Italie (24-73, le 23 février) il y a trois semaines.
Réintégré dans le quinze pour le choc contre l'Irlande (27-42, le 8 mars), Damian Penaud (28 ans) a participé à la fête et marqué en fin de match le dernier essai de son équipe, celui qui lui a permis de rejoindre Serge Blanco au sommet du classement des meilleurs marqueurs d'essais du quinze de France. Reste désormais à l'ancien Clermontois à s'emparer, seul, de la tête de ce classement. Ce qui aurait une forme de logique au vu de son impressionnante efficacité, lui qui a le meilleur ratio d'essai par match du top 5 des meilleurs marqueurs en équipe de France (0,69, contre 0,41 à Blanco). Il retrouvera samedi l'Écosse, sa victime préférée (déjà 7 essais inscrits). De quoi l'inspirer.
3. V. Clerc, 34
4. P. Saint-André, 32
5. P. Sella, 31
Avec le jeune ailier de Bordeaux-Bègles, tout va décidément très vite. Pour le deuxième 6 Nations de sa carrière, Louis Bielle-Biarrey (21 ans) se retrouve déjà en position d'égaler, voire de battre un record vieux de cent ans et plus, celui du nombre d'essais marqués sur une seule édition du Tournoi.
Les actuels détenteurs de ce record sont l'Anglais Cyril Nelson Lowe (en 1914) et l'Écossais Ian Scott Smith (en 1925), avec huit essais (en seulement quatre journées, puisqu'il s'agissait alors du Cinq Nations). Le Bordelais en est déjà à sept avant la réception de l'Écosse. Lui qui a marqué à chacun de ses six derniers matches toutes compétitions confondues affole actuellement les statistiques. Il a inscrit 17 essais en 18 sélections et 23 essais en 20 matches joués cette saison.
L'ailier supersonique, présent en sélection depuis moins de deux ans, a encore franchi un cap ces derniers mois. Et donne l'impression de n'être qu'au début de son ascension. Avec lui, les records pourraient régulièrement tomber.
3. W. Stuart (ECO, 1913), J. Stockdale (IRL, 2018), L. Bielle-Biarrey (FRA, 2025), 7 essais
Les Bleus n'auront certainement pas ces chiffres en tête au moment d'entrer samedi sur la pelouse, mais ils pourraient battre plusieurs records collectifs. Il faudra pour cela un festival offensif. S'ils dominent l'Écosse avec une avance de 44 points, ils détiendraient un nouveau record de différence de points sur une édition du Tournoi. Ils sont actuellement à +106 points, le record appartenant actuellement à l'Angleterre de 2001 (+149 pts). Ils n'auront besoin que de trois essais marqués pour égaler le record d'essais sur un Tournoi, détenu par ce même quinze de la Rose (29).
#87
Posté aujourd'hui, 07:47
Il faudrait en finir avec cette absurdité du 7+1 . Auradou n'a rien à faire dans les 23, il a servi à quoi hier ? On ne sait même plus s'il est rentré.
de java ?
#88
Posté aujourd'hui, 09:20
Les Voies du Seigneur Boss sont impénétrables
#89
Posté aujourd'hui, 10:30
Les Voies du Seigneur Boss sont impénétrables
Aucune indication pour y accéder ! Un véritable scandale !
#90
Posté aujourd'hui, 11:38
J'aime l’Écosse et les Écossais.
Mais là, il faut gagner le Tournoi !
Pas de pitié !
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