22ème journée
Samedi 26 avril
Toulouse - Castres
14h30 sur Canal+Sport
Clermont - Lyon
16h30 sur Canal+Live
Montpellier - Perpignan
16h30 sur Canal+Live
Bayonne - Pau
16h30 sur Canal+Live
Vannes - Toulon
16h30 sur Canal+Sport
Bordeaux - La Rochelle
21h05 sur Canal+
Dimanche 27 avril
Racing - Paris
21h05 sur Canal+
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Multiplex Top 14 - Saison 2024/2025 : 22ème journée
#1
Posté hier, 20:30
- DOUDOU63 et Gourine63 aiment ceci
#2
Posté hier, 20:31
Merci TINTIN
- TiNTiN aime ceci
#3
Posté hier, 20:34
Quitte où double pour l'ASM...?????
- Arverne03 aime ceci
#4
Posté hier, 20:42
- TiNTiN aime ceci
#5
Posté hier, 21:52
Si perd, on peut déjà faire chauffer les braises du barbec...
- TiNTiN aime ceci
#6
Posté aujourd'hui, 09:55
Si l'on se fie au classement du Top 14 après 21 journées ces dix dernières années (depuis 2013/2014, saison 2019/2020 interrompue par le covid exclue), Toulouse devrait déjà être tranquillement en train de se projeter vers une demi-finale. Après sa victoire sur la pelouse du Stade Français dimanche soir (27-21), le double champion de France en titre culmine à 74 points. Seuls Clermont en 2015/20216 (75 points) et Toulouse 2018/2019 (76) avaient fait mieux après 21 matches. Il y a cinq ans, le Stade avait ainsi 16 points d'avance sur le troisième, Lyon, à cinq journées du gong.
Cette année, malgré son parcours proche de la perfection, les hommes d'Ugo Mola ont « seulement » cinq longueurs d'avance sur l'UBB (69), et sept sur Toulon (67), en tête d'un podium qui a clairement distancé la concurrence, puisqu'il faut descendre treize marches en dessous du RCT pour trouver Bayonne, quatrième avec 54 points.
Une telle configuration à trois échappés - dont le casting s'est constitué dès la clôture de la 12e journée avant Noël - est inédite depuis que le barrage a été instauré en Top 14 en 2010. L'enjeu est simple et répété par les fuyards depuis plusieurs semaines voire depuis le début de la saison : finir dans les deux premiers pour s'éviter un barrage et faire du jus en attendant une demi-finale à Lyon le week-end des 20 et 21 juin.
Les trois cadors ont récemment payé cher l'apprentissage de la leçon. Toulouse a été puni en demi-finales par Castres en 2022 (18-24), au bout d'une saison marquée par des doublons avec le XV de France manqués, une quatrième place au classement et un barrage gagné mais épuisant face à La Rochelle (33-28). Depuis, une rotation plus importante a été mise en place dans les temps de jeu, à la fois pour garder un minimum de fraîcheur en phase finale mais aussi pour monter une équipe de présumées doublures compétitive au moment où les internationaux s'en vont. Résultat : voilà deux saisons que Toulouse A, B et C roulent sur le Top 14, finissant premier en 2023 et 2024 pour finir le boulot avec ses tauliers sur la demie puis la finale. Un luxe qui lui permet même désormais de faire tourner dans les grandes largeurs entre deux rendez-vous de Coupe des champions, comme il l'a fait dimanche soir, avec succès, à Paris.
Avec deux ans de retard, l'UBB et Toulon suivent le même chemin. Éreintés par leur barrage et leur demie, les Girondins avaient été giflés en finale la saison dernière par des Toulousains bien plus fringants (3-59), payant cher là aussi les plumes perdues pendant les doublons. Dès le début de cette saison, Yannick Bru et son staff ont mis en place des plages de repos bien déterminées pour des cadres qui sont pour la plupart des internationaux à mi-temps.
L'effectif s'est épaissi pour ne pas perdre en qualité au gré des absences et l'UBB a réussi à s'imposer à Pau samedi après-midi sans les Lucu, Jalibert et autres Moefana, laissés au repos. Notamment en vue de la demi-finale de Coupe des champions contre... Toulouse le 4 mai, qui sera un bon moyen de savoir si le club girondin a tiré les fruits de sa nouvelle politique managériale, avant d'en mesurer les conséquences en phase finale du Top 14 en juin.
Quant à Toulon, revenu en phase finale du Top 14 la saison dernière après six ans d'absence, il s'était carrément incliné chez lui face à La Rochelle en barrage (29-34), ce qui n'a dû qu'exacerber la volonté de Pierre Mignoni et ses hommes d'éviter un rendez-vous aussi piégeux. Comme Toulouse et Bordeaux, Toulon a l'effectif massif et qualitatif pour gérer les états de forme à sa guise ou presque.
Bien que troisième aujourd'hui, il a les cartes en main pour finir dans le top 2. Car il va mettre toute son énergie dans ce seul objectif, lui qui est éliminé de la Coupe des Champions. Et va recevoir Toulouse (le 10 ou 11 mai au Vélodrome de Marseille) puis Bordeaux (le 31 mai ou 1er juin), dans des confrontations directes qui vont valoir très cher dans la lutte pour les deux premières places. Un dernier argument les rend encore plus prisées : pour retrouver trace d'un champion de France passé par les barrages, il faut remonter à l'épopée de Castres en 2018.
#7
Posté aujourd'hui, 10:53
Allez, soyons fous ! Que des victoires à domicile !
#8
Posté aujourd'hui, 11:22
#9
Posté aujourd'hui, 11:59
Aligot saucisse pour moi.Le stade français a un calendrier qui ne fait pas blaguer

#10
Posté aujourd'hui, 13:05
#11
Posté aujourd'hui, 13:06
Car je descends à Montferrand.
faudrait penser à remonter un peu non ? bientot tu ne pourras plus descendre ... enfin je me comprends ...
- jp66 aime ceci
6 utilisateur(s) li(sen)t ce sujet
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Toorop, juc74